[RP] Le bord de mer

[RP ouvert à tous]

Errant sur la grève, le visage face au vent, respirant à pleins poumons l'air chargé de sel, elle s'était laissée porter par ses pas. Étrangère à la ville, aux gens, elle s'enfermait de plus en plus dans le silence, fuyant les lieux animés, préférant la douce mélodie de la mer se brisant sur la cote. Assise là, le regard rivé à l'horizon, elle songea sérieusement au sens qu'elle pourrait donner à sa vie ici.
S'enrôler dans l'armée semblait être le mieux à faire, mais il lui était difficile de songer qu'elle conviendrait à la tâche. Elle avait été élevée en demoiselle et non pas en vu de manier quelques armes autres que ce que la nature avait bien voulue lui donner. Le travail de la terre lui réussissait plutôt bien, mais penser travailler pour quelqu'un et être redevable du pain mangé lui tira une grimace. Soupirant, elle resta un long moment ainsi prostrée, tournant et retournant le problème sans en trouver solution.

Valérius s'était rendu sur la plage comme à l'acoutumé afin de réfléchir sur la Marine , le son de la mer l'aidait dans ce but. Souvent ,il en profitait pour ramasser un ppeu de sable pour approvisionner le marché. Soudain, Il aperçu une jeune femme qu'il n'avait jamais vu auparavant et se dirigea vers elle.

Bonjour, Gente Dame vous êtes nouvelle sur cette île ?

Surprise dans ses rêveries, elle se releva vivement, manquant s'étaler, empêtrée dans ses jupes. Se maudissant intérieurement de sa négligence, elle chassa une mèche lui barrant le visage, observant l'homme qui lui avait adressé la parole. Il ne semblait pas animé de mauvaises intentions, mais méfiante, elle recula néanmoins d'un pas, prête à détaler si le besoin s'en faisait sentir.

Bonjour monsieur. En effet, je ne suis que depuis peu en ce lieu.
L'on me nomme Despina.

L'observant sans s'en cacher, elle attendit qu'il se présente à son tour.

Bonjour monsieur. En effet, je ne suis que depuis peu en ce lieu.
L'on me nomme Despina.

Je me présente je m'apelle Valérius. Si vous voulez je peux vous faire visiter j'y suis depuis sa reconquête au pirate. Mais avez vous un endroit où loger ?

L'homme se présenta mais ne s'étala pas pour autant, laissant Despina quelque peu perplexe. Se pourrait-il que certain ici n'ai pas de nom à rallonge ou de fonction alambiquée ?
Esquissant un sourire amusé à la dernière question, elle se redressa autant que le lui permettait sa petite taille et répondit :

Je dors de ci de là, où je trouve au moment opportun, mais j'ai bon espoir d'acquérir quatre murs.
Quant à la visite, je ne dis pas non, ayant fâcheuse habitude de me perdre j'avoue ne pas toujours savoir où me diriger... Mais peut être avez vous mieux à faire que de promener une gamine à travers la ville.

Les derniers mots avaient été prononcés faiblement, si l'homme était là depuis la prise de l'île, il devait être fort occupé comme la plupart de ses compatriotes.

Mais non vous ne me déranger pas du tout de tout façon mes affaires sont travaillés le soir à partir de 20 h. J'ai largement assez de temps pour un visite complète de la ville . Mais Si vous le voulez bien je vais vous conduire au cadastre que vous puissiez obtenir une maison.

Se détendant quelque peu, elle avança et vint se placer à distance respectable de Valerius.

Je vous suis en ce cas. Mais sachez que si vous avez à faire, je le comprendrais.

Marchant à ses cotés, elle profita pour lui poser quelques questions sur la vie à Guernesey.

Valérius parti avec Despina commencant à lui expliquer la vie à guerseney, la prise de l'ile.

Sandrine était arrivée sur le bord de mer très tôt ce matin. Elle s'arrêta un long moment et regarda la plage, en se laissant bercée par le bruit des vagues et le cri des oiseaux qui tournoyaient aux dessus des pêcheurs en quête de nourriture.

La nourriture.... elle n'avait pas mangée hier, un oubli sans doute...

Allez, cesse de rêvasser.... Ce n'est pas comme ça que tu y arriveras...

