[RP]La grange abandonné

Gaara attendait Alice en bas de la fenêtre, il leva la tête mais fut un peu gêner de ce qu'il avais vue. Cella avait fait un choc a sont cœur qui avait doubler le rythme cardiaque.
Il espérais que Alice ne l'ait pas vue.
Tous deux se mirent a courir, alors que Alice était un peu en retrait il se retourna et ralentit pour rester a ces coté. Il pris sa main et tous deux continuaient leur course jusqu'à ce qu'il tombe sur cette grange qui semblais abandonné.
Il fit signe a Alice de le suivre et il poussa la porte.
Il avais emporter une bougie de chez Sandrine, il l'alluma et éclaira la grange.

Nous voila chez nous !!

Il sourit a Alice, il avais de la paille partout, ça ferais un lit très confortable.
Il regardât Alice.

Demain j'irai chez Sandrine pour voire si elle n'aurais pas des habits pour toi.
J'espère que ca va aller jusque la ?
En tous cas je suis heureux d'être avec toi !!

Alice avait suivit Gaara. Essouflée, elle arriva a dans la grande. Elle pensa que ça lui suffirais largement. C'était déjà mieux que les bois.

Gaara a écrit:: Demain j'irai chez Sandrine pour voire si elle n'aurais pas des habits pour toi.
J'espère que ca va aller jusque la ?
En tous cas je suis heureux d'être avec toi !!

- Hum... oui. Si j'ai froid je me collerais à toi. C'est vrai que je suis pas trés vetue... J'espère que ça te choque pas au moins. J'avais pas prévue que j'aurais à m'enfuir au milieu de la nuit...

Alice sourit, puis s'allongea dans la paille fatiguer par sa course...

Alice a écrit:: - Hum... oui. Si j'ai froid je me collerais à toi. C'est vrai que je suis pas trés vetue... J'espère que ça te choque pas au moins. J'avais pas prévue que j'aurais à m'enfuir au milieu de la nuit...

Un peu pris a dépourvue il répondit en bégayant légèrement:

Non...non ne t'en fait pas... tu est parfaite ... fin je veut dire tu es très belle ainsi ...

Il s'allongea a ces coté puis souffla sur la bougie et vint se coller contre elle la prenant dans ces bras en la serrant fort contre sont cœur.

Je suis content que tu soit là...

Gaara a écrit:: Je suis content que tu soit là...

Alice apprécia le fait d'être dans les bras de Gaara. En fait, elle aurait été dans un lit, sur la plage, dans les bois ou dans cette grange, peu lui importait. Du moment qu'elle pouvait l'avoir prés d'elle, elle était comblée :

- Oh oui, moi aussi je suis contente... Jamais je n'aurais penser que ça aurait pu m'arriver, ici, et si vite....

Elle l'embrassa a nouveau. Elle passerait sa vie a l'embrasser... Elle passerait sa vie a ses côtés tout simplement...

Il était tous deux dans le noir et Gaara décida de retiré sa chemise pour ne pas avoir trop chaud car la paille leurs tenait très chaud.
Mais il n'était pas très a l'aise pour dormir et retira ces chaussure et sont bas, il dormirais beaucoup mieux ainsi.
Il metta sa chemise sur eux deux pour faire comme une couverture puis l'embrassa a sont tour.

je pense que je vais très bien dormir ...

Alice fut surprise de voir Gaara sortir quelques uns de ses vétements. Elle n'aurait pas été dans le noir, il l'aurait vue rougir probablement. Son coeur s'emballa, mais elle resta coller a lui, tandis qu'il lui donner un autre tendre baiser. Alice trouva que le contact de la peau de Gaara sur la sienne, était trés agréable.

Gaara a écrit:: je pense que je vais très bien dormir ...

- Mmm... oui moi aussi. Tes bras sont le meilleur endroit au monde pour dormir. Je suis si bien là... Je suis sûre de n'avoir jamais ressentit une chose pareille avant.

Elle se blotti encore plus contre son torse. Elle ferma les yeux, laissant son esprit partir dans d'autre terre. Elle s'endormie, épuisée par cette journée si riche en émotions. Si on lui avait dit ce matin en se levant que le soir elle serait là, dans les bras du plus merveilleux garçon au monde, elle ne l'aurait pas cru... Elle la fille perdue dans cette ville, n'aurait pas penser une seule seconde que cela puisse lui arriver, et que cela soit si agréable...

