[RP] Demeure d’Iseult et Ramsay de Montgomery

Au bord de la ville se trouvait le château.
Les malles étaient arrivées quelques jours auparavant, ainsi que Firmin et Ernestine suivit de Grosjean le vieux cuisinier, qui le pauvre avait eu le mal du voyage tout le long de la traversée.
Tous les trois s’étaient occuper de déballer l’essentiel, plusieurs malles traînaient encore, se qui ne me changeait pas de Paris d’ailleur.

Chaque jour en rentrant de la mairie, je retrouve mon prince, ici c’est le mien, il n’est qu’a moi, nous retrouvant enfin seul nous aimons le calme du lieu, nous parlons de diverse choses faisons des projets…

Quand j’ai un peu de temps, je visite, j'accroche les tableaux des ancêtres de mon époux, même le vilain pas beau balafré je lui ai trouver une place, bon pas dans le hall d’entrée, mais il est là quand même.

Ainsi les jours passent, le château prend vie, et j’aime a le parcourir, le découvrir pied nu, quand mon mari n’est pas dans les parages…

Ramsay arrive enfin dans sa nouvelle demeure. Dix jours déjà qu'il travaille sans relâche au Conseil et dors dans son bureau.

A peine arrivée dans l'entrée il tombe sur quelques males entreposées à la hâte un peu comme dans son hôtel particulier de Paris.

Il jette un oeil à droite et à gauche et voit que décidement son epouse a encore bien fait les choses et déjà accroché aux cimaises quelques tableaux de maîtres ainsi que des portraits.

Il va rendre une petite visite aux cuisines pour voir si Grosjean est bien installé. Tout semble aller pour le mieux. Les domestiques quant à eux semblent s'affairer comme jamais et il voit au détour des couloirs Ernestine courir d'un côté et Firmin de l'autre.

Il entre dans le grand salon où un bon feu de cheminée l'attend. Il prend un livre dans la bibliothèque et s'installe dans un bon fauteuil en commencant l'ouvrage. La vie des hommes illustres de Plutarque... tout un programme...

Le feu crépite et le silence lui permet d'entrer pleinement dans sa lecture, laissant vagabonder son âme au gré des vies de ces grands hommes qu'il a toujours admiré. La vie de Thésée l'inspire et il s'endors presque bercé par le glissement des bûches se consumant.

L'heure du souper approche, il attend tranquillement le moment où sa douce Iseult arrivera dans la pièce, sans doute pieds nus comme à son habitude... Ici point de manières de la Cours, il est en famille enfin...

J’écoute la demoiselle, elle n’a pas du avoir une vie facile, perdre ses parents si tôt et confiée a des êtres peu aimants.
Continuant de marché vers le palais les souvenirs me submerge, mes parents si vite parti, le vide qu’ils ont laissé, pourtant je n’étais pas si jeune et chaque jour encore je pense a eux, que penserait il de moi aujourd’hui, j’ai tant changée…

La grille du palais est là, je me tourne vers Paulana

Nous voila arrivée.

L’allée traversée, la lourde porte s’ouvre instantanément et Firmin nous accueil, a croire qu’il dort devant la porte, j’entre

Bonsoir Firmin, je ramène de la visite aller prévenir en cuisine que la soupe soit vite prête, Monsieur est il rentré ?

Firmin s’incline, débarrasse la demoiselle d’un regard septique avant de me répondre

Monsieur est dans le salon

Bien merci Firmin faite alors

Venez Paulana allons d’abord nous réchauffer devant un bon feu…

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Arrivée près de la cheminée Paulana reconnu le prince et sa timidité la retint un petit moment de s'approcher du feu mais elle finit par s'incliner et le saluer d'une vois hésitante: Bonjour votre Altesse .Votre femme ma emmenée ici pour manger un peu et me réchauffer si cela ne vous dérange point...
Sur ce elle se blottit contre le coin le plus près de la cheminée et attendit que la soupe soit prete et remercia Iseut encore une fois.