Elle se dirigea vers le bois pour aller cueillir de quoi la nourrir.

Je quitte la mairie, la mine sombre, j’ai besoin de me changer les idées, je déambule un moment dans les rues de ville.
La tempête n’est plus qu’un mauvais souvenir, l’entraide des habitants a fait son œuvre, la vie a reprit le dessus

Mes pas me mène a la plage sans m’en rendre compte, je marche sur le sable un moment puis m’installe au bord de l’eau, mes bras enserre mes genoux et je pose mon menton dessus, laissant errer mon regard vers l’horizon.

Tout se bouscule dans ma tête, le départ de Ramsay si précipiter, je n’ai même pas eu le temps de lui dire au revoir, quand le reverrais je d’ailleurs.
Le nouveau Prince qui est arrivé et qui ne c’est pas encore présenter à la population…
Mon nouveau mandat à la mairie, les nouveaux changements qu’il va falloir instaurer, les chiffres se bousculent dans ma tête.

Je frissonne, referme ma cape sur moi, rentrer à la maison serait sage, mais je n’en ai pas envie…

La nuit tombait, je ne pouvais rester ici et pas envie de rentrer dans la grande maison vide, je me lève et prend le chemin de la mairie

A l'heure où beaucoup s'amusaient à un bal donné par un homme qui ne se mêlait jamais à la population, Despina marchait doucement sur le bord de mer. Suivant les annonces placardées un peu partout en ville, tous avaient été conviés, mais préférant le bruit des vagues à celui de la musique et la lueur des étoiles à celle des chandelles, elle était là, nez au vent, regard au loin.

Soupirant doucement, elle secoua la tête d'impuissance face à la folie des hommes. Pourquoi tant d'acharnement contre cette petite île ? Pourquoi ne pas s'en tenir une bonne fois pour toute aux vœux de chacun ? Oui, ils voulaient leur indépendance, oui ils feraient ce qu'il faut pour, mais ce n'était pas dans un but de conquête qu'ils étaient venu ici. Du moins ce n'était pas ainsi qu'elle voyait les choses. Quand bien même les hautes instances de l'île étaient corrompues, était-ce à tous qu'il fallait en vouloir et pénaliser ? Beaucoup se donnaient corps et âmes pour faire vivre ce petit coin de terre perdu au milieu de la mer... Non décidément tout cela était bien confus dans sa tête et elle ne savait plus que croire.

La seule certitude qu'elle avait était qu'elle ne remettrait jamais les pieds sur le continent. Rien là bas ne justifiait son retour, même pas un homme. Les hommes...A l'âge où la plupart de ses comparses passaient leur temps en soupirs et battement de cils, elle, préférait et de loin, s'investir pour un avenir meilleur. Mais viendrait-il un jour cet avenir là ? Les récents événements avaient de quoi décourager. On ne parlait plus que de cela d'ailleurs et peu sur l'île pouvaient affirmer ne pas ce sentir concernés.

A présent assise, le menton posé sur ses genoux ramenés devant elle, elle réfléchissait à une possible solution quant au dénouement de cette affaire bien compliquée pour des gens comme elle, n'ayant accès qu'à ce qu'on voulait bien leur dire ou montrer.

Pourquoi ne pas faire un petit tour vers le bord de mer?ce dit-elle.Il serait curieux de voir cela de plus près.

Heureuse,elle prit une petite rue en direction du bord de mer,descendit une petite pente qui mennait directement sur un banc de sables et de rochers et courut vers la mer;elle y trempa ses mains et regarda le paysage, et vit au loin de gros bateaux pécheurs ramenant leurs butins de la veille,et fût surprise de voir un paysage aussi beau....

Comme à chaque fois que la mer se trouvait à proximité, Whoopie venait respirer l'air du large, cet air iodé qui comme toujours l'apaisait.
Le temps d'ailleurs s'y prêtait fort bien, le ciel d'un bleu azur, contrastait avec le mélange bleu vert de la mer, seuls quelques nuages venaient perturber cette image, qui néanmoins restait magnifique.

