Bureau du Prince de Guernesey

Mon ami je suis fort aise que vous ayez parlé comme cela, avec toute la franchise et l'honneur qui caractérise les gens de noble lignage.

Croyez que pour ma part j'ai aussi répondu à l'appel du Saint Père, sans jamais renier mon Roi bien entendu car ces pirates n'étaient en rien ses alliés mais de vils tyrans.

Je n'étais pour ma part pas membre de l'armée du Roi et n'avait donc pas de supérieur dans une caserne ni de compte à rendre. Le Roi quant à lui était au fait de cette expédition puisqu'avant de partir le Saint Père l'a bénie en m'en confiant officiellement le commandement.

J'avais pour ma part prévenu mes amis Hérauts que je ne serais que peu présent durant quelques semaines et avais redoublé de travail avant mon départ afin que mon absence ne se fit sentir.

Concernant la Garde Royale, j'avais prévenu de même les officiers qui s'y trouvaient.

Je n'ai emmené bien entendu avec moi aucun des hommes de la Garde Royale, ceci afin qu'ils puissent continuer d'assurer la protection du Roi durant mon absence.
J'ai bien pris soin de plus lors de notre départ d'Eu, et je pense que vous vous en souvenez, de distribuer des uniformes qui n'étaient point ceux du Roi, ceci afin qu'il n'y ait confusion.

J'avais de plus à ce moment bien entendu prévenu la Reine d'Angleterre que notre action n'était d'une part pas commanditée par le Roi de France et qu'en aucun cas elle ne constituait une menace contre l'Angleterre mais uniquement contre les pirates.

Qui eut pu imaginer qu'en partant libérer ces îles, en y mettant ma fortune pour la seule gloire du Très Haut, j'allais être moi aussi objet de tant d'opprobre, disgracié sans même avoir été entendu et trahi par mon Roi avant même d’avoir terminé les combats.

Quant à la Reine d’Angleterre je ne puis pas vous éclairer sur elle, n’étant point son vassal et n’ayant point d’intérêt à soutenir ses fausses prétentions puisqu’elle est d’une autre religion.

Voici donc la situation, je ne suis pas plus que vous, responsable du sort qui m’accable.

Ce que je puis dire toutefois, c’est que cette conquête s’est faite sans félonie aucune, dans l’honneur et pour la liberté, pour défendre le droit et la foi. Ceci nos ancêtres communs l’ont fait bien avant nous, et nous sommes bien mal payés je crois d’avoir suivi leur exemple.
Je ne me suis pas de plus, comme le prétendent certains, autoproclamé Prince de Guernesey. C’est le Saint Père qui m’a élevé à ce rang avec pour mission de veiller au bien des populations des Îles de la Manche.

Le destin nous a conduit à cette situation sans que nous le voulions, je n’ai pour ma part jamais renié mon Roi avant qu’il ne se reniât lui-même. Je ne comprends, bien qu’il ne fût baptisé ni même sacré, pour quelle étrange raison Jehan de Vergy a choisi de prendre le parti de défendre la Reine d’Angleterre, de renier l’autorité du Saint Père et de disgracier son plus fidèle serviteur et ses militaires les plus courageux.

Je gage que ce vil calcul ait du lui être soufflé à l’oreille par un de ces courtisans de salons qui sont, vous le savez, toujours jaloux des mérites et honneurs gagnés au combat, alors qu’eux ne savent que détrousser leurs mignons dans des chambrettes mal odorantes.

Voilà la triste réalité de ce monde Sire de Coucy. Croyez que je le regrette autant que vous.

Peut-être est-ce un signe envoyé par le Très Haut pour que nous fondions ici l’œuvre qu’il appelle de ses vœux.

Un nouveau monde dans lequel chacun serait frère comme l’enseignent les Saints Evangiles. C’est en tout cas ce monde là, cette espérance qu’il faut je crois désormais chérir et bâtir ensemble.

La France, Sire de Coucy, n’est pas un pays, vous le savez bien. La France est une idée, la plus belle en ce monde, elle suit partout sur la terre celles et ceux qui la défendent.

Elle est à Guernesey aujourd’hui, avec nous, du côté du Droit et de l’Honneur.

Voilà ce que je puis vous dire en toute franchise et simplicité. Cette terre nouvelle aujourd'hui nous demande protection, vous-même et vos hommes ne serez pas de trop dans ce combat et je le pense à leur place du côté de l'honneur.

