[RP] Château Cornet

Le Lord Protecteur de Guernesey avait grâce au courage exemplaire de ces hommes et de ces femmes, réussi à prendre le bastion le plus important des pirates. Le Chateau Cornet était désormais libéré.

Des cartes étaient désormais en sa possession, toutes les réserves de poudre de l'île étaient stockées ici, des vivres et de nombreuses autres choses. Ils étaient tombés sur une véritable caverne d'Ali Baba en prenant ce Chateau.

Il fallait toutefois le tenir et mettre en place un nouveau plan pour débarquer dans le village de Saint-Pierre Port.

Après de très longues minutes, une fois que les hommes et les femmes de cette expédition furent réunis dans la grande cour centrale, il prit la parole debout sur un petit muret.

Mes amis, nous avons aujourd'hui fait le premier pas pour libérer Guernesey de l'emprise des pirates, des impies et des barbares.

Il laissa quelques secondes passer avant de continuer.

Nous avons, vous avez, parfois payé chèrement cet assaut, et je salue fraternellement le sacrifice de celles et ceux qui sont tombés cette nuit pour la Liberté.

Plus que la prise d'une Île, nous allons prochainement prendre sur la rive qui nous fait face, un monde pour le remplacer par un autre.

A nous de faire de ce nouveau monde, un havre de paix et de liberté, de fraternité et d'amour.

Ainsi, avant que chacun de nous prenne un repos bien mérité et panse ses plaies avant les prochains combats, j'aimerai que nous puissions prier tous ensemble, ici, sur ce petit bout de terre que nous avons libéré.

Ramsay descendit alors du muret.

Je crois en Dieu

Il est le Tout Puissant, créateur de la Nature et de la Vie
Il est notre Seigneur qui nous donne la Paix par son Amour
Il est le Grand Esprit qui nous qualifie pour le Dialogue et le Débat
Il est les trois réunis qui permettent notre Plaisir pour un moindre Effort

Je crois que le Tout Puissant a envoyé le Grand Esprit sur Pascal, son prophète pour le qualifier comme Vicaire de notre Seigneur sur terre et nous conduire sur le chemin de son paradis.

Je rejetterai le culte de l’objet et n’entretiendrai pas de pensées morbides
Je ne haïrai pas mon prochain ni lui ferai la guerre
Je n’entretiendrai pas la polémique ni ne sombrerai dans le monologue
Je n’entreprendrai pas d’efforts supérieurs sans plaisir aucun.

Avant de reprendre demain soir notre périple cette fois-ci vers l'île, plus lentement, reposez-vous, soignez-vous et proposez ici vos plans si vous en avez.

Puis se tournant vers Malouin.

Malouin, prenez quelques hommes et vérifiez bien qu'il ne reste aucun pirate au Château Cornet. Rassemblez les corps des trépassés dans un endroit sur afin que nous puissions les enterrer dès demain.

Bien Ramsay, vingt hommes venaient avec moi pour un nettoyage complet du Cornet je demandais à Sydoine de venir car j’avais beaucoup de confiance en elle.

Sydoine regarda ses compagnons, fatigués, transpirants, débraillés et parfois blessés, mais tous fiers des actions de la journée.

Ramsay, debout sur le muret prononçait son discours de libérateur d'un ton enflammé.

"Malouin, prenez quelques hommes et vérifiez bien qu'il ne reste aucun pirate au Château Cornet. Rassemblez les corps des trépassés dans un endroit sur afin que nous puissions les enterrer dès demain."
Malouin, lui fit signe, Sydoine vérifia que ses armes étaient chargées et le suivit.

Charles-Edouard, malgré ses douleurs, souria quand arrivèrent Korhiel et peu après Coraline. Il laissa tomber ses armes et prit appui sur ses deux amis.

Merci d'être venu me chercher! disait-il. Il était fatigué, sa plaie s'était reouverte et il sentait une humidité chaude le long de sa jambe.
Coraline et Korhiel l'ammenaient sur la place centrale, où ils arrivèrent juste à temps pour entendre ces parôles de Ramsay. Quand ce dernier commenca à prier on voyait les lèvres de Charles-Edouard bouger, mais l'on n'entendait plus grand chose.