[ Dans le grand salon]

Ramsay est installé dans le fauteuil près de la cheminée, un livre à la main.
Il fait bon dans la pièce et je retiens l’envie de me déchaussé.
Timidement Paulana s’avance et salue comme il se doit mon époux, la jeune fille a de bonne manière et a reçu des rudiments d’éducation malgré le drame qu’elle a vécu semble t’il

Je m’approche de mon tendre doucement, pourtant l’envie de me jeter dans ses bras est grande mais nous ne somme pas seul, je me penche et je dépose simplement un baiser sur sa tempe en lui souriant

Je me suis permise de ramener la jeune demoiselle que voici, elle se nomme Paulana.
Je pense que prendre un bon repas lui fera grand bien, l’hiver est rude et elle n’a point de toit pour passer la nuit
Nous pourrions certainement l’aider, qu’en pensez vous ?

Voyant que mon époux ne répond pas, je me déplace devant lui et remarque qu’il dort profondément, j’ôte le livre qu’il a en main, regarde la couverture et sourit, après l’avoir déposer, je déplie une couverture chaude et en recouvre mon aimé.
Regardant la demoiselle

Il est très fatigué, il a passer de longue journée au bureau pour régler les affaires urgentes, excusez le

Firmin entre avec un plateau, dépose sur la table la soupe fumante qui emplissait d’un bon fumet la pièce et une corbeille remplie de pain
Avant qu’il ne s’échappe

Firmin, demander a Ernestine d’aller dans mes appartements et de me ramener la petite robe de velours bleu et une cape

Bien madame. dit celui-ci avant de sortir en s’inclinant

Je me dirige vers la table, la bonne odeur est une invitation que je ne peux refuser

Venez Paulana, installer vous

Assise je plonge ma cueillere dans le bol et la porte à mes lèvres en souriant à la demoiselle

Pendant que nous finissions notre repas le vent se mi a soufflé frappant les fenêtres du salon, puis un craquement ahurissant, je sursaute, me lève et me dirige vers la fenêtre, dans le parc plusieurs arbres centenaires étaient couchés, le plus proche venait de s’écrasé sur la terrasse d’été.

La porte du salon s’ouvre, Ernestine entre son visage est grave et elle tressaille au moindre bruit, elle me tend la cape et la robe, cachant ma propre inquiétude, je prends la parole en souriant

Nous essuyons une tempête, Ernestine aller vous réfugier avec Gorsjean dans les profondeur du château

Bien et vous madame? Me dit elle.

Ne vous inquiéter pas pour moi, envoyer Firmin ici qu’il reste près de Monsieur.

La vieille gouvernante s’en fuit après s’être inclinée, je me tourne vers mon invitée et lui tend les vêtements

Voila de quoi vous changer, et une cape bien chaude vous sera utile.
Je vais aller voir se qu’il se passe en ville, vous pouvez rester ici au chaud si vous le désirer, vous pourrez repartir quand le temps sera plus clément. Les murs du château sont épais vous ne risquer rien.

Je lui souris avant de sortir en croisant Firmin.

Rester ici près de monsieur, il semble dormir d’un profond sommeil

N’attendant pas la réponse je sors de la pièce, monte dans mes appartements et me vêtis d’une tenue plus confortable, mes pensées vont vers les villageois…
Prête je sors du château, me dirige vers les écuries, selle ma jument et file vers la ville

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Paulana prit les vetements que l'on lui donnait et remarqua qu'ils étaient fort beaux. Elle était toujours dans sa contemplation quand le vent se mit à souffler ,elle trésaillit ,écouta se que lui disait Iseult mais elle eu à peine le temps de la remercier car celle ci s'en était déja allée. La jeune fille mangea donc sa soupe de bon coeur en veillant à ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller le prince et resta ainsi une bonne partie de la soirée à regarder la cheminée et à penser quelle avait eu beaucoup de chance que la princesse l'hberge le jour meme ou une tempete frappait la ville.

Invité

Citation :: De Sa Sainteté le Pape Adéodat III, Souverain Pontife et Patriarche de la Sainte Eglise Pascale, à notre fille Madame Iseult de Montgomery, Duchesse de Beneventi, salutations au nom du Seigneur.

Madame, votre missive m'a conforté, s'il était nécessaire, dans l'assurance que vous êtes tout comme nous soucieuse du bien être des habitants des îles de la Manche.

Nous croyons le Prince Mathieu tout à fait capable de présider aux destinées de la Principauté et sommes fort surpris des rumeurs qui courent sur sa personne.

Nous diligentons actuellement une enquête pour conaître les raisons de son silence et son inaction supposée.