Elle s'avança au plus près de l'eau, s'assit et plongea son regard sur l'horizon. Dans ces moments là, ses pensées s'évadaient, comme ça pfuittt!!!...comme par enchantement, des moments de sérénité intenses qu'elle ne cesserait jamais d'apprécier.
Elle s'allongea, ferma les yeux et profita de cet instant. Le temps s'écoulait lentement, elle même ne savait combien de temps elle resterai là, mais quelle importance, elle n'avait aucune envie de se lever et s'en aller...

Dans un mouvement soudain, Whoopie se souvint qu'elle n'avait pas vu Blackie de la journée...peut-être l'attendait-il à l'auberge de la ville...
Elle se leva d'un bond et fila aussi vite qu'elle put en direction de la ville

[hrp]Pour vous mette dans l'ambiance lisez le rp avec la musique ... .[/hrp]

[Episode 4 = Toujours seul ...]

Gaara était arrivé a St Pierre Port dans la journée, et le soir arrivé il eu envie de se promener pour se retrouver un peu seul. Non pas qu'il n'aimer pas être en compagnie des gens qu'il avait rencontrer jusque la mais juste qu'il fallait qu'il soit seul un instant pour se ressourcer.
Il marchait dans la nuit sombre, personne dans les rues, tous était désert, il se dirigea vers la plage.
Un endroit si paisible la nuit. Le bruit des vagues, le vent qui venait fouetter sont visage et cette odeur indescriptible que l'on ne sent nul par ailleurs qu'au bord de la mers.
Il retira ces sandale pour marcher pieds nue dans le sable fin.
Il marchât un bon moment avant de s'arrête pour s'assoir en tailleur sur le sable.
Il regardât le ciel, les étoiles scintillais.
Il se mis a parler très fort comme s'il crier après quelqu'un toujours le nez vers le ciel:

Je sais que tu me regarde ... je ne sais pas ce que tu pense de moi aujourd'hui ... est ce que tu es fière de moi ? ... Je suis seul depuis si longtemps ,j'ai presque oublier ton visage, je n'arrive même plus a me souvenir du sons de ta voie. Chaque soir je ferme les yeux en essayant de t'imaginer pour conserver les quelques images qu'il me reste de toi ... et pour te garder dans mon cœur ... mais pourquoi ? Pourquoi est ce arrivé ? Pourquoi ma tu laisser ? pourquoi ne ma tu pas accompagner ? Pourquoi ma tu abandonné ? Tu aurais du l'empêcher ... tu aurais du m'aider ... mais tu ma regarder partir, tu savais que je ne reviendrais jamais ...tu savais que je serait seul a tous jamais ... tu savais que je serait triste ... mais tu ma laisser partir quand même ... malgré tous je ne t'en veux pas ... et je ne peu pas te détester ... non je ne te déteste pas ... j'aimerais que tu soit la près de moi ... j'aimerais que tu soit fière de moi ... fière de ton fils ... je t'aime maman ...

Il laissa ces sentiments prendre le dessus de sur lui et laissa couler quelques larmes sur sa joue.

Alice marchait dans les rues de Saint Pierre depuis un petit moment déjà. Elle errait de ci de là, ne sachant pas vraiment où elle allait, ni même ce qu'elle pouvait bien faire dans cette ville.

Comment donc elle avait attérie ici ? Cette question lui trottais dans la tête. Elle c'était reveillé sur ce bateau, avait attérie sur l'ile. Elle ne se souvenait de rien. Comme si elle venait de sortir d'un endroit clos, où elle était enfermer depuis des années. Pas un souvenir. Ni de sa famille, ni d'où elle venait, et surtout pourquoi on l'avait mise sur ce bateau ?

Elle regarda son poignet. Où plutôt la fine gourmette en or qui était attaché. Avec ce prénom graver dessus "Alice". Ellle la retourna, et regarda encore une fois la date. Sa date de naissance sans doute.

Elle soupira. Elle avait faim. Elle n'avait pas d'argent sur elle. Elle se privé déjà de nourriture depuis quelques jours. Elle sortait essentiellement la nuit. La journée, elle restait térrée dans les bois, essayant de se remémorrer son passé, ses 15 années dérrière elle qu'elle avait oublier.

