[RP]Au marché

France et Charles-Edouard marchaient à travers le marché, cherchant à ne bousculer personne, ce qui n'était pas chose aisée, au vu du monde qui se pressait autour des étals.

Citation :

D'ailleurs, je viens de réfléchir à une chose... Pourquoi ce ne serait pas moi qui se chargerait d'être votre parrain? Enfin je ne veux nullement vous y pousser, mais si jamais vous le souhaiteriez sachez que je serais pret à le faire!

France le regarda, légèrement surprise. Comment pouvait-il lui proposer d'être son parrain, alors qu'il ne la connaissait que si peu. Cependant, elle en fut extrêmement flattée, et lui répondit :

J'accepte avec joie, Charles-Edouard ! Vous me faites grand honneur, et je vous en remercie vivement ...

Ils continuèrent à avancer en direction de la propriété du jeune homme.

Grieg revint au marché, sont mots était toujours là, sans réponse, tampis il trouveras un autres charpentier.
Il s'aventura dans les allé, puis vit un étale: "poignée de sable" ... 10 louis, 14 louis ???
Et bien, ce sable doit avoir des propriété bien particulière pour valoir aussi chers.

La journée était déjà bien entamée et l’estomac de la jeune femme commençait à lui faire sentir qu’il faudrait bien se mettre quelque chose sous la dent. Elle mit sa main sur son abdomen pour taire une crampe. Elle fit un tour sur elle-même pour repérer le foire, qu’elle n’eut pas de mal à trouver. Elle s’y rendit d’un pas léger.

Des étals remplis de couleur et embaumant l’air ambiant mettait l’eau à la bouche de Lugar. Elle déambula lentement entre les denrées soigneusement disposées. Elle prit dans sa main une pomme et la huma les yeux fermés. Elle avait ce sentiment de légèreté depuis qu’elle était débarquée sur ces Îles. Était-ce l’air salin qui lui procurait ce bonheur ?

En voulant remettre la pomme à sa place, elle accrocha en son centre la pyramide de pommes ce qui les fit débouler au sol. Prestement, elle tenta de limiter les dégâts mais fit pire et voilà que l’étal était somme toute presque dégarni. Elle regarda les pommes rouler sur le sol et se prit la tête à deux mains. Quelle gauche je fais ! Pensa-t-elle.

Le marchand ne semblait pas très content à en juger son regard austère et ses commentaires virulents. Probablement, si elle avait été vêtue de ces apparats de Baronne, cet homme aurait été sans doute plus indulgent. Aussi lui adressa-t-elle un regard désolé.

Monsieur, je suis navrée. Veuillez m’excuser vraiment, je suis si maladroite. Je vous paye tous les fruits que j’ai fait tomber.

Sans plus attendre, elle ouvrit sa bourse et déposa une généreuse poignée de louis sur l’étal désormais vide. À la vue de ces piécettes, un semblant de sourire se dessina sur le visage du marchant. Ainsi, à l’instar des Titres de Noblesse, l’argent semblait aveugler le cœur des Hommes. La jeune femme émit un soupire et ramassa une à une les pommes tombées. Le marchand lui tendit un panier dans lequel elle en déposa quelques unes et remit les plus belles sur la table de bois.

Accroupie à ramasser le résultat de sa gaffe, les joues de la couleur des pommes tant elle s'en voulait d'avoir été maladroite, elle entendit une voix dans son oreille. Elle stoppa sa main sur un fruit et releva la tête lentement, analysant qu'elle ne rêvait pas. Cette voix, maintes fois entendue, était-ce possible ? D'un geste prompt elle se releva et se retourna.

Alkior c'est vous ? Dit-elle étonnée et ravie, affichant un sourire qui en disait long.

Elle était si heureuse, qu'elle ne réagit pas tout de suite sur le « Baronne de Courtisols ». Il lui souhaita une chaleureuse bienvenue et s'enquit de son voyage. Elle délaissa les quelques pommes encore au sol, le monde venait de s'arrêter de tourner subitement. Le marchand, bien trop occupé sans doute à compter les piécettes, n'intervint pas outre mesure.