Je crois en Dieu

Il est le Tout Puissant, créateur de la Nature et de la Vie
Il est notre Seigneur qui nous donne la Paix par son Amour
Il est le Grand Esprit qui nous qualifie pour le Dialogue et le Débat
Il est les trois réunis qui permettent notre Plaisir pour un moindre Effort

Je crois que le Tout Puissant a envoyé le Grand Esprit sur Pascal, son prophète pour le qualifier comme Vicaire de notre Seigneur sur terre et nous conduire sur le chemin de son paradis.

Je rejetterai le culte de l’objet et n’entretiendrai pas de pensées morbides
Je ne haïrai pas mon prochain ni lui ferai la guerre
Je n’entretiendrai pas la polémique ni ne sombrerai dans le monologue
Je n’entreprendrai pas d’efforts supérieurs sans plaisir aucun.

Avec ses hommes Henri entendit l'appel et se rapprocha. Il vit Ramsay avec une bosse énorme sur le front et alla vers lui.

"Monseigneur content de vous voir en bonne santé, mes hommes et moi sommes à vos ordres. Que souhaitez vous de nous ?, Le fort est presque à nous car nous en tenons les oeuvres vives. Mettons les défenses en mesure de tirer dès que nous le pourrons sur les batiment pirate et tentons de faire comprendre à nos bâtiment de se rapprocher du fort afin que nous aillons sous le feu de nos batterie les ennemies"

Où en sommes nous ?

Tout le groupe se rassemble sur les remparts.
Au large, Grieg commandant l'Espérance et aidé du Lion Normand, combat le Redoutable Capitaine Jackson.
Malouin , Sydoine et un groupe d'hommes "empruntés" au régiment de Monsieur de Coucy ( ) vont inspecter le Chateau Cornet.
Sydoine et Malouin rpèrent un brick amarré de l'autre coté de l'ile, ils y embarquent avec quelques hommes de M. de Coucy afin de porter main-forte aux navires aux proses avec le Terrible Pirate.
Pendant ce temps, les soldats, achèvent l'inspection des lieux et regroupent les corps.

Invité

[Remparts]

"Raaaaaassemblemeeeeeeeent dans la couuuuuuuuuuur centraaaaaaaaaaale !

Cyrius, suivi de Teobald entendant le cri , firent demi-tour et prirent le chemin de la Tour
Le Castel etait enfin à nous.

Au même moment, les coups de canons firent tourner la tête à Cyrius

La bataille faisaient râge au large de l'île :

[RP] Château Cornet - Page 5 La_bat11

Galadriel sent une pression sur sa main. Elle baisse son regard vers Geoffroy. Quel soulagement il ouvre doucement les yeux et lui dit:

"Galadriel... Où sont les autres ??? Sont-ils en bonne santé ?"

Galadriel lui sourit et passe sa main sur son front.

"Ne vous en faite pas Geoffroy. Nous sommes tous réunis ici, quelques blessés mais pas de mort dans notre groupe ou le second."

Elle s'interrompt. Ramsay parle. Elle murmure doucement "...Je crois en Dieu...". Elle se retourne vers Geoffroy.

"Avez-vous besoin de quelque chose? Froid? Faim? soif?
Dites moi et je vous amène tout."Elle lui sourit."Je vais m'occuper de vous Geo."

Teobald rejoint le groupe après plusieurs minutes, en chemin il était rentré dans un bâtiment de l'arsenal qu'ils avaient oubliés, ils étaient quasiment tous dans la cour...

Il avait le visage en sang et il revenait de l'arsenal ou un pirates qui s'était caché l'avait attaqué par surprise.

Il s'avança vers Ramsay,

Messire l'arsenal est maintenant en sécurité.

Puis il vit Charles Édouard et lui dit avec le sourire:

C'est bon de vous voir debout mon ami !

Nombre de messages : 18 Armes : Date d'inscription : 12/01/2009

Arrivés sur la place centrale, Korhiel écouta les paroles de Ramsay, lorsqu'il récita le credo, l'évêque se mit à rire et glissa à l'oreille de Charles-Edouard:

En général c'est mon rôle, mais aujourd'hui je laisse volontiers ma place, il faudra que je pense à proposer à Messire Ramsay de rentrer dans les ordres. Je suis tout de même satisfait de ne pas avoir eu à administrer l'extrême onction cette nuit.

Je crois en Dieu

Il est le Tout Puissant, créateur de la Nature et de la Vie
Il est notre Seigneur qui nous donne la Paix par son Amour
Il est le Grand Esprit qui nous qualifie pour le Dialogue et le Débat

Je crois que le Tout Puissant a envoyé le Grand Esprit sur Pascal, son prophète pour le qualifier comme Vicaire de notre Seigneur sur terre et nous conduire sur le chemin de son paradis.