Ses pas la menèrent jusqu'à la plage. Elle sortit ses chaussures. Elle avanca encore un peu plus. Quand elle vit une ombre au loin. Son premier reflexe fut de se cacher. Que penserait quelqu'un qui la verrait ? Elle ressemblait a une misérable. Sa robe déchirée par endroit, ses cheveux emmélé.

Elle se fit donc discrète, pour passer dérrière cette personne, un garçon assit sur la plage. Quand soudain il se mit a criait. Elle se figea, lachant son sac sous la surprise. Il tomba sans bruit dans le sable.

C'est alors qu'elle entendit les paroles. Paroles pleine de douleur prononcer par ce garçon. Elle sentie les larmes glisser sur ses joues. Qu'est ce que ça voulait dire ? Ce garçon était-il encore plus malheureux, et plus perdu qu'elle ?

Sans même réfléchir à ce qu'elle fesait, elle avanca vers le garçon, apparaissant alors sous la lumière de la lune. Puis elle arriva non loin de lui, elle se figea. Devait-elle avancer, et aller lui parler ? Pour lui dire quoi ? Elle ne savait pas qui il était, et encore moins pourquoi il était là lui aussi seul.

Elle resta donc là, ses yeux rivés sur lui...

Quelques larmes coulaient sur ces joues, il serrait ces poings très fort c'est alors qu'il sentit une présence derrière lui.

*Qui peu être cette personne sur la plage a une heure pareil ? Ma t' elle entendu ? Es ce possible que se soit elle ... tu serais venus me rejoindre ... je t'es appeler tellement fort que tu m'aurais retrouver ?*

Gaara se retournas d'un seul coup et aperçût une fille près de lui, d'un geste rapide il balaya les larmes qui coulait le long de ces joues puis il se releva en gardant toujours cette fille dans le regard.
Il l'observat un moments sans parler, elle non plus ne dit pas un mots.

* Elle semble perdu et intimidé par ma présence ici, pourtant elle aurais pu passer sans s'arrête mais elle a décidé de se montrer volontairement.
Elle a l'air d'avoir faim.*

Le visage toujours fermée il repris comme pour se justifier:

Je ne pleurais pas tu sais, c'est que je me suis pris du sable dans les yeux ... mais la sa va mieux ... mais au faite que fait tu ici ? et qui est tu ?

Il s'arrêtât, lui pourtant si discret d'habitude était en train de posé des questions...

Alice sursauta quand le garçon se retourna. Elle le regarda avec insistance, comme lui l'a regardait. Que devait-il penser ? Cette pauvre fille devant lui, là, qui ne ressemble à rien.
Lui, paraissait si étrange. Elle resursauta encore une fois quand il ouvrit la bouche pour lui parler :

Gaara a écrit:: Je ne pleurais pas tu sais, c'est que je me suis pris du sable dans les yeux ... mais la sa va mieux ... mais au faite que fait tu ici ? et qui est tu ?

Elle mit du temps à répondre. Plusieurs jours qu'elle n'avait pas parlé a qui que ce soit. Donc, d'une voix douce, et calme, elle tacha de lui répondre :

- Je suis Alice... Qu'est ce que je fait ici ? Je l'ignore... Je ne sais pas ce qui m'a conduit en cette ville... Et là, je suis venue me promener, et... je t'ai entendut...

Elle rajouta ses derniers mots en le regardant fixement. Elle n'arrivait pas a décrocher son regard de lui, comme si elle venait de découvrir un merveilleux joyeau :

- Tes paroles m'ont touchés... Et toi ? Qui es tu ? Tu semble si mystérieux...

Alice a écrit:: - Je suis Alice... Qu'est ce que je fait ici ? Je l'ignore... Je ne sais pas ce qui m'a conduit en cette ville... Et là, je suis venue me promener, et... je t'ai entendut...

Gaara ecoutat la jeune fille parler en la regardant, il écoutais ce qu'elle disait, et sa voie douce le surpris.

*Je me demande qui elle est, elle est perdu comme moi, sans personne !!Sans amis, sans savoir où allez.*

Alice a écrit:: - Tes paroles m'ont touchés... Et toi ? Qui es tu ? Tu semble si mystérieux...

Je ... je suis ... Gaara, Gaara du Désert. Je vient d'un autres pays très loin d'ici ...