Lugar était sans mot devant son aimé. Elle l'observa, détaillant chacun des traits de son doux visage. Son coeur se débattait dans sa poitrine. Elle eut envie de lui sauter au cou mais ne sait par quel moyen elle demeura devant lui un moment sans détaché son regard tendre du sien.

Ça va aller ma p'tite Dame laissez les pommes, le compte est bon ! Furent les paroles du fruitier qui sortirent la jeune femme de sa torpeur. Elle jeta un coup d'oeil rapide vers le marchand et haussa les épaules.

Elle mit son panier à l'intérieur de son coude et prit la main d'Alkior.

Venez, partons d'ici .... puis ajouta tout bas : Et pas de Baronne ici je vous en prie.

Sortis de l'aire du marché, elle glissa son bras sous le sien. Ils se mirent à marcher sans but, lentement.

Mon voyage ? Contrairement à vous, je n'ai pas fait de mauvaises rencontres. Une chance ! Je n'ai pas votre force pour faire fuir les brigands. Bavarde comme je me connais, je tenterais une négociation ... Elle rit de ce qu'elle venait de dire.

Mais vous bel amour, que devenez-vous ? Vous faites toujours vos essais vignicoles ? Vous constatez du progrès ? Vous aimez vivre à St-Pierre-Port ? Vous .... Elle se rendit compte qu'elle l'assaillait de questions. Elle lui sourit et prit une pomme dans son panier, la frotta sur sa robe, replaca son bras sous celui d'Alkior et croqua à belles dents dans le fruit. La bouche pleine elle lui laisserait le loisir de placer un mot ... Elle lui offrit tout de même, d'un geste du bras, de se servir dans le panier.

Tandis qu’ils déambulaient dans la ville portuaire, tout près l’un de l’autre, tranquillement, et malgré le déboulement de questions qu’elle lui avait servit, il prit le temps de répondre à chacune d’elles. Elle l’écouta sans jamais quitter son regard. Le moment était des plus merveilleux. Terminant sa bouchée, elle poursuivit la discussion.

Ainsi, vous continuez à pratiquer votre métier ? J’espère bien avoir l’honneur de déguster un de vos millésimes. Pour ma part, je me suis perfectionnée dans la confection de vinaigre que je transforme en plat avec le poisson pêché à Eu. À en croire mes succès de vente, ça n’a pas mauvais goût. Et les gens en redemandent.

Tout comme vous, je suis séduite par cette ville. Je songe à m’y établir et reprendre mes essais vinicoles. Vous le savez, j’ai toujours rêvé de l’océan. Ici, on est servi. Lors de la traversée, j’ai savouré l’air salin et le mouvement des astres, sortir et disparaître tour à tour à l’horizon. Sans cesse j’ai pensé à vous mon amour.

Elle aurait voulu aborder le fait qu’elle soit partie subitement de Eu la veille des élections. Mais rien ne pressait désormais. Ils étaient ensemble, réunis enfin, et c’est ce qui importait. Elle croqua à nouveau dans la pomme le temps qu’il lui exposait ses ambitions de rejoindre la voix militaire. Elle faillit s’étouffer, revoyant l’image du Colonel de la province rencontré plus tôt en journée. Il pourrait bien se retrouver son supérieur. Cette idée lui parue cocasse.

Une seule ombre au tableau. Servir l’armée s’avérait aussi servir le Roy par la bande. Elle ne put que tenter de camoufler une moue de désaccord, se rappelant avec quelle audace l’autorité Suprême du Royaume avait cautionné l’invasion de ses hommes de main au Remensis pour les élections. Elle soupira et se dit que finalement, il faut retenir que dans ce tumulte d’émotions en sont ressorti des amitiés fort bien liées. N’empêche que c’est à cause de cet événement que les tourtereaux avaient été séparés à Eu. Cela était du passé maintenant. Ils avaient gardé l’administration de la mairie et l’ex-mairesse avait passé le flambeau. Ne restait plus qu’à passer l’éponge.