Il finir par s'endormir tous deux, la nuit était déjà bien avancé. Mais qu'importe, Gaara ne dormais en générale que quelques heures seulement.
Au petit matin, alors que le soleil venait a peine d'apparaitre a l'horizon et que les oiseaux commencer a sortir de leurs nids, le jeune garçon ouvrit les yeux.
Il se redressa en prenant garde de ne pas réveillé Alice.
Il pris ces vêtements et les enfila, puis fit un bisous sur le front d'Alice avant de ce lever.
Il se dirigea vers la sortit a pas de chat puis sortit a l'extérieur de la grange, il faisait encore un peu froid car le soleil n'avais pas encore commencer a réchauffer la terre.
Mais il savais très bien que les marchands a cette heures si commencent a mettre leurs marchandise sur les étales du marché et que leur attention était beaucoup plus porter sur le travail d'installation que sur les gens.
Et encore une fois il eus raison, et n'eus pas beaucoup de mal a "emprunter" quelques fruits.
De toute façon les fruits ne sont pas tous vendu et la plupart finisse tous pourri, mieux valais en profiter temps qu'il était encore beau.

Il en profita aussi pour passer par l'auberge, a cette heures personne de présent, il emprunta une cruche qu'il rapporterais plus tard puis alla trouver le puits du village.
Là il remplit la cruche d'une eau délicieuse et revint a la grange.

Il poussa la porte doucement puis entra, il y avais une vieille charrette toute casser, celle si ferais bien affaire de table, et deux ballot de pailles ferais office de chaise.
Il déposa la cruche d'eau sur la "table" et disposa les fruits. Il sourit en trouvant la poire qu'il avais pris la veille chez Sandrine.

Une fois tous installer il se tournas vers Alice pour voire si elle dormait toujours, il n'avais pas fait trop de bruit.

Alice se réveilla. Elle m'y un moment a ouvrir les yeux. Ce demandant si Gaara n'avait pas été le fruit de son immagination. Pourtant cela semblait si vrai. Elle remarqua alors qu'il n'était plus contre elle. Elle se leva d'un bong, Des brindilles de paille restant accroché dans ses cheveux :

- GAARAAAAA !

Une fois qu'elle eut fini de crier, ses yeux se posèrent sur lui. Il était là, la regardant avec son profond regard. Alice souffla un coup. Pendant prés d'une seconde elle avait vraiment cru qu'il n'était pas réel. Mais le conté de fée dans lequel elle était plongée depuis la veille, existait bel et bien.
A grand pas elle s'avanca vers Gaara, pour aller se blottir dans ses bras :

- Désolée d'avoir crié... J'ai cru un instant que tu n'avais jamais existé...

Son regard se posa sur la table improviser, sur lequel il y avait des fruits :

- Oh ! Tu es génial !

Elle l'embrassa tendrement, avant de se diriger vers les fruits, puis, elle le regarda :

- Je peux en prendre un ?

Gaara la regardais dormir paisiblement, tel un ange, son visage était apaiser, elle était détendu.
Puis il la vit bouger et se relever d'un coup en criant sont prénom puis vint dans ces bras.
Il la serra contre lui pour la rassurer.

Ne t'en fait pas, je suis bien là et bien réel.

Elle tourna le regard vers le petit déjeuner, elle devait avoir faim, lui aussi d'ailleurs avait faim.

*Il vos mieux pas que je lui dise que tous cela provient du marcher et que surtout je n'est rien payer.*

Bien sur tu peu manger, j'ai préparer ça pour nous, ce n'est pas grand chose, quelque fruits avec un peu d'eau dans cette carafe.

Il désigna du doigt la carafe.

Mais prenons place sur ces magnifique fauteuil.

Il pris place sur un ballot de paille et pris un pomme puis il sortit un "couteau" plutôt bizarre et découpa des morceau de pommes qu'il mangea.

Délicieuse ces pommes ....

J'irais te chercher des vêtements après avoir manger.

Gaara a écrit:: Bien sur tu peu manger, j'ai préparer ça pour nous, ce n'est pas grand chose, quelque fruits avec un peu d'eau dans cette carafe.

- Merci.

Alice va s'assoir sur les sièges de paille, puis elle commence à manger un fruit a son tour, regardant curieusement le couteau avec lequel Gaara coupait ses pommes.

Gaara a écrit:: J'irais te chercher des vêtements après avoir manger.

- Oui ça serait bien effectivement... Parce que, je trouve cette chemise un peu légère a force. Ah moins que tu préfère que je reste comme ça !

