[RP] Prise de l'île de Guernesey

[Vers le port]

Depuis qu'il avait remis les pieds sur le bateau, Corwin n'avait qu'une hâte en redescendre. Pas tant pour le combat que pour retrouver un sol ferme sous ses pas. Heureusement la traversée n'est pas longue, l'attente sera de courte durée.

Que savons-nous des forces présentes ? J'imagine mal les pirates nous attendre en rang comme à la parade. A part ceux qui seront là pour aider au débarquement.

Corwin se retourne et regarde le jour se lever.

Ca va, on devrait être dans les temps, le soleil n'est pas encore à l'horizon mais ça ne va plus tarder. Le stratagème devrait tenir au moins jusqu'à 10m, après, il faudra faire vite.

[la redoute]

La chaloupe avancée vers la Baie de Saint Martin et Teobald et ses compagnons s’apprètaient à débarquer…

Il nous faut un endroit discret mes amis, quelque part ou la chaloupe ne sera découverte.

Alors qu‘il scruté la cote du regard il vit non loin d’eux une crique assez étroite et renfermée…

Ici mes amis ce sera l’endroit idéal pour nous, faisons route vers cette crique et débarquons y !

La chaloupe vogué vers la crique et ses pensionnaires s’apprettaient a débarquer…

En avant c’est maintenant que nous avons rendez vous avec la gloire !

Teobald sautât de la chaloupe et l’amara à un rocher. Ses compagnons rassemblèrent les munitions et les quelques vivres et ils se les partageaient équitablement.

Mes amis, dit Teobald, Nous somme bénis, regardez un sentier de pécheur, il nous permettra peut être de gagner les prés sans avoir à passer par la route principale. Équipons nous et partons sur le champs .

Teobald et ses hommes prirent le sentier en direction du Nord…

[au port]

Bastien était toujours dans la maison, l'aube ne setait pas encore levé. Il sortit son briquet, le regarda et le frotta fortement. De pauvre et vieux rideaux dégarnis s'emflamèrent en un rien de temps, et vite les meubles de bois sec s'allumèrent. Le feu prit la maison rapidement.

Bastien sortit en courrant la maison. Le visage alarmé, montrant du doigt la maison enflammée. Nombre de pirates affluèrent pour mettre fin à l'incendie. Bientot la moitié de la ville était présent, Bastien s'enfuit vite.

Il arriva jusqu'au clocher, son mousquet toujours en main. Il grimpa lentement jusqu'au haut du clocher. Bloqua la trappe pour que personne ne vint le déranger. Debout, il scruta l'horizon. L'aube arrivait lentement. Bastien fixa la corde permettant de faire sonner les cloches. Il colla ses paumes sur la corde, puis referma ses doigts un par un sur la corde. Il la serra fort, et d'un grand geste tira dessus, les cloches se mirent à sonner ...

[la redoute]


Alors qu'ils grimpaient le sentier, Teobald et ses gaillards entendirent le son des cloches...

Mes amis c'est ce bon Bastien qui nous donne le signal, ne trainons plus et allons vite vers la redoute afin d'y saborder quelques canons.

Les trois hommes se dépêchèrent de rejoindre les prés afin de rallier la Redoute le plus rapidement possible et tout ceci sans se faire prendre par l'ennemi...

En arrivant aux champs ils virent une lueur au loin... une épaisse fumée montée dans le ciel Rougeoyant de Guernesey...

En avant mes amis et gare à nos âmes !

Ils partirent vers la redoute à travers les Prés et les bois bordant la falaise...

[la redoute]


On a pas le temps de trainer il faut les surprendre . On y va à l'arme blanche ou je peut me servir mon fusil pour cette partie de l'opération.

[la redoute]


Teobald dans leur progression vers la redoute ne pouvais s'empêcher de regarder vers le Château de Cornet... Les pensées allez tout droit vers ses camarades restés là bas sans pouvoir combattre...

On a pas le temps de trainer il faut les surprendres

Valerius s'était approché de lui pour lui parler...