L’une ou l’autre des armées me semble en effet très prestigieuse. À mon avis, nul doute que vous avez l’étoffe d’un bon soldat. Vous avez d’ailleurs une fort belle expérience lorsque vous étiez à la sécurité de Rouen.

Elle sourit à ce souvenir. Elle relisait de mémoire les missives envoyées aux vendeurs hors de prix. C’est ce qui l’avait attiré entre autres. Cette façon bienséante de remettre à l’ordre certains dissidents, voulant écouler leurs bolets à des prix trop élevés.

Si vous me permettez Alkior, je vous suggère pour faire votre choix de rencontrer les hauts gradés de chacune des instances. Je vous connais très perspicace et suis convaincue que vous saurez trouver celle qui sied le mieux à vos aspirations.

D’un pas à l’autre, d’une bouchée à l’autre, il l’invita chez lui pour se ravitailler. Elle accepta avec joie et le suivit jusqu’à sa demeure. Elle respirait le bonheur.

Devant la maison, Lugar prit le temps d’observer l’architecture. Modeste ! Oui on pouvait la qualifier ainsi. Mais il y avait un «je-ne-sais-quoi» de grandiose. L’aménagement respirait la simplicité qui habitait son propriétaire en même temps que toute la beauté de son âme.

Cette demeure vous ressemble bel ami. Et effectivement, vous n’avez point à vous sentir gêné. Je constate que vous êtes fort bien installé. Honnêtement, je préfère de loin cette habitation à cette majestueuse villa que je possèd … ais à Courtisols. On entre ? Je dois avouer que je suis affamée. Ces pommes cueillies à même le sol, aussi juteuses soient-elles, n’ont pas réussi à calmer mon appétit.

Allez achetez mes oranges!elles sont bonnes mes oranges!!.
criait le vendeur de fruits derrière son étalage.

Bon...je vous en prends deux alors

Très bon choix...m'dame je vous mets les plus belles...ça vous feras 2 sous,allez bon journée à vous

Elle le salua de la tête et parti vers l'étalage de légumes,le sourire aux levres elle prit un fuit entre ses mains et ne pût s'empecher de le sentir,si tendre et parfumé...il lui rappelait de si doux souvenirs...

Que olores mas dulces...sueno con poder comermelas toda mi vida!!!
se disait-elle

Installée sur une chaise un carnet à la main, mon coffre sur les genoux, je souris aux personnes qui se présentent, Firmin après avoir été remettre la missive a l’avocat vient me rejoindre et heureusement, seule je ne m’en serais jamais sortie, le chariot est pris d’assaut, les passant se jettent sur les marchandises.

D’abord une petite brune aux yeux vert portant le costume de l’armée qui emporte après avoir déposer les louis, une canne a pêche et cinq grappes de raisins

Puis c’est une demoiselle rousse au aux yeux vert, qui commande une canne a pêche, un fusil et pour terminer encore deux canne a pêche, je souris en me disant qu’elle a peur de les casser sans doute.

Je suis plongée dans mes pensée que se présente devant moi ma fillou Gala, je me lève et la serre dans mes bras, heureuse de la revoir, nous discutons un moment puis je lui emballe ses quatre grappes de raisin, elle me laisse du monde arrive encore.

Un grand gaillard chauve aux yeux vert en costume de l’armée arrive et sort une liste, Firmin lui prépare sa commande, pendant que je l’observe une ressemblance certaine avec la jolie demoiselle qui est arrivée la première. J’empoche les louis et recompte la marchandise deux fusils et une hache.

Revoilà la première cliente qui arrive en courrant me tend les louis pour deux fusils et dix grappes de raisins et repart en courrant

Petit moment de répit j’en profite pour me reposer et boire un jus puis se présente une dame blonde aux yeux vert, commande rapide de dix grappes de raisin, souriante je lui tends et range les louis dans le coffre.