Elle regarde Gaara amusée :

- J'espère que Sandrine va bien, et qu'il ne lui est rien arrivé. Ca a l'air d'être une personne de bien. Elle n'a pas hésiter à m'accueillir chez elle... Je me demande qui peut bien lui en vouloir a ce point... Il c'est passé tant de chose en une soirée. Tant de chose que je n'avais même pas imaginer... Tant de chose que je ne pensais pas vivre, moi la fille égarée

Oui tu a raison, je me demande se qui a du se passer aussi, nous devrions peu être allez voire chez elle ? En plus elle avait dit qu'elle te préparerais une robe, peu être et elle finit.
Peu être a t' elle besoins de nous je ne sais pas trop.
Mais on ne peu pas rester sans rien faire.

Il continua de manger les fruit et bu un peu d'eau.

Ne bouge pas d'ici je vais essayer de piquer une robe, et je reviens aussitôt, j'essaierais de pas être trop long.

Il posa le couteau sur la table et le fit glisser devant Alice.

Prend ceci sa pourrais t'être utile. Et si tu entend quelqu'un tu te cache dans la paille ... d'accord ? Je reviens vite.

Il se leva et sortit rapidement pour allez chercher des habits.

Alice n'eut pas le temps de s'opposé au fait que Gaara aille voler une robe, qu'il était déjà partie. Elle regarda le couteau. Comme si elle serait capacle de blesser quelqu'un avec...
Ne sachant pas vraiment quoi faire en l'absece de Gaara, qui lui avait dit de ne pas sortir de la grange. Elle retourna alors s'allonger, là où ils avaient dormit, guettant le moindre bruit, et attendant qu'il revienne. Elle espèrait qu'il ne se fasse pas prendre en train de voler. Elle n'aimait pas ça, surtout que c'était que pour elle...

Arrivé sur le marchés il se rendit bien vite compte que voler une robe n'était pas des choses les plus facile. Déjà sur le marchés étant donné que le prix du textile es relativement élevé les marchands font très attention a leurs marchandise. Et il n'est pas facile de se rendre compte de la taille des vêtements lorsqu'il sont ainsi plier.
Si jamais il voler quelque chose de trop petit ? Ou de beaucoup trop grand ? Ça ne servirais a rien.
La solution n'était donc pas au marché.
Il sortit du marché réfléchissant.

*Il faut que je trouve quelque chose ... une idée allez une idée ... *

Il réfléchissait lorsque ces yeux se portèrent sur ....

*Ouiiii .... c'est exactement ça qu'il me faut. Je ne vais pas piquer une robe au marchés mais c'est une personne ... il y en a une qui semble être en train de finir de sécher sur le fil.
Ce sera un jeu d'enfant de la volé. Et de toute façon je la ramènerais bien vite.
La taille me semble bonne, la couleur n'est pas top mais bon.*

Il sauta par dessus la rambarde du jardin et s'aventura jusqu'au fil, il pris la robe et s'éloigna lorsqu'il entendit derrière lui.

-Hey toi là bas ... la gamin ramène moi la robe de ma fille sur le champs !!!

On dirait une voie d'homme très puissante ça devait être un gros costaud...
Gaara se retournas et fut surpris, c'était une femme, une énorme femme qui courais vers lui ... enfin courir était un bien grand mots elle essayait de courir.
Le jeune garçon n'attendit pas de se faire prier et passa la rambarde du jardin et pris ces jambes a sont coups jusqu'à la grange.

Il entra dans la grange tous essouffler.

*Fiou ... j'ai jamais courut aussi vite .. héhé ... chouette entrainement*

Alice n'était pas là ... il s'avança et la vit a l'endroit ou il avais passer la nuit. Il s'approcha d'elle en montrant la robe fièrement.

Voila ce que j'ai trouver... bon la couleurs n'est pas terrible mais je pense que c'est ta taille ...

Les cahots de la charrette se faisaient fortement ressentir sur la petite route de caillou qui menait à la grange légèrement en retrait de la route.
L'édifice se rapprochait et cela réjouit Alphonse qui fit un grand sourire à Geo. Le vieil homme était heureux d'être accompagné.
Depuis l'arrivée de Geoffroi au pouvoir, Alphonse s'était mis à son service pour accomplir les tâches que le Prince n'aurait pas le temps de faire, entretenir Folzer notamment.
Cependant, il n'avait pas oublié qu'il venait d'une modeste famille d'agriculteur installée à Guernesey depuis fort longtemps, il souhaitait donc vérifier que la grange familiale qui n'avaient été visitée depuis plusieurs mois soit encore dans un bon état car c'était hélas le seul héritage qu'il avait de sa famille, la maison familiale ayant été incendiée par les pirates lors de la prise de l'île.
Geoffroi engagea la conversation :

Tu es heureux de revenir voir ta grange ?

