Lundi matin , vers 11 heure , j’entends une voix, que je connais bien, mais une voix plutôt qui sonne fort et furieuse derrière la porte, je m'interroge. Elle adopte plusieurs tons, soit en adoptant des comportements de crapaud ou de grenouille (qui ont tendance à lui donner une mauvaise image.) ce sont les changements de comportements qui peuvent provoquer de la méfiance.
"Hum hum, qu'ouïs je? Haute trahison? En vertus des droits qui me sont conféré je vous condamne à l'exil pour une durée de trois mois.
Tchup!!! Ne discutez pas! Gardes embarqué moi ce traître!"_
Lorsque quelqu’un est sous stress comme moi derrière cette porte, il a tendance à projeter sur les autres l’image de son propre crapaud. Voilà que je croasse aussi.
Je, je, je rentre ou, ou pas, je frappe avec timidité la porte.
_Entrer !_ La voix était beaucoup plus douce, l'ordre sans être trop sévère ,"me rassurait. Mais quand même, je m'interroge !.
J’ouvre la porte avec un sourire forcé et plutôt coincé, je peux dire que j’ai manqué de faire dans ma culotte.
_Ô ! mon ami rentrez, quel plaisir de vous voir_Je ne suis pas tout à fait sur, de cette phrase qu’elle m’a dit, j’étais pas dans mes moyens.
Elle était habillée d’une robe noire une épitoge rouge , deux-simarres "herminée"
Elle était d’une beauté, mes yeux se posent sur elle, mon sang se glace, son odeur m’envahi, quelle jolie Dame.
FRANCHEMENT JE VENAIS VOUS FÉLICITER. quel beau parcours que vous avez fait. vous pouvez être fière de vous.
Elles avaient des parchemins des livres éparpillés sur le bureau, son regard fixait la fenêtre,
vue sur la ville, aux rues quadrillées et des dizaines de bateaux agglutinés autour de la rade, les salines d’un vert bleu, mêlées aux lignes de sable, qu’elle observait.
Elle s’assoie avec grâce devant sa table de travail, elle était penchée entre un destin qui la pourchassait, et une destinée qu’elle avait choisie.
Elle était déjà entrée dans un monde, celui des idées, celui des livres, le seul lieu où elle serait calme et sereine.
Telle était sa manière d’être une lutteuse de Dieu.
Ce que l’Être tout puissant avait transmis, devait être traduit dans un langage moderne et clair, en restant fidèle aux jugements et de la raison.
Il se faisait tard, je dois prendre congé de vous ma bonne amie , bien sur cela m’en déplaise, Je vous baise la main Madame Galadriel.