Henri écouta avec attention et pris son parti au fur et a mesure de la réponse du Prince.

"Je vous remercie Monseigneur de votre franchise. Je vais continuer à l'être et vous dire que je quitte l'ile. Je reste le temps de prendre part à sa défense et de sevir éventuellement de leure en tentant d'emmener dans mon sillage une partie des forces ennemies qui pourraient voir dans l'embarcation que je prends une fuite d'une part non négligeable de ceux que le roi veux traduire en justice.

Je garde avec moi la décoration que vous me fites l'honneur de me remettre ainsi si mes pas me conduisent à vous, je serais reconnus comme l'un des votre.

Pour le reste j'ai une missin à accomplir, j'ai déjà essayé de distraire une pert des forces qui se dirrigeait vers Eu de sa mission, non pas pour qu'ils trahissent mais pour qu'ils réflèchissent sur les raisons de leur entreprise alors que rien ne fut tenté par le royaume contre un adverssaire qui déshonnorait ses couleurs.

Voila je fus loyal et vous ai servi avec courage. J'ai porté à votre connaissance la manière dont les Coucy obtiennent leurs postes, si un jours vous pensez que je puis vous être utile dans une fonction, vous me trouverez à Rouen près de mon épouse, ou, du moins vous saurez où me trouver.

Si vous le permettez, Monseigneur, je vais prendre congé"

D'après mes derniers renseignements vous pourrez sauver votre peau en effet en rejoignant les forces du Roi qui vous redonneront sans doute votre poste. Allez-y donc si vous pensez que cela est mieux pour vous et Corwin.

Pour ma part je resterai ici tant que le Saint Père ne m'aura pas retiré la gouvernance de ces îles pour protéger sa population d'autres incursions de pirates et garder la neutralité de la Principauté.

Je crois que le Roi ne veut en effet que ma tête et qu'il ne s'interesse que de très loin au sort de la population de Guernesey qu'il n'avait jamais voulu secourir lorsqu'elle était sous le joug des pirates.

On le dit par ailleurs souffrant puisqu'il a remis à un de ses militaires la régence du royaume pour quelques temps.

Je vous souhaite donc bonne route ou bonne mer plutôt si vous rentrez chez vous. Je ne pense malheureusement pas vous revoir si vous ne revenez à Guernesey car si je pose le pied désormais sur le sol de France je crains que l'on ne me jette en prison dans les secondes qui suivent.

Vous pouvez disposer.

Si cela ne vous dérange pas, en sortant vous pouvez faire entrer une des personnes qui attend pour un entretien.

Monseigneur, je crois m'être mal fait comprendre je propose d'attirer sur moi une partie de la flotte destinée à envahir l'ile, et ainsi l'éloigner pour soulager votre defense, pas à rejoindre les troupes du Roi ni a reprendre quelque poste que ce soit dans les armées royale.

Par ailleurs je crois que nous nous reverrons plustôt que Monseigneur ne le pense et à ce moment c'est peut-être moi qui pourrai lui être utile, car croyez le, si j'ai le goût amer des promesses non tenues, je n'ai qu'une parole et si je quitte l'ile c'est pour lui être utile.

Au delà du Prince qui la gouverne c'est à sa population que je pense.

A vous revoir Monseigneur vous saurez à cette occasion que les Coucy ne parlent pas d'honneur avec légèreté.

Henri salua avec élégance ne comprenant pas où il avait pu se mal faire comprendre, il ne lui serait jamais venu à l'esprit d'aller trouver les armées du Roi et se comporter de manière à avoir la peau du venytre salie par la marche. Retrouver un poste la belle affaire il n'en avait cure, comme il l'avait dit au Prince qui s'était gardé de lui répondre, s'il avait des mérites on lui donnerait un poste, sinon et bien il resterait petit. Il n'avait qu'un but en tête maintenant préparer le brick armé de 12 pièces et faire en sorte qu'un ou plusioeurs bâtiments destinés à l'ile le prenne en chasse afin de soulager la défense de ce poids et d'autand de canons pointées sur elle.