Ah ça oui Votre Altesse, d'autant qu'c'est mon seul bien et pis faudrait pas que des marlous vienn' s'y abriter comme qu'si c'était un bois.

Le vieil homme pointa le bâtiment de son doigt noueux.

D'autant plus que r'gardez moi ça, on dirait une masure, faudrait pas qu'y s'y installent des brigands ou d'aut' filous. Y'auras du boulot pour pouvoir la rap'ler grange et point ruine.

Geoffroi fit une légère grimace.

En effet, il y aura du boulot

Il s'arrêtèrent à quelques pas de la grange dans un couinement plaintif des roues de bois.
Les deux hommes firent quelques pas pour se remettre de leur voyage puis se durugèrent vers l'entrée de la bâtisse.

Mordious ! V'là qu'cette foutue porte est tout' déglinguée et qu'elle ferme même plus !

Alphonse s'approcha de la porte pour l'examiner quand Geoffroi l'attrapa et le tira en arrière.
Un détail avait attiré son attention. De multiples brins de paille avaient été disséminés à l'extérieur non loin de la porte, visiblement mis là par un pied traînant ou des brins tombés d'une semelle à laquelle ils se seraient accrochés.

Il y a quelqu'un

Geoffroi avait à peine murmuré pour ne pas qu'on l'entende afin de ne pas alarmer les intrus.
Il tira sa rapière en se plaçant de sorte que l'arme apparaisse dans l'entrebâillement. Il trouvaient qu'il n'y avait rien de plus affaibli qu'un ennemi qui est rongé par la peur en sachant que son ennemi est armé mais qu'il ne peut en deviner quoi que ce soit d'autre.
Il entreprit ensuite de faire le tour de la grange en prenant garde à faire claquer sur le sol ses bottes cloutées afin d'effrayer un peu plus les intrus.
Il prenait un malin plaisir à faire souffrir moralement ses adversaires. Revenu à la porte, il donna un pistolet à Alphonse et tapa trois grand coups contre les planches de bois.

Vous avez été repérés, sortez immédiatement !

Alice fut soulager de voir Gaara revenir. Comme promit, il revient, tenant une robe.

Gaara a écrit:: Voila ce que j'ai trouver... bon la couleurs n'est pas terrible mais je pense que c'est ta taille ...

Alice regarda Gaara, d'un faux air sévère :

- Tu n'aurais pas dû aller voler une robe. Tu aurais pu te faire aretter ou autre...

Puis elle sourit :

- Cependant, elle est trés bien tant fait pas, j'en ai marre de cette chemise.

Elle s'avanca vers Gaara, puis attrappa la robe :

- Tu peux te retourner un instant, que je m'habille ?

Elle attendit qu'il s'exécute, puis elle fit glisser la chemise, qui tomba a ses pieds, et enfilla la robe, prenant tout son temps. Elle aurait bien aimée un mirroir, pour regarder le résultat. Une fois qu'elle eut terminé, elle se rapprocha de Gaara, toujours dos tourné, et se collant a lui, elle passa ses bras autour de sa taille lui fesant des bisous dans le cou :

- Merci... Elle est parfaite cette robe...

Au même moment, un grand bruit se fit entendre, comme le bruit d'une charette. Puis il y eut un silence pendants quelques secondes, et Alice entendit des pas au dehors. Elle se figea, serrant un peu plus Gaara :

- Qu'est ce qu'il ce pas....

Geoffroi a écrit:: Vous avez été repérés, sortez immédiatement !

L'estomac d'Alice fit trois tours. Elle se mit a trembler encore une fois. Elle se demanda comment ça se fesait qu'elle était aussi peureuse... Serais-ce du a son passé oubliée ?
En tout cas, elle ne pouvais pas le contrôler, elle était là, complétement paniquer. Pourtant elle savait qu'avec Gaara elle ne risquait rien. Lui n'avait pas bouger un cheveux, et il avait l'air plus détendut que jamais.

Alice a écrit:: - Tu peux te retourner un instant, que je m'habille ?