L’homme que j’ai croisé au tribunal vient discrètement chercher une grappe de raisin. Je le regarde partir en me disant qu’il y a beaucoup d’habitant que je ne connais pas

Mon cher cousin, je suis heureuse de le revoir, j’ai bien envie de lui demander si tout se passe bien a la mairie, mais je n’ai pas le temps, il sort de sa bourse les louis pour vingt grappes de raison, je fronce les sourcils je le pensais boucher que va-t-il donc en faire. Pas le temps de lui demander qu’il commande pour la mairie vingt neuf haches. Firmin l’aide a transporter la marchandise.

Arrive Coraline toujours aussi discrète, se sera trois pains pour elle, elle repart après avoir déposer les louis.

Un grand brun au cheveux mi long et aux beaux yeux bleu vient acheter un panier et me remercie galamment, après avoir déposer les louis je le regarde partir songeuse.

Tard dans la soirée revoilà le militaire vu le matin, il vient chercher 30 pains

Il fait maintenant nuit noire je suis fatiguée, je compte les piécettes quand un homme brun se présente, il repart avec 17 pains.

A la lueur d’une bougie je calcul la recette de la journée, je tombe sur un chiffre rond étonnant pour être certaine je les recompte une deuxième fois, c’est bien juste, je dépose un parchemin bien a vue

Citation :

Cher habitants

La journée a rapporté 1600 louis, cette somme sera versé à l’église dimanche prochain a la messe.
Je vous remercie de vos achats

Iseult de Montgomery

Firmin reste sur le marché, il y a encore quelques paniers a vendre, moi je monte sur le chariot et prend le chemin menant a la demeure

Chriskhan profitait de ce qu'il devait faire une ronde quotidienne en ville pour arpenter le marché.
Afin de joindre l'utile à l'agréable, il en profita pour chercher une bonne occasion afin d'aquérir un fusil. Minimum requis pour une chasse nécessaire. Il devait s'entraîner afin d'augmenter sa dextérité...

Ahhhh J'ai trouvé ! Se dit-il...
L'achat pouvant se faire par pigeon voyageur, il s'empressa de l'adresser aux autorités compétentes....

Rhôôôôôô... Deux heures plus tard, le pigeon avait bien emporté son message mais ce sont les pattes vides qu'il revint !
Chriskhan venait de se faire avoir de trois écus d'or ! Il n'était pas à prendre avec des pincettes....


[Hrp : fait réel ! ]

[mai 1649- sur la place du marché]

Un homme portant une cuirasse ainsi qu'un long rapière avançait au milieu des passants. Il était suivit d'une femme qui elle portait une arquebuse. Tout deux étaient soldats et ils patrouillaient au milieu des balauds.

L'homme n'était personne d'autre que Bastien, le colonel de la province. Toujours fièr et impassible, tandis que la femme était un soldat du nom d'Athénaïs de Montespan. L'homme, la tête enfoncé sous un large chapeau pour se cacher de la pluie fine, s'arreta prèt d'un marchand de poisson.

Quel temps...

Vous l'avez dit !, ajouta la marchand

Bastien se tourna ensuite vers le soldat Athénais, se frottant ses mains gantés.

Alors, par où voulez vous allé ? Je vous laisse le choix...

Eristern suivait le Colonel et Athenais d'un peu plus loin juste assez pres pour intervenir rapidement en cas de probleme il avait visse son chapeau sur sa tete et il porte une cape qui cache sont arquebuse ainsi que les autre armes qu'il portait sa fidele rapiere et sa main gauche , il avait aussi reussi a reparer son pistolet il le porte donc dans le dos bien que cela soit reserve au officier il savait d'experience que ça pouvait leur sauver la vie , il observer le marche et grave dans sa memmoire tous les visages qu'il pouvait croiser , tout les gestes aussi etaient analyser par Eristern comme si c'etait naturel pour lui mais ou avait il appris sa , en tout cas il avait toujours un oeil sur le Colonel et etait pres a intervenir rapidement

Cinq soldats en patrouille dans la ville. Il fallait bien cela ; des rumeurs allaient bon train !
Des brigands rodaient aux portes de la ville et nulle ne savait si ils comptaient y sévir ou si ils ne seraient que de passage.