Il s'arrêtât de parler brusquement.

*Mais qu'est ce qui m'arrive a dire tous cela ?? C'est sont regard il ...il m'envoute ... il faut que je change de sujet !Ressaisi toi mon vieux !!*

Moi aussi je suis seul, sans personne a qui parler. Je suis arrivée ici il y a quelques jours et toi ? Tu es ici depuis combien de temps ? Tu a manger ?

Il continuais de la regarder, ces habits sont tous sale et tous déchiré elle semble si pauvre, ces cheveux sont tous emmêler.
Pourtant il ne la voie pas comme une petite fille sale, il sais que la crasse n'est que superficielle, et que dessous ce cache une personne très gentille, c'est ce que disais ces yeux et sa voie.

Gaara a écrit:: Je ... je suis ... Gaara, Gaara du Désert. Je vient d'un autres pays très loin d'ici ...

Gaara ?! Quel étrange prénom... Aussi étrange que le garçon qu'elle fixait avec insistance. Elle se demanda, même, si elle n'allait pas paraitre incorrecte :

Gaara a écrit:: Moi aussi je suis seul, sans personne a qui parler. Je suis arrivée ici il y a quelques jours et toi ? Tu es ici depuis combien de temps ? Tu a manger ?

- Je trouve ton prémon trés beau, il te va à ravir. Aussi mystérieux que tu semble l'être...

Manger... elle paraissait donc bien si misérable ?

- Hum... Manger... Pas vraiment, pas depuis ces 3 derniers jours. Mais je résiste. Je n'ai pas le choix. Je suis arrivé ici, il y a une semaine environ, il me semble... Je ne suis pas une voleuse, je préfère me priver que d'avoir quelques chose à me reprocher...

Puis son regard se posa sur l'étrange marque qu'il avait sur le front. Elle s'avanca alors vers lui, doucement, ne voulant pas le faire fuir. Il était si différent des autres habitants qu'elle avait pu croiser jusqu'a maintenant. Pourtant, elle n'avait pas peur de lui. Malgrés son visage vide de toute expression, Alice se sentait rassurée. Plusieurs questions se bousculèrent dans sa tête. Elle avait envie d'en savoir tellement plus sur lui. Pourquoi avait-il du venir si loin de son pays ? Et cette marque ? Qu'est ce qu'elle pouvait bien signifier ? Elle replongea son regard dans ses yeux. Ils étaient si envoutant :

- Ta mère doit te manquer énormément... Toi aussi tu dois lui manquer. Mais ne t'en fait pas, je suis sure qu'elle est trés fière de toi... Tu es un gentil garçon, ça se voit, même si tu parait aux premiers abords froid...

Elle avanca encore, lui fesant un sourire, comme pour lui montrer que ses paroles étaient sincères. Elle était à présent assez proche de lui...

Alice a écrit:: - Je trouve ton prémon trés beau, il te va à ravir. Aussi mystérieux que tu semble l'être...

Il voulue répondre mais ne su que dire, il n'avais pas l'habitude qu'on lui parle, encore moins qu'on lui fasse des compliment.

Alice a écrit:: - Hum... Manger... Pas vraiment, pas depuis ces 3 derniers jours. Mais je résiste. Je n'ai pas le choix. Je suis arrivé ici, il y a une semaine environ, il me semble... Je ne suis pas une voleuse, je préfère me priver que d'avoir quelques chose à me reprocher...

*Elle ne veut pas voler ? Préfèrent souffrir que d'avoir mauvaise conscience ? Mais elle doit être morte de faim si elle na pas manger depuis tous se temps ? Je ne peu pas la laisser mourir de faim.*

Je sais que voler c'est pas bien, mais moi par exemple c'était ma seul façon de survire, je vole sur les marchés depuis que je suis tous petit, depuis que j'ai quitter mon village.

Alors qu'il parlais, il la vit s'avancer doucement de lui observant sont front, il voulue reculer un peu, et ne le fit pas, il devais essayer de lui faire confiance.

*Je ne doit pas fuir, j'ai dit que je ne fuirez plus, je doit essayer de faire confiance a nouveau, et je suis sur que je peu lui faire confiance.*

Il continua de la regarder quand elle replongea son regard dans le siens, il sursautât même lorsqu'elle lui posa la question.