Oui mon ami et surtout allons y sans bruit, laissons de coter nos armes a feu et privilégions donc nos épées, il ne faut pas se faire remarquer, si nous devons les employer alors faisons le par surprise. Les attaques dans le dos sont Lâches certes, mais il en vas de notre réussite pour le coup alors rangez vos armes et apprêtez vous épée à la main.

Ils poursuivaient leur route et ne se trouvaient qu'à un lieu ou deux de la redoute.

[le port]



Les hommes d'Henri étaient de part et d'autre de la route et remontaient en suivant la Dame qui cheveux au vent avançait devant eux.

Henri pensait à Annie et à sa place ici. Il était heureux et jeune marié espérait pouvoir ramener autre chose que du plomb et du sang à son épouse. Il sera le médaillon qui co,tenait son portrait et une petite mèche de ses cheveux. Il se tourna vers ses hommes


"Messieurs les Mestres, soyez fier de ce que vous accomplissaient car ce jourd'hui la barbarie cède à la civilisation. Grâce à vous, les côtes Normandes ne seront plus à trembler d'une attaque prochaine car une fois l'ile libérée nous seront la vigie qui protège et lance son cri d'alarme, nous seront le rempart qui protège, nous seront le médecin qui soigne et nous seront le baume à l'âme de tous les malheureux que la tempête rejettera maintenant sur une côte enfin accueillante.

Soyez fiers de ce que vous êtes, car homme libre vous étendez maintenant cette liberté à cette terre.

En avant mes enfants !!"

[Port]



L'incendie faisait râge dans la ville, et partout régnait la discorde et la panique. Et les cloches faisaient un rafut du diable.
(Bien joué Bastien, pensait-il...)

"Tombons les masques mes amis ! Finissons-en avec cette gent infernale et dévoyée !!!
Ralliez-vous à mon panache blanc !!!"

Cyrius, un pistolet dans une main , le mousquet dans l'autre ; quitta l'embarcation et suivit le beau panache blanc
Un coup d'oeil du côté de ses anciens camarades mousquetaires, lui apprit qu'ils quittaient eux aussi les chaloupes du "Lion Normand" pour participer à la fête ...

" Resistez bande de pirates, qu'on s'amuse un peu "

[Château Cornet]

Ramsay avait visité ses amis blessés un à un, il leur avait glissé quelques mots de réconfort tant ces derniers enrageaient de ne pouvoir prendre part aux combats sur la rive d'en face.

Bien que pour la plupart blessés, chacun était à son poste et gardait l'oeil bien ouvert. De son côté Ramsay scrutait la ville de Saint-Pierre-Port à l'aide d'une longue vue, suivant les opérations de loin cette fois-ci en raison de sa blessure au bras.

Il avait passé tout son temps depuis la prise de Château Cornet à mettre en place l'organisation nécessaire à la gestion du groupe d'îles dont le Saint Père lui avait remis la charge. Il voulait que tout soit prêt lorsque la ville serait enfin libérée. Une nouvelle terre dont les promesses remplies d'espoir hantait désormais les rêves de chacun...

[En ville - Le clocher]

Le son brutal des cloches arrachait les tympans de Bastien. Il pensait avoir assez fait de bruit, les alliés devaient être prevenu. Un homme sur la place hurla en direction de Bastien. Le français obersa cet homme qui gueulait en anglais, surment des injures. Bastien regarda derière lui, et ne vit personne, l'homme lui parlait bien à lui.

Bastien prit son mousquet, prit son temps pour viser et tira. La balle partit rapidement de l'arme, continua sa course dans la brume légère de l'aube, et se figea dans le poitraille de l'homme. Le pirate normand tomba lentement sur le sol, il n'était pas mort.

Certain pirate avait remarqué qu'il y avait un blessé en pleine rue, mais sous la panique, il n'y pretèrent pas plus d'attention.