Gaara se retournas un instant pour laisser le temps a Alice de s'habiller, il attendit tranquillement puis il sentit les bras d'Alice autour de sa taille.

Alice a écrit:: - Merci... Elle est parfaite cette robe...

De rien, c'est normal. On va passer chez Sandrine si tu veut maintenant ... ou après ?

Il finit sa phrase et se figea il avait entendu un bruit.
Une charrette c'était arrêter devant la grange, mais qui était là ?
Il n'avais pas était suivit pourtant.

Alice a écrit:: - Qu'est ce qu'il ce pas....

Il entendit une voie venir de dehors, et un petit sourire démoniaque apparus sur le visage de Gaara.
Il se tournas vers Alice quelque chose dans le regard du jeune garçon avais changer il paraissez encore plus froid et plus méchant.

Ne t'en fait pas Alice je ne laisserais personne te faire du mal...jamais !!!

Il y avais dans ces yeux comme des flammes ... sont regard faisait froid dans le dos et sa marque sur sont front apparaissez encore plus qu'avant.

On va voire de quoi ils sont capable.

Gaara se retourna a nouveau et se dirigea vers la sortit, il poussa la porte et regarda tour après tour les deux personnes présente dehors.
L'une était habillé assez pauvrement, alors que l'autre était habiller richement.

Vos armes vous seront d'aucune utilité contre moi ... je ne sais pas qui vous êtes mais je n'est pas envie de vous tuer. Mais si vous ne me laissez pas le choix ... je le ferais sans remord!!

Gaara a écrit:: Ne t'en fait pas Alice je ne laisserais personne te faire du mal...jamais !!!

Alice eut un frisson, le regard de Gaara avait tellement changer. Son expression si froide, si dure. Cependant, elle savait que ce n'étais qu'un masque. Il sortit, un peu intimider, elle sortit également, se tenant toujours prés de lui.

Gaara a écrit:: Vos armes vous seront d'aucune utilité contre moi ... je ne sais pas qui vous êtes mais je n'est pas envie de vous tuer. Mais si vous ne me laissez pas le choix ... je le ferais sans remord!!

Alice fut choquée par de telles paroles. Elle ne pensait pas que Gaara aurait pu être si... méchant. Elle ne savait pas si c'était une bonne ou une mauvaise chose. Elle mit sa main sur le bras de Gaara, et murmura :

- Heu... Doucement... Ne les provoque pas !

Elle regarda les deux hommes, inquiète...

Alice a écrit:: - Heu... Doucement... Ne les provoque pas !

Gaara tournas la tête un instant vers Alice puis regardât a nouveau les deux hommes, il laissa sortir un rire démoniaque.

Ha ! ha ! ha ....

Il plongea alors sa main dans l'une de ces poche et en sortit une poignée de sable il tendit sa main devant lui et l'ouvrit. Du sable tomba sur le sol en fin filet.

Tu sais ce que sait ?? Du sable ... le sable ... si fin ... si mystérieux, si magique.
chaque grain de sable mesure quelques micron. Plusieurs grain de sable, plusieurs millions de grain de sable forme comme une petite armée, une petite armée très puissante.

Il retournât sa main et tous le sable tomba au sol.

Je ne t'es jamais dit la raison qui a fait que j'ai du fuir mon village, mais je vais te le dire aujourd'hui.

Il se tut un moment et repris:

A l'age de trois an j'ai découvert ce que jetait capable de faire avec le sable, a cette époque je prenais sa pour un jouet. Mon père lui lorsqu'il a uppercut se don a voulus mettre un thermes a ma misérable vie, a la vie du "démon" comme m'appelaient les autres habitants. Et donc un soir mon père entrepris de m'éliminer, cependant ma mère a essayer de l'empêcher et il a commencer a la taper, la taper...

Gaara sera ces poings fort en racontant l'histoire.

... J'ai pris le couteau de cuisine et lui et entailler les deux bras a une vitesse tel qu'il ne s'était aperçu de rien...ma mère ma supplier de ne pas lui faire de mal mais il était trop tard jetait dans une colère folle.
J'ai sentit le sable entré dans la maison et petit a petit recouvrir mon père qui se débattait, mais rien ne servait, bientôt tous le sable recouvrait sont corps.
Il mourut étouffer, et je pense qu'il a bien souffert car il a hurler tellement fort que pratiquement tous le village l'avais entendue.

