[RP]Au marché

Eristern avait transporte le malandrin la ou le colonel le voulait il avait pousse sans menangement la foule qui c'etait amasse autour de l'incident , il suivait le colonel qui marche a grand pas vers les bas fond de la ville ,la il serait tranquil pour l'interrogatoire , il deposa violement sur le sol son paquet puis recula de trois pas pour laisser la place libre au Colonel
il se tint en position avec son mousquet en main pour parer a toute eventualite on ne sais jamais ce qui pouvait ce passer ,la preuve avait ete faite au marche

Les ordres du Colonel Bastien avaient été très clairs : surveiller les étals du côté gauche du marché.
Après avoir dûment salué le Colonel et ses camarades de troupe, le groupe de Chriskhan les quitta en direction des marchands de poissons situés sur la gauche du marché. Chriskhan remercia intérieurement le Colonel pour le cadeau... Razz

L'odeur devenait pestiletielle... [RP]Au marché - Page 3 Expressio7227

A peine les deux comparses eurent-ils le dos tourné, qu'un terrible raffût, suivi du bang caractéristique de la détonation d'un pistolet, se firent entendre !
Chriskhan pila sur place, se retourna vivement et aperçut simultanément son copain de chambrée au prise avec un drôle d'individu. Le colonel avait fait feu et tenait encore son bras tendu lorsque Chriskhan démarra... L'individu tomba non sans avoir légèrement blessé l'officier.

Athénaïs disperçait déjà la foule... [RP]Au marché - Page 3 Expressio172

Chriskhan lui prêta immédiatement main forte pendant que le Colonel et Eristern s'occupaient du forban !

[une ruelle un peu plus loin]

Bastien grimaca, la douleur revenait lentement. Il lacha brutalement l'homme qui se mourrait. Le colonel soupira longuement...Puis il se décida à parler, fesant quelques pas en rond autour de son agresseur.

100 louis...Mon dieu que c'est peu! Sais tu que l'on t'as payé 100 louis pour mourir ?

Bastien tira à nouveau son pistolet de sa ceinture. La douleur se dissipait peu à peu. Son bras n'était plus engourdit, et il pouvait a nouveau bien mouvoir son bras gauche. Il soupira à nouveau...

Pauvre fou...

Bastien n'en dit pas plus, qu'il braquait déjà son pistolet vers le corps de l'homme au sol. Il tira, toujours le visage dénué d'émotion.

-PAM! -

Le coups de feu avait à nouveau retentit dans la ville. Des oiseaux cachés sous les toitures par cette pluie s'envolèrent. Il y avait quelques corneilles, qui lancaient le cri stridents au travers de la ville. Bastien les observait. Du sang avec giclé jusque sur sa cuirasse...Il prit le soin de la frotter d'un mouchoir de tissu blanc.

Après un court moment, il se dirigea vers le soldat Eristern qui attendait plus loin. Il s'approcha de lui, à son niveau sans le regarder...

Il n'a pas parlé à temps...

Eristern attendait a l'entree de la ruelle , il ne voulait pas que quelqu'un vienne les deranger , il se doutait de toute façon de la fin de l'entretien , il entendit la conversation et surtout le coup de feu a la fin de l'entretien . il attendit un instant que le Colonel vienne a son niveau et le suivit . Au bout de quelque pas derriere lui il vit que le Colonel saignait encore
Mon Colonel il serait peut etre bon de faire voir votre blessure a quelque medecin , vous saignez encore
Enfin c'est ce que Eristern ferait lui , il irait ce faire recoudre
en tout cas pour le moment il suivait le colonel l'oeil au aguet on ne savait pas ce qui pouvait ce passer

Bastien regarda le soldat. Il prit la direction du marché. Il ne repondit pas au soldat qui le suivait de prèt. Après quelques minutes de marche, le colonel s'arreta, puis se tourna vers son soldat.

Rejoignez donc, Chriskhan et Oscar Francois. Je m'en vais au cabinet médical...j'ai appris que notre médecin y passe bien du temps.

Bastien n'en dit pas plus, il prit la direction de nouveau cabinet medical, son épaule quelques peu engourdi et ensanglanté.

La ronde se poursuivait sur la place du marché. Chriskhan et Oscar-François avaient été rejoint par le soldat Eristern dont l'équipier gradé avait bien du se rendre dans un centre de soin.
A eux trois, ils dépassèrent les stands de poissons... Il était temps, Chriskhan commençait doucement à tourner de l'oeil... L'air y était irrespirable ! [RP]Au marché - Page 3 Expressio1462

Chriskhan, joignant l'utile à l'agréable, trouva enfin l'arquebuse qu'il cherchait. Cela ajouté à sa vieille rapière, reçue des mains même de son père mourant, augmentrait l'aura de puissance que l'uniforme militaire lui faisait dégager.

Une fois son achat effectué, ils poursuivirent leur ronde.