HRP Franchement excuse moi mais j'ai rien compris en effet. En fait je m'apprétait à ce que Ramsay te confie un poste évidement mais je veux pas non plus décider à ta place ce que tu veux que ton perso fasse... Faudrait éventuellement m'envoyer un petit MP histoire que je puis voir ce que tu voudrais faire afin que je puisse voir en fonction. /HRP

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 28/01/2009

Le garde poussa la porte. Le prince était seul, assis à son bureau. Il s'approcha de lui et se tint droit comme un piquet.

Le Capitaine et Héraut Bastien demande audience. Dois-je le faire entrer ?

Oui, faites le entrer

Il salua le prince comme il se devait puis tourna les talons et repartit au poste de Garde

Bastien entra, s'abaissa pour saluer le prince et se releva.

Votre Altesse, permettez moi tout d'abord de feliciter votre garde.

Il baissa la tête, respira profondement et reprit.

Votre Altesse, je ne suis pas la pour parler de l'armée, ou encore de la hérauderie. J'aimerais m'entretenir avec vous à propos de ma famille. Depuis peu mon frère est revenu des amériques je le croyais mort et vivait seul, sans famille. Mais depuis son retourd j'ai fort espoir d'honorer à nouveau le nom de Fouquet, car oui. C'est ainsi que notre feu père se nommait.
Je sais qu'il faut être noble pour avoir un nom et un emblème, c'est pour cela que je viens m'entretenir avec vous.

Je vous en prie mon cher Bastien, asseyez-vous confortablement et racontez moi cette histoire en détail afin de voir ce que je serais éventuellement en mesure de faire pour vous...

Bastien sourit et se posa. Il commença ensuite son histoire.

Voici déjà fort longue années, mon père du nom de François de Fouquet mit au monde deux enfants. Je fus le premiers des deux, l'autre est mon frère Benoit. Nous vivions en Normandie, dans une noble demeure, ma mère très peu de temps après décèda, puis mon frère partit aux amériques alors que notre père commercaient avec différentes îles, dont ces îles.
Il fut tuer en mer, un sombre jour de tempète. Une attaque de pirate, on dit même qu'il s'agissait du pirate que vous aviez tuer en prennant l'île, il s'agirait de Jackson. Bref, comme vous le savez par la suite, je vins vous aider ici. J'ai participer à la prise de l'île et maintenant fait parti de l'armée. Y a quelques jours, mon frère est revenu des amériques, me redonnant envi et l'honneur d'user à nouveau du noble nom de mon père.

Voyez-vous, Votre Altesse ?

En effet je vois tout à fait. Avez vous quelques papiers concernant votre filiation ou le blason de votre famille ?

Biensur.

Bastien montra ses papiers.

Citation :: Famille de Fouquet

Arme :

D'argent à l'écureuil rampant de gueules

Chef de famille : Bastien
Héritier : -

Génération 1

-Feu François de Fouquet*, né en 1587 et mort en 1640
épouse Marie*

Génération 2

-Bastien de Fouquet, né en 1623
Capitaine de l’armée de la principauté de Guernesey

-Benoit de Fouquet, né en 1626

* PNJ

votre seignerie je vous donnerez en temps et en heure notre parcourt dans la ville mais il sera surement acces entre le port la taverne et le marche . En outre je prevois aussi de faire des manoeuvres grandeurs nature sur l'ile de guernesey affin d'entrainner mes hommes au combat pour pouvoir defendre notre ile en cas d'attaque , mais ce n'est encore qu'un projet , je vous en direz plus quand nous serons pret a les commencer
le colonel venait d'exposer au prince ses projets a venir
Mais pour le moments mes hommes sont en mission sur le continents il n'y aura donc pas de patrouille pour le moments je pense que nous verrons cela vers le mois de septembre

Oscar Penetre dans le bureau du prince .La piece est somptueuse,la jeune femme regarde ce prince dont elle n'avait jamais vu le visage.

Elle s'incline tres respectueusement .

Votre altesse,je me presente mademoiselle Oscar-François De merincourt ,si j'ai souhaité vous rencontrer c'est parceque je souhaite postuler au poste de procureur .Mademoiselle le juge Galadriel... De Merteuil (il lui semble),m'a inviter à me presenter à vous .

Elle marque un temps d'ârret ,laissan le loisir au prince de la congedier ou de l'inviter à continuer ..!!