J'ai tuer mon père a l'age de trois ans, et depuis je n'est cesser de m'entrainer chaque jours sans relâche pour maitriser cette force qui était en moi a ma naissance. C'est pour ca que je n'est pas peur là.
Je m'étais jurer d'utiliser se pouvoir que si jetait menacer ou que si quelqu'un qui m'était chére était menacer.... tu comprend maintenant ??

Gaara regardat les deux hommes l'un après l'autre a nouveau:

Je vous laisse une dernière chance ... laissez nous partir ...

Alice fixa Gaara. Les yeux grands ouverts. Plein de chose se bousculèrent dans sa tête au même moment. Cette histoire paraissait tellement iréelle. Ces choses là ne peuvent pas exister. Mais il semblait si différent du Gaara qu'elle avait vu jusqu'a présent. Il était devenu si bizarre. Sans même réfléchir, elle recula d'un pas. Elle ne savait pas vraiment ce qu'elle resentait envers lui a présent. Elle était amoureuse de lui, ça elle n'en doutais pas, toujours aussi intensément. Mais elle avait peur. Peur de ce qu'elle venait d'entendre. Si Gaara avait un tel pouvoir destructeur, que ce passerait-il si quelqu'un l'énervait un peu ? Serait-il capable de le tuer comme il l'a fait avec son père ? Pourtant ce n'est pas un monstre. Il est bon, il a illuminé la vie d'Alice en quelques heures. Ce n'est pas quelqu'un de mauvais. Il avait eut une enfance difficile, il a toujours cru que personne l'aimerait à cause de sa diffèrence. Pourtant elle, elle l'aimait. Ella avait été attiré par lui. Une attraction qu'elle n'avait pas comprise. Mais c'était si agréable. Elle lui avait dit que son passé n'avait pas d'importance, elle lui avait dit qu'elle n'avait pas peur. Aprés tout pourquoi elle aurait peur ? Jamais il ne lui ferait de mal... Il aimait Alice, il ne voulait que la protèger. C'était aux risques et périls de ceux qui s'approchait d'elle. Elle sentit un frisson parcourir son corps. Une grande bouffé d'oxygène emplit ses poumons. Elle se remit à côté de Gaara, et lui serra la main :

- Vous l'avez entendut ? Je serais vous, j'irais voir ailleur si on y est.

Geo leva un sourcil en voyant son adversaire. Il ne le pensait pas si jeune.
Quand il vit la jeune fille arriver ses yeux s'écarquillèrent.
Mais que se passait-il ici ?
Les deux enfants se mirent à discuter entre eux puis ils se tournèrent vers eux.

Je vous laisse une dernière chance ... laissez nous partir ...

- Vous l'avez entendut ? Je serais vous, j'irais voir ailleur si on y est.

Geoffroi eu un sourire narquois.

Serait-ce des menaces ?

Il se pencha vers le garçon.

Ton père devait être un bien piètre combattant pour se laisser avoir ainsi. Écoute moi bien gamin, je te conseille de ne m'opposer aucune résistance. Tu pourrais risquer de le payer de ta vie bien que cela ne m'enchante guère. Et si par malheur tu arrivais à m'occire, tu le serais à ton tour. Les assassins de nobles son poursuivis farouchement, tu te retrouverais donc en cavale avec à tes trousses mes amis, la Garde Princière et pourquoi pas l'Armée ?

Il élargit un peu plus son sourire. Puis se recula légèrement afin de pouvoir s'adresser aux deux.

Vous avez le choix, vous pouvez choisir le combat et n'avoir qu'une infirme chance de vous en sortir, ou bien venir bien gentiment avec nous. Vous serez alors amenés vers notre chère conseillère à la sécurité Dame Sandrine qui s'occupera de votre cas, ce dernier n'étant pas un délit assez grave pour réunir le Procureur et le Juge mais étant tout de même un délit car étant une violation de propriété.

Geo avisa ensuite l'équipement du jeune homme quand il fut interrompit dans sa tâche par la voix d'Alphonse.

Monte dans cette charrette toi !

Il se tourna vers le vieil homme qui pointait de son arme la jeune fille.
Le garçon essaya de se ruer sur Alphonse mais Geoffroi dont la rapière était déjà hors du fourreau se plaça entre les deux menaçant le garçon de la pointe de sa rapière.

Ne bougez plus, on ne vous veut aucun mal.

Le vieux fou cria après Alice en la menaçant de sont pistolet, le prince pointa sa rapière vers le garçon qu'il pensait voire près du vieux quand Gaara dit:

Je suis là ....

