[RP] Prise de l'île de Guernesey

Ils s'enfuient loin là-bas ! les canailles !


-Galadriel dit, je resterai ici –

Ha ! Pourquoi ma belle.

-Elle rigole, il me reste de la poudre, Je tire mon premier et dernier coup de canon, ils laisserons, leurs corps,
leurs entrailles !-

Teobald, hpwv et Malouin rigolent à plein poumons


-Galadriel Nous sommes arrivés jusqu'ici, mes amis ! ne repartons pas maintenant ! et restons amis-

[Le clocher]

Les combats faisaient rage partout en ville maintenant. Il fallait libérer les rues du mal. Un homme vint pour aider Bastien. Bastien descendit les excaliers du clocher après avoir dégagé le passage et tomba sur son allié.

Mon ami, content de vous voir ! Allons peut être nos hommes ont prit le bastion et le port mais faut-il encore prendre la ville !

Bastien sortit de l'édifice, il avait abandonné son mousquet et l'avait remplacé pour un long poignard dans sa main droite et de sa main opposé il portait sa hachette. Il se lance dans la melée au son d'un cri.

EN AVANT

Il est au milieu de nombreux pirates, de mousquetaires se battaient vallaiment. Beaucoups de pirates fuient le port. Un homme au sabre vint s'attaquer à Bastien. Bastien recule pour eviter sa première attaque puis bloque sa deuxième attaque avec la hachette pour lui enfoncer profondement son poignard dans le ventre.

"Le port est libéré et nos compagnons ne vont pas tarder à nous rejoindre, et si nous préparions un endroit où nous réunir ?

Regardez, je vois une chaloupe arriver du Chateau Cornet !
Sous peu, nous seront tous au grand complet !"

Corwin commençait à ressentir la fatigue et une certaine lassitude du combat. Depuis l'aube sur le qui-vive, et les pirates qui ne se défendaient qu'à peine quand ils étaient acculés.

Heureusement, la population n'a pas souffert, les habitants sont restés cloitrés chez eux. Dans chaque maison lors de la fouille il en a vu, immobiles, attendant que la furie cesse. Les pauvres avaient presque aussi peur de nous que des pirates.

Une autre maison, la énième, d'un puissant coup de botte la porte s'est ouverte. Corwin entra suivi d'un de ses compagnons. La pièce était dans l'ombre, un voilage tendu au fond masquait l'entrée d'une deuxième pièce. Corwin s'avança quand sont compagnon d'arme le retint. Il vit un rapide mouvement dans l'ombre sur sa gauche.

Voleurs! Bandits !

C'était une femme armée d'un poêle qui se ruait sur lui. Corwin n'eut que le temps d'éviter la lourde poêle avant de se retrouver percuté par la mégère.
blang balang !
Un bruit dans l'autre pièce.

Vas ! Vite ! Quelqu'un s'échappe derrière. J'arriverai bien à la maitriser seul.

Pendant que son camarade s'exécutait, Corwin luttait âprement pour éviter les griffes de la dragonne. Il parvint enfin à se saisir de la poêle tombé à proximité et réussit à assommer la femme. Tout en l'attachant

Vraiment pas glorieux comme combat ! Cette furie m'a arraché la moitié de la figure.

Il avait effectivement des écorchures sur la joue droite, de quoi faire rire aux prochains bivouacs.

hpwv117 etait hilare de voir cet etandard de fortune, marquer du sang de l'enemi.

Durant toute l'attaque du port constand était resté dans les environs de son capitaine en compagnie de 3 autres soldats du régiment , un anspessade et deux mousquetaires . Il avait eut un peut de mal avec sa baïonnette , ce long poignard qui s'enfonçait dans le canon du fusil pour pouvoir utilisé celui ci comme une sorte de pique mais plus petit que la pertuisane des capitaines ou la hallebarde des sergents . Le plus gros désavantage était de ne pas pouvoir tirer avec le fusil lorsque la baïonnette était en place et as sa première utilisation celle ci resta bloqué dans les entrailles du pirate qu'il venait de clouer sur une porte . Plus désagréable encore fut que le fusil ne pouvait plus servir , le choc de l'embrochement avait trop abimé le canon et son chenapan c'était bloqué . Il fallut donc que constand continua le combat à la rapière et au pistolet , ce qui n'était pas forcément pour lui déplaire puisqu'il s'agissait des armes qu'il savait déjas utiliser avant son engagement à l'armée.
Les combats continuaient de façon sporadique , certain pirates prenant la fuite les bras chargé d'un peut de leur butin accumulé au fil des ans espérant surement trouver un endroit ou rejoindre une chaloupe ou trouver une cache comme ces deux pirates qui furent surpris au moment ou ils venaient de dégager une entrée dissimulé dans une cave .:
l'anspessade fut grièvement blessè par un des deux qui lui avait enfoncé la lame de arme dans la cuisse droite avant qu'un autre soldat ne réussisse à passer ce pirate à la baïonnette . L'autre pirate profita de l'occasion pour disparaître dans un tunnel situé derrière , poursuivit de près par Constand et l'autre soldat . Dans sa course le pirate fit tomber une parti des butins qu'il transportait avec lui , mais fut tout de même rattraper au moment d'ouvrir une autre porte . Dans l'obscurité du tunnel ayant pour seul éclairage le rayon de lumière émanant de sous l'entrebâillement de la porte un duel commençât entre constand et le pirate .