Geoffroi allait au marché afin de remplir ses coffres de moultes provisions.
Il s'arrêta au bord de la place et la balaya de son regard.
Une agitation inhabituelle semblait y régner. Point du côté des commerçants, ils étaient comme à leur habitude, vantant les bienfaits de leurs produits par de grands cris qui s'entendaient à plusieurs dizaines de mètres.
Ce qui était anormal était qu'un nombre impressionnant de soldat arpentaient la place du marché et ses environs.

Une multitudes de possibilités lui passèrent alors par la tête.
Peut-être recherchaient-ils un voleur ou un criminel, peut-être aussi ne faisaient-ils que parader afin d'exposer leurs uniformes à la lumière du jour afin d'épater les gentes damoiselles. Il alla même à penser qu'il était attendu pour être mis en geôles afin de le destituer de son poste.

N'écartant pas cette dernière possibilité, il s'approcha méfiant. Il arpenta plusieurs étalages puis remarqua non loin le Général Bastien. Il s'approcha et le salua d'un mouvement de tête.

Général, Auriez vous l'obligeance de m'expliquer en quel honneur déployez vous autant de force ? Et sans vouloir paraître offensant, ce déploiement a lieu en mes terres, il serait donc mieux avisé que je sois au courant de tels mouvements de troupes à l'avenir ce me semble, bien que je ne sois pas votre supérieur militaire direct, je pense avoir mon mot à dire quand cela se déroule à Saint Pierre Port.
Vous pouvez faire tonner les canons tant que vous le souhaitez sur château Cornet et sur vos navires de guerre mais j'exige d'être informé de ce qu'il se passe sur le sol de l'île.

Eristern venait de rejoindre chriskan il se trouvait pres des poissons facile a trouver au vu de l'odeur il le voyait change de couleur a cause de l'odeur , il fallait le sortir de la avant qu'il repende ses tripes sur les etales environent , sachant qu'il lui fallait un mousquet personel , Eristern decida de l'emmene vers l'armurier pour voir si son amis pouvait trouver son bonheur
pendant ce temps la Eristern nettoyerais sa main gauche pleine de sang il ne fallait pas que le mecanisme qui la transforme en brise lame se rouille

Bastien qui se rendait au cabinet de médecine, l'épaule ensanglanté vit arriver le prince, toujours aussi bien habillé. Il ne vit pas de garde de son altesse. L'homme s'approcha ésitant vers le Colonel.

Votre Altesse. Il me semble bien que bien que nous soyons autonome nous sommes vassaux au roi de France. Et si je ne m'abuse, n'avez vous pas pretter serment devant notre bon Roy Jehan Ier de Vergy. Et il s'agit de cette personne qui à mit ce dispositif de surveillance et protection de la population.

Il grimaca à nouveau de douleur, son bras engourdi...

De plus, j'aurais pu vous en parler, mais cela aurait été une perte de temps. De plus, comme je l'ai dis, il s'agit aussi des terres du Roy. Sinon...Je vois que vous n'avez pas de garde. Je vous déconseille de sortir de la sorte, on a ici même voulu s'en prendre à ma personne d'un coups de poignard dans le dos. Voulez vous qu'un de mes hommes vous raccompagne au palais ?

Galadriel se promène dans les allées du marché.
Emmitouflée dans une longue cape noir, la capuche sur la tête, elle marche d'un pas rapide et ferme.
Sa dame de compagnie, Madelaine, panier en main, court derrière celle-ci.
Des éclats de voix venaient de se faire entendre.
Curieuse comme pas deux, Galadriel se dirige vers la source.

Damoiselle Galadriel, je vous en prie, ce n'est pas raisonnable!
Allons plutôt nous mettre a l'abri...

Galadriel aurait bien pu renvoyer Madelaine a la maison.
Mais elle prend un malin plaisir, sadique, a la voir paniquer.
Un sourire dissimuler sous sa capuche, elle lui répond.

On ne discute pas Madelaine!
Suivez moi un point c'est tout!

Tout d'un coup Galadriel s'arrête.
Madelaine dans son élan, manque de peu le carambolage.
Vu l'humeur de Gal, Mady vient d'échapper a une sacrée secouée.

La devant elles, se trouve Bastien apparemment blessé et son future époux Geo.
Elle s'approche doucement...

...il s'agit aussi des terres du Roy. Sinon...Je vois que vous n'avez pas de garde. Je vous déconseille de sortir de la sorte, on a ici même voulu s'en prendre à ma personne d'un coups de poignard dans le dos. Voulez vous qu'un de mes hommes vous raccompagne au palais ?

Mais que ce passe t'il? Une querelle?
Galadriel arrive a hauteur des deux hommes.
Elle retire sa capuche, laissant son visage a découvert.
Un sourire et une petite révérence, Galadriel s'accroche au bras de Geo.

Bien le bonjour a vous deux.
Dites moi colonel Bastien! C'est une bien vilaine blessure que voilà.

Petit sourire narquois.
Galadriel avait vraiment du mal avec ce colonel Bastien.
D'une il ne lui inspirait pas du tout confiance, et de plus pour aggraver son cas.
Il avait accusé son Arnaud de voleur, le criant au beau milieu de la taverne.
Doté d'une impolitesse rare, il ne l'avait même pas remercié pour le travail qu'elle lui avait fournit et qui lui avait fait perdre un temps fou.
Galadriel poursuit sur un ton d'ironie pure.