Il était toujours a sa place comme s'il n'avais pas bouger d'un cheveux.

Oui c'est impressionnant n'est ce pas ??
Mon père était tous sauf un mauvais ... c'était un soldat fort. D'ailleurs les soldats de mon pays sont beaucoup plus vaillant que ceux que j'ai croiser jusqu'ici.
Vos soldats sont plus imbibé que des éponges, ce sont de véritable alcoolique.
Et ils sont chargé de défendre vos terres...

Il secoua la tête.

Mais pour en revenir a nous, comme vous avez pu le constaté, même si vous vouliez me tuer vous ne pourriez pas m'atteindre, je suis si rapide que vos coups ne ferais que vous fatigué.

il croisa ces bras en les observant toujours et repris:

J'ai deux ou trois remarque a faire sur votre pays, cela bien sur dans votre intérêt.
Déjà je remarque que cette grange appartient a cette homme, vu l'état de cette grange ça ne m'étonne pas que vos produits soit aussi mauvais. Vous devriez changer votre agriculture.

Il s'arrêtât un instant puis repris:

Je voie aussi que votre sens de l'hospitalité laissent vraiment a désiré ... pourtant votre religion ne parle pas de quelque chose a se sujet ?? Pourtant vous qui êtes le prince d'après ce que j'ai compris vous devriez vous souciez de vos habitants, et pourtant , vous les trainez devant la justice alors qu'il essaye de survivre...

et tant que nous parlons de vous votre grandeur, votre peuple doit être drôlement fier de vous ... n'est ce pas ? Arrêter des enfants avec des armes ... j'espère au moins que vous n'allez pas nous passez les fers.

Le jeune garçon sourit alors.

Je ne vais pas vous faire attendre plus longtemps, je vous es entendu parler de Sandrine.
Justement nous devions allez la voire, donc c'est avec joie que nous acceptons votre proposition de nous y emmener. Ça nous éviteras de marcher et de nous fatiguer.
Nous pouvons y allez ??

Alice laissé l'homme parler. Il avait l'air très puissant dans la ville. Quand tout à tout, le plus misérable des deux pointa son arme sur elle :

Alphonse a écrit:: Monte dans cette charrette toi !

Elle déglutit avec difficulté. Puis elle regarda l'arme. Alors tout lui parut devenir flou... Très flou...

... Des cris, des pleurs, elle courait dans ce couloir, qui lui paraissait être interminable. Que ce passer-t-il, de qui provenait tout ce sang qu'elle avait vu dans l'entrée ? Encore un cri, plus puissant, plus aigu :

- Nooooooooonnnn !

Alice ouvrez à présent les portes, toutes les portes. Mais où été elle ? Qui est ce qui lui voulait encore ? N'allait t'il jamais les laisser tranquille ? Alice s'arrêta devant une porte, une grande trainée de sang dessus. Elle était entre ouverte, Alice la poussa, et hurla.
Sa petite sœur, de seulement 8 ans, était là, allongée sur le lit, nue. Une marre de sang imprégné les draps. Les larmes coulant sur ses joues, elle s'avança vers le corps inerte. Il avait été transpercé de toute part. Elle ne réussie pas à compter le nombre de coups de couteau qu'elle avait sans doute reçu. Pleurant toute les larmes de son corps. Il entendit d'autres bruits, provenant de la chambre à côté :

- Je vous en supplie, laissez moi, ma fille va revenir... Ne lui faites aucun mal...

S'avançant prés de porte, Alice perçut le sifflement d'un fouet, puis un cri de douleur de sa mère.

- Silence sale trainée... Tu n'as que ce que tu mérite !

Alice resta un moment prés de la porte. Qu’allait-il faire si elle rentrer à présent ? Allait-elle mourir comme sa sœur ? Mais elle ne pouvait pas rester là a rien faire. Mourir à la place de ceux qu'on aime, paraissait être une bonne fin. Tandis que les cris de douleur devenaient de plus en plus forts, elle poussa la porte. Elle aurait préfère ne jamais voir ça de sa vie. Vision d'horreur qui se jouer sous ses yeux. L'homme se retourna vers elle, tandis que ça mère le regard complètement figée dans la douleur, fixer l'homme :

- Alors petite, tu viens te joindre à la fête... Tu vois ce qu'on fait subir aux sales trainée comme ta mère ?