Croyez bien madame que les mesures susceptibles de garantir le meilleur avenir possible à la principauté seront prises !

Saluez pour moi notre fils Ramsay, votre époux, dont nous sommes également sans nouvelles !

Reims, le 7 mars 1649 ANNO DOMINI, 7 AMORIS 1 ANNO PASCALI

En quittant la demeure du capitaine, je me presse sur le chemin menant chez moi, la porte poussée, le calme m’enveloppe, je reste un moment appuyé contre celle ci en réfléchissant.
Mais la fatigue est bien présente, je me dirige vers mes appartements en me disant que rien ne sert de se torturer l’esprit.

Passage devant le tableau de Ramsay enfant, dieu ce qu’il me manque mon tendre époux, je fais un clin d’œil à son image et murmure

Ou es tu donc mon grand voyageur

Pas de réponse bien sur, j’entre dans ma chambre, passage devant la coiffeuse pour retrouver l’image que je préfère de moi, la transformation s’opère, envolée la duchesse et maire, revoilà Iseult jeune femme insouciante.
Je souris à mon reflet avant d’aller me coucher et rejoindre le pays des songes, demain sera un autre jour…

Réveil en douceur, étirement, se lever, s’apprêter, nous sommes dimanche jour de la messe.
Passage par la cuisine, bonne odeur, pain emporter, je quitte la demeure de bonne humeur.
En chemin je discute avec quelques habitants qui me posent des questions aux quelles je ne peut répondre, oui logiquement ses le Vicomte de Sercq qui sera Prince, mais le codex n’est toujours pas terminer…
Mes pas me mènent enfin devant l’église…

Je quitte l’église, marche tranquille dans les ruelles de la ville, le printemps fait son apparition et un pale soleil essaye de percer les nuages, doucement je pousse la grille et longe le sentier menant a la porte, quelques narcisses sont prêtent a éclore.

Je m’installe sur les marches du perron et admire le jardin, plus loin au-delà de la grille la ruelle qui descend dans la ville, ville de tous mes espoirs, ville où je pensais vieillir doucement année après année, ville ou je me sentirai toujours chez moi.

Des mômes passent en courant et riant dans la ruelle, je souris pensant à mes rêves les plus fous, des bambins courrant dans le jardin, nos bambins à nous, mais comment fonder une famille en restant éloigné l’un de l’autre comme ses derniers mois.
Je ne peux continuer ainsi, mon tendre me manque, nos soirées cote a cote me manque, la chaleur de ses bras me manque, le rejoindre, le retrouver, j’ai longtemps hésiter, comme toujours faire passer les autres avant moi, oublier le chagrin qui s’installe dans mon cœur.

Maintenant la maire sera dans de bonne mains, cousin Charles prendra la relève, les filles seront là pour l’entourer, elle connaissent leurs travail et le fond bien, je peux partir sereine.

Je me lève enfin et entre dans cette maison si calme, si vide, Firmin, Grosjean et Ernestine sont déjà sur les chemins depuis la veille, la vieille dame à déjà préparer ma malle, plus que quelques objets à prendre juste avant de partir.

Je me dirige vers la cuisine longeant les couloirs, me mettre aux fourneaux, préparer des petits gâteaux, j’aimais ca avant, il y a longtemps...
Chaussure balancée dans un coin, pieds nu on est bien mieux, j’ouvre les placard, farine œufs tout est déposé sur la table, me voila pétrissant, la douce voix de maman qui arrive a mes oreilles « c’est bien ma belle, continue comme ca, il ne faut pas avoir peur de salir ses mains », je souris. Quelques heures plus tard une bonne odeur a envahit la demeure.

Grignotant un gâteau tout chaud, je vais m’installer dans le salon, un livre à la main…

Un frisson me réveil, je me suis endormie dans le salon, le feu dans l’âtre est éteint, le soleil passe par la fenêtre, une belle journée s’annonce, quelques minutes sont nécessaire pour rallumer le feu, si je ne veux pas rentrer se soir dans une maison glacée.
Je prend la direction de mes appartements, un brin de toilette s’impose, revêtir une jolie robe et ses fichu souliers.
Prête je descends à la cuisine, j’emporte mes petits gâteaux avant de quitter la maison.