Il vaudrait mieux pour votre santé, sieur Bastien, que ceci soit vite examiné!

Galadriel se tourne vers Geo et lui donne un sourire coquin.

Quand a la protection de son Altesse... Je veillerai a ce qui ne lui arrive rien. Même si je sais qu'il est capable de se défendre tout seul.
J'en ai de très bon souvenirs.
Je ne dis pas de sottises, ce n'est pas vrai mon tendre?

Galadriel se met sur la pointe des pieds et dépose un baiser sur la joue de son aimé.
Elle relève sa capuche et la pose sur ses cheveux puis regarde Bastien et Geo tour a tour

Geo évaluait la blessure de Bastien quand Galadriel arriva à ses côtés.
Il sourit en la voyant arriver, se doutant quelque peu de la suite des évènements.
Après avoir fait constaté à Bastien sa blessure Galadriel poursuit :

Il vaudrait mieux pour votre santé, sieur Bastien, que ceci soit vite examiné!

Quand a la protection de son Altesse... Je veillerai a ce qui ne lui arrive rien. Même si je sais qu'il est capable de se défendre tout seul.
J'en ai de très bon souvenirs.
Je ne dis pas de sottises, ce n'est pas vrai mon tendre?

Geo fait un pas vers le Colonel.

Mon cher ami... En effet le Roy est le digne possesseur de ces terres. Mais jusqu'à ma mort, ma révocation ou mon abdication, n'oubliez pas que j'en ai la responsabilité. Tout comme la Duchesse de Normandie à la responsabilité du duché de Normandie, bien que ce duché soit en régence pour le moment.

Et pour ce qui est de ma sécurité, Mademoiselle la Juge ici présente a judicieusement fait remarqué que je savais me défendre seul. Quand à ce qui est de ma garde...

Il claqua des doigts et deux gardes en uniformes sortirent des deux étalages que Geoffroi venait de dépasser.

Elle est toujours à mes côtés, que cela soit visible ou pas.
Pour votre blessure j'ai appris par un serviteur qu'un cabinet de chirurgie avait ouvert en ville. Je ne saurais vous dire où précisément mais un de ces commerçants doit bien le savoir.
Quand vous serez remis, travaillez la garde de la Dame, cela peut s'avérer très utile si un adversaire vous prend par derrière et par dessus tout, soyez plus attentifs aux bruits alentours. Je vous dit cela à regret mais sans attention, vous n'auriez pas tenu cinq minutes lors de la chasse au sanglier en Cévennes quand à parler des battues contre les loups...

Il garda un instant le silence nécessaire pour laisser ses paroles imprégner l'esprit du Colonel.

Pour ce qui est de votre agression, il y a une probabilité que cela soit l'œuvre d'un partisan du sieur Ramsay de Montgomery. Vous avez suffisamment montré que votre intérêt personnel passait avant celui de la principauté pour qu'on vous en veuille.

Il s'approcha un peu plus de Bastien et lui déposa la main sur son épaule qui n'était pas blessée.

Faites désormais attention à vous, un homme haut placé et blessé peut être une cible tentante pour quelque pirates rôdeurs. Veillez donc à ce que vos hommes se déplacent en formation serrée autour de vous.

Il s'apprêtait à partir quand il se retourna soudainement

Ah oui, je voulais vous demander, pourriez vous me faire parvenir les clés de votre salle d'entrainement afin que je puisse voir où en est l'armée Royale depuis que je l'ai quittée et pourquoi pas à l'occasion ferrailler en votre compagnie ?

Bastien écoutait le prince lorsque que Galadrielle surgit et se colla contre lui.

Madame...

Une brève salutation, soit, mais Bastien n'avait pas vraiment envie d'engager une longue conversation. Son épaule le fesait suffisament soufrir pour se mettre à palabrer de tout et de rien.

Votre Altesse, j'ai de même entendu parler de ce cabinet et m'y rends de ce pas. Je connais d'ailleur le médecin, qui est d'ailleur médecin militaire. Et je me vois rassuré pour votre sécurité.

Il soufla lentement, grispant les muslces du visages avant de reprendre.

Pour ce qui est de ma sécurité, jusqu'à maintenant je n'avais jamais eu à avoir attentif. Personne n'osez me touché, d'ailleur la personne qui à fait ce la, ne pourra pas prévenir son chef que je m'occuperai personellement de lui. Soit...Je vais vous abandonné, ma blessure n'attendra pas indéfiniment.

Bastien avanca légèrement, se retourna vers le prince et son épouse pour finir la discution.

Pour ce qui est de l'armée, je vous enverrais un plan...Au revoir.

Le Père Huon était chargé comme un baudet lorsqu'il arriva sur la place de la foire :

Voilà, j'ai fini mes portes ! 4 belles portes à vendre !
C'est qu'il m'en a fallu du temps pour des portes en chène comme ça !
Alors, ça intéresse quelqu'un ?

Il trouva enfin une place disponible pour poser son chargement et monter ses belles portes aux badauds ...

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