Sa mère, le dos complètement en sang, que l'on ne distingué même plus sa peau. Elle se laissé torturé par cet homme, qui pointé à présent un fusil sur elle. L'homme qui depuis des mois leurs fessaient vivre un enfer. Alice se précipita pour aider sa mère, quand on la frappa à la tête. Elle tomba sur le sol. Ce fut un coup de feu qui l'a sortit de son sommeil. Elle eut a peine le temps d'ouvrir les yeux, qu'elle se sentais emmener ailleurs. Juste le temps d'apercevoir sa mère, une partie du crane en moins, par le coup de fusil qu'elle venait de recevoir. Alice se rappela avoir crier, frapper l'homme qui la tenait, avant de recevoir un autre coup sur la tête...

... Alice allongé sur le sol, tremblant des pieds à la tête, couverte de sueur, rouvrit les yeux. Le regard qu'elle lança a Gaara prés d'elle était remplit de peur, de désespoir, de panique. Elle avait du s'évanouir, ses souvenirs qui était remonté à la surface. Respirant difficilement, elle aurait voulut mourir en cet instant plutôt d'avoir revécue ça. Elle aurait préféré jamais se souvenir. Elle aurait préféré resté dans l'ignorance. Elle n'avait pas ressentit un manque de famille, ne sachant pas si elle en avait une, mais à présent, elle se sentait vide de tout. Se relevant difficilement, elle marcha jusqu'a la charrette, et grimpa dedans, de grosses larmes coulant sur ses joues.

Alors qu'il venait de parler il se retourna et vit Alice en train de se relever péniblement, il sentit une pression s'exercer sur sont cœur.
Il venais de découvrir la culpabilité.

*Mon dieu, je suis tellement aveugler par la haine que je n'est pas fait attention a Alice. Je suis tellement honteux.*

Ça va Alice ?

Puis il se retournas vers les deux autres personnes.

Sa va vous avez gagné vous pouvez ranger vos armes, vous voyez pas ce que vous lui faite ? Vous n'avez donc pas honte ?

Il suivit Alice des yeux, visiblement elle était sous le choc, mais que c'était il passer ? Elle sembler triste, perdu, anéantit.
Il vit des larmes couler sur ces joues, il serra ces poings a nouveau.
Le regard du jeune garçon avait changer, il était redevenus normal.
Il rejoignit Alice dans la charrette et pris sa main en la regardant.

Je suis désolé Alice, pardonne moi, j'ai pas vue que tu n'allais pas très bien ... que c'est il passer ? Est ce que tu a besoins de voire un médecin ?

Il posa sont front contre le siens.
Puis il prononça au creux de sont oreille ces quelques mots:

Je t'aime tu sais...

Alice vit Gaara venir vers elle. Il lui pris la main. Elle était tellement dans un état second, qu'elle fit a peine attention.

Gaara a écrit:: Je suis désolé Alice, pardonne moi, j'ai pas vue que tu n'allais pas très bien ... que c'est il passer ? Est ce que tu a besoins de voire un médecin ?

Elle secoua la tête pour lui dire non. Incapable de dire un mot. Les images de sa mère et sa soeur lui revenait sans cesse en mémoire. Elle les voyaient clairement, devant ses yeux, à chaque seconde. Gaara posa son front contre le siens, et lui murmura qu'il l'aimait. Seulement a ce moment là, elle repris légèrement ses esprits. Elle reconnut devant elle le Gaara qu'elle aimait, son regard étant redevenu normal. Difficilement, elle réussie a lui répondre :

- Moi... moi... aussi... je... t'aime...

Puis elle se blotti contre lui. Voulant chasser ses images de sa tête a tout prix. Elle ne se rappeller que de cette journée. Elle se posa alors la questions de pourquoi elle était toujours en vie ? Pourquoi c'était elle retrouver sur ce bateau ? Pourquoi ne l'avait-il pas tuer. Elle n'avait aucune marque de torture sur son corps. Elle regarda Gaara, ses larmes ne voulaient pas s'aretter de couler :

- J'aurais du mourir... je devrais... être morte...

Alice a écrit:: - J'aurais du mourir... je devrais... être morte...

Mourir ? Nooon ... tu ne mérite pas de mourir ! Pourquoi dit tu ça ? Je ne comprend pas !

*Que c'est il donc passer pendant qu'elle était inconsciente ? Elle a peu etre retrouver la mémoire et ce qu'elle a vu la choquer.*

Qui te veut du mal ?