Alice a écrit:: - Ta mère doit te manquer énormément... Toi aussi tu dois lui manquer. Mais ne t'en fait pas, je suis sure qu'elle est trés fière de toi... Tu es un gentil garçon, ça se voit, même si tu parait aux premiers abords froid...

Il l'écouta toujours avec attention, il leva les yeux un instant vers les étoiles lorsqu'elle se mis a parler de sa mère puis il la regarda a nouveau dans les yeux. Il voyais la sincérité, il voyait qu'elle disait vrai.

*C'est fou mais j'ai l'impression de la connaitre, l'impression de l'avoir toujours connus, pourtant je ne voie pas où j'aurais pu l'avoir déjà rencontrer. Mais ce regard, et cette façon de me regarder ... c'est si étrange ...*

Il fut un peu surpris lorsqu'elle s'avança a nouveau, elle lui souriait elle avais l'air d'allée mieux que tous a l'heure, sa respiration était paisible et détendu, il pouvais la sentir sur sont coup. Il repris calmement en continuant de la regarder dans les yeux:

Ma mère ? Je ne sais pas si elle est fière de moi ,je ne sais pas ce qu'elle est devenus, je ne sais pas ce qu'elle fait. Mais je ne peu plus retourner dans mon village pour la revoir, ça serait trop dangereux . Et je ne sais pas si je réussirais a la reconnaitre, jetait si jeune quand je suis partit.

Il s'arrêtât un instant puis repris:

Je ne sais pas si je suis quelqu'un de bien, je ne pense pas , je ne pense pas être bon, je ne fait qu'apporter la haine partout où je vais.
Tu connaitrais mon histoire, toi aussi tu me haïrais peu être...

A peine avait il finit sa phrase qu'il la regrettais déjà, et si elle finissait par savoir qui il etait et qu'elle le détester ? Il se sentais si bien, il n'avais pas envie de tous gâcher.

Alice observait chaque mouvement de Gaara. Elle voulait essayer de comprendre se qu'il ressentait à ce moment. Eux, pauvre enfants égarrés. Lui ayant dût fuir, elle ayant oublier tout son passé. Elle tentait de voir une expression apparaitre sur son visage. Mais il rester aussi fermé.

*Il doit beaucoup souffrir* pensa-t-elle

Gaara a écrit:: Je ne sais pas si je suis quelqu'un de bien, je ne pense pas , je ne pense pas être bon, je ne fait qu'apporter la haine partout où je vais.
Tu connaitrais mon histoire, toi aussi tu me haïrais peu être...

Elle secoua la tête :

- Peu m'importe ton passé. Je te voit tel que tu apparait maintenant. Et pour le moment, je n'ai ressentit aucune haine. Au contraire. Tu semble plus souffrir qu'autre chose. Tu sais... moi, je ne sais rien de mon passé... Peu être que moi aussi j'étais méchante...

Puis elle avanca sa main vers lui, et effleura son front, à l'endroit de sa marque :

- Je trouve ce symbole trés beau... Qu'est ce qu'il signifit ?

Alice a écrit:: - Peu m'importe ton passé. Je te voit tel que tu apparait maintenant. Et pour le moment, je n'ai ressentit aucune haine. Au contraire. Tu semble plus souffrir qu'autre chose. Tu sais... moi, je ne sais rien de mon passé... Peu être que moi aussi j'étais méchante...

*Pour une fois qu'une personne me juge sur ce que je suis aujourd'hui et pas sur mon passer ... *

Il la vit s'approcher a nouveau et approcher sa main de sont front, il ne bougea pas, même s'il ne savais pas ce qu'elle allais faire il la regardât. Elle toucha sont front, il ne pu s'empêcher de fermer ces yeux.Jamais personne ne l'avais toucher ainsi, personne, sauf sa mère il y a très longtemps.