Allumer les chandelles, la nuit est là, je rentre de la mairie, dépose mes effets, il me faut me changer, une tenue confortable pour prendre les chemins, pantalon chemise manteau et vieilles bottes, cheveux attacher en longue natte.
Dernier repas pris sur le coin de la table, je range plus rien ne traîne.

La malle est là dans l’entrée, je l’observe un moment, je n’en ai pas besoin, je l’ouvre, récupère quelques effets dont j’aurai besoin pour le voyage et pousse tout dans ma vielle besace, j’y ajoute le petit coffre et la referme.

Prête, je suis prête, un dernier tour de la maison doucement pour garder en mémoire ce lieu qui nous a vu vivre quelques temps.
Puis doucement je sors, je referme la porte sur une partie de notre vie, la clé est tournée, la page doit tourner aussi.
Besace mise en bandoulière, j’enfourche ma jument, bête fidèle qui va m’emmener vers mon aimé.

Je traverse la ville au pas, plus personne a cette heure dans les ruelles, plus facile de partir dans le silence, arrivée aux portes de la ville, je m’arrête un moment, un dernier regard, une dernière pensée pour tous mes amis, vont-ils me pardonner.

Respiration profonde, je talonne ma monture qui part au galop, dans mon esprit il n’y a plus qu’un seul visage, et c’est vers lui que je chevauche.

Après être passée au marché, Galadriel arrive devant l'ancienne demeure d'Iseult et Ramsay.
Elle descend de son cheval, noue les rennes a un arbre et s'approche de la porte.
Elle s'installe sur les marches et pose son panier a coté d'elle.
Il fait gris, le brouillard est même présent. Dans un murmure triste Galadriel commence a parler toute seul.

"Bonjour Iseult, bonjour Ramsay.
Heuu... C'est pas parce que vous êtes plus la que vous n'êtes pas vraiment la?!
Enfin... Je veux dire que même si vous êtes pas la... Bah vous l'êtes quand même... Bref je me comprends... C'est le principal." Galadriel fouille dans son panier et sort les trois pommes fraichement achetées.
"Je reviens du marché... J'ai pensé a vous." Galadriel dépose une pomme à gauche et une a à droite. Elle sort aussi la bouteille de cidre, trois verres et une assiette de petit gateaux. [RP] Demeure d’Iseult et Ramsay de Montgomery Tweatie+pies

[RP] Demeure d’Iseult et Ramsay de Montgomery Tweatie+pies

"J'avoue, j'ai rien fais de tout cela.
Les gâteaux c'est Madelaine, qui d'ailleurs vous salut. Elle est bien brave cette petite. Je dis ça mais je me demande si elle n'est pas plus vieille que moi. Off quelle importance?!..." Galadriel débouchonne la bouteille, remplit les trois verres et avance sa main pour prendre un gâteau. Elle s'arrête net et rit. "Il y a du miel dans ces gâteaux... Ça me provoque des choses pas bien belles a voir, si vous voyez ce que j'veux dire." Galadriel boit une longue gorgée de son verre et soupire. "Pfff... Je m'ennuie ici... Je crois que j'ai soif d'aventures... Un nouveau Guernesey, des nouveaux pirates ou je ne sais quoi à combattre." Elle rit. "C'est la routine ici... Je me lève et je cours au bureau copier une dizaine de lettres pour nos nouveaux habitants... Vous allez bien venir hein! Venir nous voir un peu... Oui, venir me voir..." Galadriel se ressert un verre le boit d'une traite puis s'en enfile un troisième. Elle retient un petit hoquet"A la votre en tout cas. Iseult j'imagine que tu est heureuse d'être à nouveau avec Ramsay. Ça ce voyait que tu n'avais plus le gout... Enfin bref c'est pas tout mais j'ai des choses a faire. Un petit dernier pour la route et je vous la laisse. Tenez je vous laisse même ma pomme, pas faim là." Galadriel grimace et se sert un dernier verre. Une fois finit elle le jette dans son panier, se lève et se met face a la porte. "Eh bien j'espère que tout ce passe bien pour vous. Ne m'oubliez pas trop et je vous embrasse fort!"
Galadriel tourne les talons, prend le panier et s'éloigne d'un pas rapide.
Elle détache Hollow, grimpe dessus et part au galop pour retourner en ville.
Elle avait était incohérente dans ses paroles. L'émotion lui avait nouée la gorge. Ne plus les revoir l'attriste vraiment. Mais elle sait que ce n'est que pour un moment. C'était un au revoir pas des adieux...