[b] [ la redoute]

Vous êtes sur que il n'y ai plus personne. Les nanons sont morts . j'ai mis un truc pour bloquer l'inflamation de la poudre . Mon père me l'avais appris.

[La Redoute]
En descendant, Valérius dit: Vous êtes sur que il n'y ai plus personne ?


Teobald le regardât...

Non mon ami et c'est pour cela qu'il nous faudra être très vigilant.

Dans la descente, ils entendirent du bruit venant du bas...

Teobald regardât Valerius une nouvelle fois...

Tu vois, lui murmurât-il en lui souriant.

Peut tu faire un point de la situation de la ou tu est ?

Teobald attendait que Valérius lui réponde...

[ la redoute ]


Je n'etends pas grands chose des pas mal assuré j'ai un ombres aparrament assie en visuel. Pas d'armes mais il doivent en avoir sur eux. D'après les voix je dirais 5 pirates complètement saoul . On fais quoi on descends.


Va lerius prit son fusil en main et ytassa une balle enattendant la réponse de Téobald.

[La Redoute]

Valerius lui chuchotât:

Je n'entends pas grands chose des pas mal assuré j'ai une ombre apparemment assise en visuel. Pas d'armes mais il doivent en avoir sur eux. D'après les voix je dirais 5 pirates complètement saoul . On fais quoi on descends ?

Teobald réfléchit lorsque Valérius sortait son fusil...

Pas de Fusil Valérius ! nous devons passer inaperçus !
Allez tous à vos épée c'est le moment de savoir pourquoi vous êtes là !
Valérius attaque le premier sur la chaise, Henry et moi nous prendrons respectivement à droite et à gauche, puis on avise sur les autres allez en avant !

Ok pas de problème .


Valérius fait basculer sont fusil sur son épaule, dégaine son sabre et commence la descente de l'escalier.

Valérius vit comment ces hommes étaient saoul, attaqua celui de la chaise , lui couant la tête , Tua celui désarmé par téobald avvant d"éviter de justesse l'attaque d'un troisième qui recu son pied dans le ventre ,avant de se prendre son épée.

Oups , j'ai oublié qu'on avait pasle droit au fusil désignant l'homme bléssé par téobald qui gisait par terre le ventre ensenglanté.

Ok pas de problème je l'embroche.

A ces mots il leva son épe qui se planta dans le ventre du pirate.

Dommage que ce n'est pas un sanglier on aurait pu manger en route.

Le siège du fort, en voici un extrait, nos hommes emporta la partie médiane du petit-pond sur le côté gauche de la tour. Sur la tour ou nous étions Galadriel, Dasilva et moi.
De bon matin, nos compagnons se dressent avec pleins d’ardeur, encerclent cette malheureuse tour, ils luttaient contre elle avec acharnement. La tour tremble, les cors retentissent, des flots de sang baignent les remparts, toute la campagne gémit, les hommes font entendre un mugissement.
Boulets et balles, vont et viennent par les airs. Les nôtres poussent des exclamations, les pirates, eux aussi, crient ; en même temps toute la terre tremble.
Du haut de notre tour, ne pouvant porter secours et venir en aide aux compagnons Haletant dans la bataille. Ceux-ci luttent avec vaillance ; ils sont douze, que n’ont jamais effrayés les épées formidables.
Comment ils se battent, cela est difficile à dire, du moins voici leurs noms M. de Coucy, Corwin, Cyrius, Sydoine, Teobald, Valerius, Bastien ….
Cependant les stupides pirates encore sous l’effets de leurs alcool, ne parvenaient pas à faire fléchir leur courage, nos compagnons disposent devant la porte de l’infortunée forteresse un chariot rempli de paille, qu’ils enflamment avec des matières sèches.
De même quand un orage vient à s’enflammer du ciel, une nuit profonde s’étend, la fumée cacha la tour, plongeant quelque temps par un brasier qui faisait un fracas de tonnerre.
Le fort comme le ciel étaient rouge sang.
Galadriel trouve une idée pendant que je la couvre avec mon fusil.