Le Prince avisa la Damoiselle qui venait d'entrer dans son bureau. Elle s'inclina puis Geoffroi lui fit signe de s'assoir. Une fois assise elle commença à parler.

Votre altesse,je me presente mademoiselle Oscar-François De merincourt ,si j'ai souhaité vous rencontrer c'est parceque je souhaite postuler au poste de procureur .Mademoiselle le juge Galadriel... De Merteuil, m'a inviter à me presenter à vous .

Elle marque un arrêt, le Prince en profites pour prendre la Parole.

Galadriel a fort bien fait de vous diriger vers ici, mais je tiens à préciser que le poste de Procureur n'est point à prendre à la légère. Vous ferez partie du Conseil Princier, qui se doit d'être présent au maximum. De plus je ne puis confier une tel poste à une parfaite inconnue, aussi je vous invites à m'exprimer vos motivations et, si vous en avez, votre expérience de la Justice.

Oscar se demande si ce genre de poste ne peut être confié qu'a une élite ....Une parfaite inconnue ,en France sans doute ...elle avait perdu l'habitude de passer inaperçu ...

Elle reprend la parole :Il se trouve que je me suis presentée à madame le juge lui proposant mon aide pour tout type d'activité d'ordre juridique et qui entre dans mes domaine de competences.
Effectivement je dispose d'une formation de juriste à l'etranger.Ma venu en France est toute recente ,mais j'ai acquis des bases solides en etudiant l'administration de la justice de la principauté,les differentes cours,ainsi que les jurisprudences .
Du reste j'ajouterais que, bien que n'ayant jamais occupé la fonction de magistrat,mes etudes de droit me rendent tout à fait qualifiés pour assumer cette responsabilité.
Elle recoiffe sa mèche ,
Neammoins il me semble vous avoir entendu dire que cette responsabilité necessitait une presence de tout les instants.J'en deduit donc qu'elle est incompatible avec une quelconque autre fonction ou un grade au sein de l'armée?

Le Prince plonge son regard dans les yeux de la jeune femme.

Ce poste requiert en effet une présence relativement soutenue. Cependant, s'il s'avérait que vous soyez mobilisée, cela voudrait dire que le Royaume de France est entrée en guerre, et en tant que vassale, la Principauté de Guernesey et des Îles de la Manche serait forcée de soutenir son suzerain, et étant en guerre, je doute que nous accordions trop grande importance à la justice, nos effort majeurs se dirigeants vers la défense et la gestion des troupes.

Oscar-François ésquisse un leger sourire ,en entendant les propos du Prince .Il est evident qu'en temps de guerre,on viole souvent les lois et nul ne s'attarde à punir et encore moins juger ce genre d'écarts.Elle ne le savait que trop bien .

J'en conviens votre Altesse dailleur si je me suis permise de soulever ce point c'est que je suis en effet au service des gardes de sa Majesté .Et avant toute projection,je voulais m'assurer qu'il n'existait aucune incompatibilité ...

Elle detourne les yeux de ceux du prince et fixe un instant un petit ouvrage sur son bureau ...

Le Prince écoute les propos de la jeune femme.

Vous avez fort bien fait de poser cette question.

Il se presse de se munir de la plume d'oie posée près de l'encrier, en trempe la pointe dans l'encre noire, et commence à écrire sur un parchemin.

Citation :: Son Altesse Geoffroi de Sercq
Prince de Guernesey et des îles de la Manche

A tous, présents et advenir, Salut,

Nous, Geoffroi de Sercq,
Prince de Guernesey, par la grâce de Dieu pour perpétuelle mémoire

Annonçons officiellement la nomination de Dame Oscar-François à la Charge de Procureur de la Principauté.

Cette décision a été prise suite à son acte de candidature et après prise de connaissance de son expérience des fonctions judiciaires.

Nous lui remettons les insignes inhérents à sa nouvelle Charge.

Que le Très Haut lui apporte son aide dans cette rude et passionnante charge, qu'il fasse qu'elle porte haut et fier les couleurs de notre belle patrie dans un esprit de paix, de fidélité et de fraternité.

Nous l’avons dit le 12 Septembre 1649 en le Palais Princier de Guernesey

Chose faite, il laisse s'écouler de petites gouttes de cire jaunes au bas de la lettre, retire sa Chevalière, et appose son sceau au bas du document.
Il tend ensuite le Parchemin à la Damoiselle.