[La tour]


Galadriel n'a pas tout de suite remarqué la blessure de Teobald.
Il descend puis reviens avec une chemise qu'il pose sur le rempart.
Galadriel voit du sang sur le bras gauche de Teobald.
Elle accourt vers lui.

"Je ne suis pas Coraline mais je vais faire de mon mieux!"

N'attendant pas la réponse de Teobald, elle lui arrache doucement la manche de sa chemise et la déchire en longueur.

"Je vais vous faire garrot."

Elle prend le bras gauche de Teo et y entoure la manche qu'elle serre très fort afin que l'hémorragie cesse.
Elle lui nettoie le front.
Ne pouvant rien faire d'autre, elle se lève et pose les bras sur les remparts.


"Oui il semble bien que ce nos amis."

Galadriel espère que rien ne leur est arrivés.
Elle pense a Geoffroi et sa blessure. Elle c'était occupée un peu de lui, elle espère qu'il va mieu.

Le port.

Mes amis, nous allons débarquer dans quelques secondes.

Nous formerons deux groupes. Le premier se chargé de conduire mon épouse Iseult à l'Hotel de Ville et de l'y installer. Vous posterez ensuite deux gardes à l'entrée afin d'assurer sa sécurité. Quant à vous mon épouse, je sais que vous avez déjà préparé ce jour et saurez mettre en oeuvre vos talents pour mettre de l'ordre dans la gestion de cette cité.

Le second groupe m'accompagnera pour libérer le Palais de Guernesey, nous ferons la jonctions avec nos hommes dans la ville pour cela. Avant peu l'Île sera libérée !

Sabre au clair Messieurs, nous allons poser pied à terre une seconde fois ![/quote]

Sydoine, entourée de ceux qui avaient pris les différentes fortifications, le port, le village qui se trouvait derrière ainsi que désarmé le chateau, prenait un peu de repos au Port.

La voix de Ramsay lui fit lever la tête.

"Tiens, voici l'inspecteur des travaux finis, se dit-elle".

A ceux qui l'entouraient :
"Messieurs, je sais que vous êtes épuisés, voir blessés, vous qui avez combattu tout le jour. Mais voici son Altesse qui vient constater vos exploîts, allons, debout et accueillez le Prince de la manière dont il le mérite."

Puis se tournant vers Ramsay :
"Altesse, vous arrivez bien tard, votre blessure sans doute...
La bataille est finie depuis un bon moment. Considérez Guernesey comme liberée.
Vous pouvez commencer votre règne."

[La ville]

Les rues étaient maintenant déserte, beaucoups avaient fuis et les autres étaient mort ou prisoniers. Bastien regardait cette scène devant ses yeux, sa chemise autrefois blanche couverte de sang, mais ce n'était pas le sien. Il ramassa son mousquet et prit la la direction du port.

Bastien retournait vers le port aidant un homme à marcher, cet homme avait perdu sa jambe droit, la section se trouvait juste au dessus du genou. Arrivé vers le port, le comte Ramsay debarquait avec des hommes. Bastien aida l'unijambiste à s'asseoir et alla voir vers le comte qui sera surment fait prince après la prise du palais.

Pour Guenersey !! s'écria Bastien un peu plus loin.

L'évêque ayant suivit tant bien que mal l'équipée mit pied à terre à son tour vint s'enquérir des nécessiteux.

Teobald descendait de la tour du bastion il avait vu de là haut arriver ses compagnons qui étaient restés à Cornet Castle... il sortît du bastion et regardât autour de lui...
Tout était vide, beaucoup de corps de pirates jonchaient le sol et les maisons semblaient vides et paisibles comme après un mauvais rêve...

la douleur de son bras et la vue de sa chemise immaculée de sang lui fît reprendre conscience ,alors qu'il était perdu dans ses pensées diffuses... ils étaient tous là sein et sauf à quelques mètres de lui. certain se congratulaient d'autre pestaient de n'avoir pu participer à ce grand assaut...

Il s'approchât lentement du groupe de nouveau débarqués. Là ce tenais le prince Ramsay et son épouse Iseult suivit de Geoffroi de Charles Édouard, et de Coraline.

Voila qui est bien dit il

je suis ravis de vous revoir tous sein et sauf.

Teobald adressa un sourire à chacun mais ses traits étaient tirés par la fatigue et la douleur de sa blessure...