Passant d'échoppes en échoppes, Chriskhan accompagné de sa coéquipière, Oscar-François, portaient leur regard sur tout ce qui bougeait !

Comment les reconnaître ces marauds, se dit le soldat...

Leur route croisa celle empruntée par un deuxième groupe.
Chriskhan salua dûment l'Officier et d'un petit signe de tête, portant son doigt à son galure, salua également ses camarades de caserne.
Ils n'étaient pas là pour faire la conversation toutefois il en appartiendrait au Colonel de le confirmer...

Mon Colonel, bien le bonjour ! Pouvons-nous vous accompagner ? Ou bien préférez-vous que l'on patrouille de notre côté ?

Un autre groupe venait d'arriver sur le marche celui de Chriskan et de oscar françois nous etions maintenant 5 soldat sur le marche serait se assez pour voir si nous trouvions quelque chose ,il fallait ouvrir l'oeil mais avec cette pluie ce ne serait pas facile . Eristern regardai les etales des marchand cela lui rappeller etrangement quelque chose quelque chose de deja vu quelque part ,iln'y a pas si longtemps que ça , la seulle difference c'est que la derniere fois il faisait chaud tres chaud .

Demeter avait fait le tour de la ville et avait fini par atterir sur la place du marche peut etre qu'il finirait par trouver ce qu'il voulait en faisant le tour du marche il finit par trouver ce qu'il cherchait mais cela ne serait pas simple il faudra etre discret et rapide mais ça sera fait rapidement et discretement
il regarda rapidement autour de lui il compta 5 soldat au total sur le marche , heureusement il y avait du monde malgres la pluie cela ce ferait donc discretement ,il fonça donc sur sa victime il sorti sa dague discretement sous sa cape , il allait frapper fort ,tuer un officier de l'armee c'etait un grand coup , il se glissa juste derriere sa cible et frappa

Eristern venait de remarquer quelque chose de louche ,il venait de sentir le danger quelque part pres de lui mais ou ,il analisa la situation rapidement et c'est la qu'il vit la lame dans le dos du Colonel ,il fallait agir vite tres vite heureusement que le colonel ,en croisant le groupe de Chriskhan , s'etait arreter cela avait permit a eristern de se raprocher
Empuja Athenais Eristern avait sa main gauche dans la main et en une fraction de seconde il frappa , sa main gauche souvrit pour former son brise lame il bloqua donc la dague et la cassa , il y avait du sang dessus le colonel avait du etre touche ,mais pour le moment ce n'etait pas la question , il frappa une seconde il visa la jambe de son adversaire pour le blesser sans le tuer il fallait l'immobiliser pour pouvoir le capturer

Le petit groupe avançait lorsqu'il croisèrent le groupe de Chriskhan et Oscar- Francois. Bastien s'arreta et prit la parole.

Soldats! Non...Je prefère que vous marchez en parallèle à nous. De l'autre coté de ses étales.

Il montra de sa main gauche les étales. Il posa sa main sur l'épaule de Chriskhan, toujours une main à la ceinture.

Ne vous inquiètez pas, c'est une patrouille de routine...

Alors que Bastien parlait à Chriskhan et que les autres soldats regardaient dans tous les sens. Un homme dague en main surgit de nul part et frappa dans le dos le colonel, au niveau de l'omoplate gauche. Il fit une grimace de douleur lorsque la fine lame froid parvind à pourfendre la fine cuirasse.

Bastien se retourna, son agresseur était au prise du soldat Eristern. Bastien n'esita pas un instant, ne laissa pas même un instant aux autres soldats d'intervenir. Le colonel prit en main son pistolet, braqua son agressur et fit feu.

-PAM !-

La balle quitta le canon de l'arme dans un nuage de poudre pour allé traverser l'épaule gauche au niveau de la clavicule du bandits. L'homme s'écroula au sol, gravement blessé. Bastien baissa son arme, attendant que la fumée se dégage.