Vous pouvez d'ores et déjà prendre possession de vos quartiers. Les gardes vous laisseront passer sur présentation de ce document.

Oscar-François incline la tête respectueusement et recoiffe sa meche brune ,elle regarde le jeune prince remplir un papier ,le laisse faire ,songeuse....
puis son altesse lui tend le parchemin en question,elle le survole rapidement du regard,son visage s'illumine ,un sourire se dessine sur ses lèvres elle va pouvoir exercer ...enfin !

-Vous pouvez d'ores et déjà prendre possession de vos quartiers. Les gardes vous laisseront passer sur présentation de ce document.

Elle attrape le papier ,se lève et s'incline en signe de reconnaissance .

Merci de la confiance que vous m'accordez,je ferais au mieux pour vous satisfaire ,vous avez ma parole.Si vous n'avez pas d'autre recommandations,permettez que je me retire..

Elle salue une nouvelle fois le Prince se disant qu'elle passerait remercier madame la juge un peu plus tard ,d'autant qu'elle lui avait gentiment proposer de parfaire sa formation ....

Gwen entra et sourit au Prince

Bonjour mon enfant ou mon Altesse. Je suis gwen de Bulette, archevêque de Normandie, conseillère comtale et secraire de la C.A.N. C'est une visite non officielle mais je ne pouvais passer en ville sans venir vous saluer. Je tenais donc à vous rendre mes hommages et vous parlais de quelques affaires.

Gwen regarda autour d'elle dans le bureau, découvrant les fates de Guernesey bien différents de ceux de Nromandie.

Le Prince attendait l'archevêque, tapotant du bout des doigts son bureau de Chêne. Elle entre, lui sourit, le prince lui fait signe de s'assoir.

Bonjour mon enfant ou mon Altesse. Je suis Gwen de Bulette, archevêque de Normandie, conseillère comtale et secrétaire de la C.A.N. C'est une visite non officielle mais je ne pouvais passer en ville sans venir vous saluer. Je tenais donc à vous rendre mes hommages et vous parlais de quelques affaires.

Le prince plante son regard dans le sien et prend la parole.

J'ai en effet entendu parler de vous et de votre visite au sein de la Principauté.
Nous aurions pu nous rencontrer à l'office dominical mais étant retenu au palais, je n'ai hélas point pu m'y rendre.
Quelles sont ces affaires dont vous souhaiteriez m'entretenir ?

Gwen lui sourit

Prenez donc le temps de vitre Votre Altesse. Faut il vivre pour travailler ou travailler pour vivre... je voulais donc vous signifier que vous aviez un nouveau curé. j'espère que le meilleur accueil lui sera réservé. je me demandais si dans votre ville, il était toujours d'actualité d'offrir chaque semaine 3 pains au prêtre.

Voilà et puis je suis secrétaire de la C.A.N. qui une coopérative économique normande. je me demandais si nous ne pouvions pas échanger avec votre ville mais également avoir des activités divertissantes entre nos villes. Enfin rassurez vous, ma visite n'a rien d'officiel mais il me semble important de pouvoir découvrir d'autres cultures, d'autres cultures...

Le Prince écoute attentivement tout ce qu'a à lui dire l'archevêque puis pris la parole à son tour.

Je ne vis que pour servir la Principauté. Pour ce qui est du nouveau prêtre, sachez que je veillerais à ce qu'il ne lui soit fait aucun tort, de plus, si elle manque de quelque chose, je m'empresserais de répondre à ses besoins toutes affaires cessantes.

Il marque un court temps de pause puis reprend.

Votre offre concernant la C.A.N est intéressante je ne puis le nier. Pour ce qui est des échanges commerciaux vous avez mon soutien mais il vous faudra voir avec Sieur Aimelin qui est maire de Saint Pierre Port.
Pour ce qui est des divertissements, je vous invite à me faire part de tous les projets qui pourraient effleurer votre esprit.

hum... je n'ai pas d'idée précise en tête... c'est juste que ... je trouve votre ville si isolée de tous... que je ne trouve pas acceptable. on a tous à y gagner de se rapprocher pour nos peuples respectifs.

gwen lui sourit

On aimerait enfin j'aimerai qu'il existe un lien entre nos comtés. Qu'en pensez vous vous-même? Pensez vous pouvoir en tirer un profit?

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