*Qu'elle étrange sensation*

Il réouvrit les yeux lorsqu'elle lui parlas:

Alice a écrit:: - Je trouve ce symbole trés beau... Qu'est ce qu'il signifit ?

il la regardât dans les yeux et repris:

Ce symbole et le symbole de l'amour. Je suis née avec. Ma mère me disait que c'était pour montrer au gens combien jetait bon. Mon père lui me disait que c'était pour me rappelé que quoi que je fasse, je ne connaitrais jamais l'amour. Il me disait que jamais personne ne m'aimerais, personne ne serait mon amis, personne ne me ferais confiance car c'était la destiné.C'était écrit dans les livres anciens. D'après lui jetait destiné a tuer, a nuir a tous le monde et cette trace était censé prévenir les autres villageois que le monstre était parmi eux.Le monstre ... moi ...

Il se tut un instant regarda la réaction de la jeune fille.

Tu n'a pas peur ??

Alice ecouta attentivement la réponse. C'était donc ça. Ils l'avait fait passer pour un monstre durant son enfance ? Tout ça parce que c'était écrit dans un livre ancien ? Alice ne pouvait pas comprendre une chose pareille, une telle horreur, ça ne pouvait pas exister :

- Non je n'ai pas peur, et je n'aurais pas peur de toi. Je suis persuader que ta mère a raison. Si tu étais si mauvais, tu ne serais pas là a me parler. Les légendes sont fausses, j'en suis sure. Coment peut-on dire a un enfant qu'il est mauvais, tout simplement parce qu'il né avec une marque sur le front. Tu as droit a l'amour comme tout le monde, et le droit d'avoir des amis. Tu n'a pas un coeur de pierre. Et puis tu n'est pas un monstre, sinon, je ne serais pas venue vers toi. Tu es humain tout simplement.

Alice était convaincue de ses paroles. Elle n'avait pas détourner le regard. Toujours plonger des ses yeux. Puis elle eut un frisson. Une légère brise c'était levée, et elle était trés peu vétue. Elle fit comme si elle ne ressentait rien. Ne voulant pas que Gaara le remarque. C'est curieux comme elle se sentais attiré par lui. Elle avait envie de le protéger, de faire en sorte qu'il ne pense plus jamais que c'était un mauvais garçon :

- Oublie tout ça. Tu as un long chemin a faire devant toi. Un chemin plein de bonheur. Il suffit que tu le veuille vraiment. Des fois, la passé, vaut mieux l'oublier... Peut etre que c'est ce qui m'arrive...

Alice a écrit:: - Non je n'ai pas peur, et je n'aurais pas peur de toi. Je suis persuader que ta mère a raison. Si tu étais si mauvais, tu ne serais pas là a me parler. Les légendes sont fausses, j'en suis sure. Coment peut-on dire a un enfant qu'il est mauvais, tout simplement parce qu'il né avec une marque sur le front. Tu as droit a l'amour comme tout le monde, et le droit d'avoir des amis. Tu n'a pas un coeur de pierre. Et puis tu n'est pas un monstre, sinon, je ne serais pas venue vers toi. Tu es humain tout simplement.

Alice a écrit:: - Oublie tout ça. Tu as un long chemin a faire devant toi. Un chemin plein de bonheur. Il suffit que tu le veuille vraiment. Des fois, la passé, vaut mieux l'oublier... Peut etre que c'est ce qui m'arrive...

Elle était pleine de sagesse et savais rassurer les gens, sont regard était protecteur et ces gestes doux. Pendant un moment il pensa s'être endormis et que tous cela n'était qu'un rêve, mais pourtant sa semblais si réel.
Il leva a nouveau les yeux vers le ciel puis repris:

Tu ma dit que tu passe t'es nuits dans la foret ? Ce n'est pas vraiment un endroit pour dormir, surtout pour une jeune fille. En plus il faudrait que tu puisse manger quelque chose. J'ai rencontrer une personne très gentille, c'est elle qui ma fait venir ici, nous allons passer chez elle, je suis sur qu'elle accepteras de t'aider toi aussi.

*Alors ce serait sa l'amitié ? S'inquiéter pour l'autre, vouloir l'aider et faire tous pour y parvenir*

En plus il va faire de plus en plus froid et si nous ne voulons pas attraper la mort, nous ferrions mieux de bouger un peu. Alors qu'en dit tu ? Tu accepte de venir ?

Il la regardais dans les yeux espérant qu'elle accepte de venir avec lui.