Bon...Eristern, suivez moi, mais portez l'homme. Athénais, rejoignez le groupe de Chriskhan et Oscar Francois. Est-ce clair ?

Eristern c'etait penche pour porte son coup ce fut une chance car a peine avait il frappe la jambe de l'homme qu'il entendit un coup de feu venant de derriere lui , l'instanmait de quelque seconde il revit une scene de son passe
il se trouvait sur un bateau entrain de ferrailler avec un ennemi qu'il allait embrocher quand une detonation ce fit entendre une douleur soudaine lui traversa l'epaule gauche ,il recula prestement pour faire face a ce nouvelle adversaire quand un deuxieme coup de feu ce fit entendre cette fois la balle lui frola la tempe droite il tomba a la renverse dans l'eau glace
cette vision ne dura que quelque seconde mais il avait l'impression que la scene avait dure une eternite
il se ressesit
Mon Colonel vous etes blesse il faudrait peu etre vous faire soigner
il saisit la cape du brigand pour en decouper un morceau ce qui lui permeterais de faire des liens il attacha avec les mains de l'homme bien solidement pourne pas avoir de probleme ,illui assena un grand coup de poing pour l'assomer au moins il pourrait le porter tranquillement
ceci fait il remis son mousquet en bandouliere puis attrapa l'homme par les bras pour le porter sur son dos
Je vous suis mon Colonel ,ou voulais vous que je transporte ce malandrin

La foule s'était ameuté autour du groupe de soldat. Pendant ce temps Eristern s'occupait de l'agresseur. Bastien prit son temps pour recharger son pistolet, sous les applaudissement et hurlement de colère de la population. Bastien se tourna vers Athénais.

Soldats Athénais, éparpillez moi la foule... Je ne veux pas d'histoire !

Une fois son arme rechagée, il l'accrocha à sa ceinture puis prit la direction vers les ruelles nord. Là, restait encore de vieux quartiers sales ou la crasse s'était installé et là où des bandits n'étaient pas partit. Le colonel marchait rapidement...Il quitta rapidement le marché pour arriver dans une ruelle sombre en cul de sac. Il se tourna vers le soldat Eristern qui le suivait.

Posez le!

Une fois fait, l'homme allongé, Bastien s'approcha de l'homme qui reprenait ses esprits. L'officier l'empoigna au col et le souleva légèrement son buste du sol.

Qui t'as envoyé ? Je ne le repeterai pas...

Demeter avait touche sa cible une premiere fois , il allait frapper une seconde fois quand sa lame rencontra quelque chose de dur comme l'acier , on venait de parer son coup et en plus son agresseur avait un brise lame , sa dague n'y resista pas il sentit la lame se casser ,il porta la main a la deuxieme dague qu'il portait a la ceinture mais il ne fut pas assez rapide ,son adversaire avait transforme son brise lame en une dague effilee il la sentie s'enfoncer profondement dans la chair de sa jambe la douleur lui fit pousser un cri , le pire n'etait pas la il entendit une detonation et une douleur intense lui traversa l'epaule , l'officier avait eu le temps de sortir son arme et de tirer et vu la distance qui les separait le coup avait fait mouche , il s'ecroula donc a terre , assomer par la violence du coup .
son epaule et sa jambe le faisait souffrir il etait a la merci de sa cible , lui qui ne ratait jamais son coup c'etait un comble
un violent coup a la tempe le fit tomber dans les vapes
il se senti soulever de terre et transporte ailleur celui qui le deplaçait n'y allait pas de main morte
il fut reveiller prestement par le sol dur sur lequel on venait de le deposer violement , reprenant ses esprits , il vit que le Colonel Bastien venait d'attraper son col et de le soulever legerement du sol

[je ne sais pas qui exactement ma envoye pour vous tuer , tout ce que je sais c'est qu'on m'a donne 100 Louis pour le faire
Demeter soufrait atrocement il sentait doucement la vie le quitter peu a peu le sang coulait a flot de son epaule et de sa jambe ,lui qui etait nee dans une ruelle il allait mourrir au meme endroit