[Quelques semaines plus tard]

Réveil en sursaut, je suis dans mon lit, la sueur perle à mon front, du dos de la main je l’essuie en me redressant, tout cela n’était qu’un cauchemar, se n’est pourtant pas le genre de chose qui me fait peur, un simple procès, sans doute mon état et le fait que Ramsay ne soit pas a mes cotés me rend plus faible.

Le soleil est déjà haut dans le ciel, on doit être l’après midi, je me lève doucement craignant encore ces fichues nausées, chaque jour se ressemble depuis quelques semaines maintenant.
La chambre est vide, je frissonne, me lève, les malles ont été vidée par Ernestine, je choisi une robe bien large, qui pourtant a du mal à fermer, envie de rire, il me faudra aller voir le couturier si je veux pouvoir continuer à m’habiller et sortir.

Je m’enferme un moment dans le bureau de Ramsay, installée devant un parchemin je laisse glissée la plume, ma défense à ce procès devait se faire au plus vite, un seul avocat était apparemment en ville, je n’avais donc pas le choix, c’est lui qui me défendra.
Parchemin rouler, je fis tinter la sonnette, Firmin aussitôt entre, je lui tend en lui donnant ordre de remettre la missive en main propre a sieur Wisme.

Passage par la cuisine, odeur certainement alléchante pour tous, mais pas pour moi, je sors la faim n’est pas au rendez vous.

Firmin avait fait charger la charrette des victuailles et autres objets utiles, je monte, prend les rennes et bercer par les roulis de la carriole je me dirige vers le marché, pensant à la missive que je venais d’envoyer à l’avocat de la ville pour le procès.

Le chariot avait été ranger, quelques heures de sommeil bien méritée, je me lève se jour que le soleil est déjà haut dans le ciel.
Un long moment je reste assise sur mon lit a réfléchir, ou en sont mes projets nulle part, pourtant en arrivant sur le bateau cette nuit là, j’avais imaginer tant de chose a faire pour les habitants et les pauvres de l’île.
Je suis las et fatiguée mais je dois me secouer tout mettre en œuvre, envie de dormir encore pourtant je fini par sortir de se lit seul endroit ou je me sens bien et quitter les rêves qui me fait oublier la vie.
Etonnée je me vêtis après une brève toilette, pas de nausées se matin peut être vais-je pouvoir manger, contente je me dirige vers la cuisine fouille des placards a la recherche de se qui me ferais plaisir, mais rien je n’ai décidément pas faim.
Je sors en me demandant depuis combien de temps je n’ai manger, aucune idée, un haussement d’épaule accompagne mes paroles murmurées

Peut être demain.

Je m’installe sur un banc dans le jardin et je regarde cette grande maison, trop grande d’ailleurs, les idées se bousculent dans ma tête, dans l’annexe pourquoi ne pas faire ma boucherie, une boucherie pour les pauvres, où ils pourraient trouver des plats pas trop chères et des pains a moindre coût.
Je souris, oui voila se que je vais faire aider les pauvres de la ville dès que mon procès sera terminer.

L’avocat n’a toujours pas répondu à ma missive, je me lève et prend la direction du centre de la ville, une visite chez lui s’impose.

Des semaines plus tard....

Une ville fantôme, Saint Pierre port est devenue une ville fantôme….
Je tourne en rond dans la maison, le bal prévu n’arrive pas, la messe est dite a la va vite ou en retard.
Depuis un moment l’envie de reprendre la route me trotte dans la tête.
Par ce matin ensoleillé ma décision est prise, l’ordre de préparer les malles est donné et Firmin s’active déjà.
Je quitte la demeure heureuse de ma décision, une dernière petite chose à faire avant de prendre la mer.
Je traverse les ruelles et prend la direction de la petite maison de Coraline.

» Lettre pour Iseult
» [RP] Manoir de Charles-Edouard de Montgomery
» [RP]Demeure de Coraline et l'infirmerie
» [RP] Une arrestation en ville, Iseult jetée au cachot
» [RP] Demeure de Geoffroi