Je rejetterai le culte de l’objet et n’entretiendrai pas de pensées morbides
Je ne haïrai pas mon prochain ni lui ferai la guerre
Je n’entretiendrai pas la polémique ni ne sombrerai dans le monologue

Je crois que le Tout Puissant enverra le Grand Esprit pour me qualifier aussi pour servir notre Seigneur sur terre et me conduire sur le chemin de son paradis.

Puis se dirigeant aux côtés du Comte de Montgomery : Pssst Mon ami, certes ce n'est pas le moment mais je souhaitais vous signaler que le contenu du credo a quelque peu changé depuis l'accession à la charge de Grand Pontife par Adéodat III (il m'en voudrait si je laissais cela méconnu) Au fait voudriez-vous entrer dans les ordres?.

Puis le gratifiant d'un grand sourire, il retourna s'enquérir de la santé des blessés.

"Avez-vous besoin de quelque chose? Froid? Faim? soif?
Dites moi et je vous amène tout."

Geo était trop fier pour laisser apparaître la douleur. Il fit donc tout pour reprendre sa voix normale et annonça d'une voix forte et claire.

Un peu d'eau me ferait le plus grand bien... Et il faut que je parle à ce Capitaine de l'armée.

Il repéra un tabouret non loin et s'en aida pour se lever, essayant de cacher, sans grand succès, une grimace de douleur. Il s'aida ensuite d'une table pour se redresser et obtenir une démarche stable.
Il sortit dans la cour où presque tous ses compagnons étaient rassemblés. Ils priaient... Geo les accompagna durant le fin de la prière puis s'avança vers Henry de Coucy.

Capitaine Henry de Coucy je présume ?

Vos hommes nous ont été très utiles durant cette expédition. Mais je tiens à ce que vous sachiez que je ne me serais pas déplacé pour si peu vous dire.
Ce que je tiens le plus à vous annoncer c'est que vous avez agi inconsciemment. Vous impliquez l'armée Royale dans une affaire qui ne concerne en aucun cas sa majesté Jehan de Vergy. Ainsi, je vous prierais, dès que vos hommes seront rassemblés de leur ordonner de retourner dans leurs casernes respectives. Je pense qu'ils ne nous seront plus d'une grande utilité maintenant que la principale défense des pirates est tombée.
S'ils sont volontaires, ils pourront continuer l'expédition avec nous mais sans porter l'uniforme.

Il s'apprêta à partir quand il se souvint subitement de quelque chose. Il se retourna.

Et la prochaine fois... Tâchez de ne pas rater le départ.

Il partit ensuite s'asseoir sur un canon, restant debout étant pour lui encore un supplice.

[la cour]

Citation :: "Un peu d'eau me ferait le plus grand bien... Et il faut que je parle à ce Capitaine de l'armée."

Galadriel cour chercher de l'eau. Elle en trouve non loin d'elle. C'est un grand tonneau plein d'eau. Bien sur ils préfèrent le rhum c'est satanés pirates. Elle remplit une gourde et cherche Geoffroy. Ah le voila il est assit sur un canon. Il a pas l'air si bien qu'il le prétend.

Elle avance vers Geoffroy, lui ouvre la gourde et la lui tend.

"Tenez Geoffroy. Autre chose peut être?"

Elle s'assoit a coté de lui, attendant sa réponse.

Korhiel s'était avancé près de Ramsay et lui avait glissé quelques mots à l'oreille.

Pssst Mon ami, certes ce n'est pas le moment mais je souhaitais vous signaler que le contenu du credo a quelque peu changé depuis l'accession à la charge de Grand Pontife par Adéodat III (il m'en voudrait si je laissais cela méconnu) Au fait voudriez-vous entrer dans les ordres ?

Monseigneur, comme vous le voyez je suis de la vieille école en matière de religion. Il m'a semblé important, étant donné que j'ai reçu ce commandement du Saint Père que nous rappelions par cette prière que nous étions là, armes en main, pour la Gloire du Seigneur et non pour la notre.

Cette expédition est une sorte de croisade, ainsi il est important que celui qui la mène rappelle à ses hommes que nous ne pouvons bâtir un monde nouveau à Guernesey que sur des bases morales.

Puis souriant à Korhiel.

Pour ce qui est des Ordres, vous savez, je suis déjà Chevalier et j'ai choisi d'embrasser la carrière des armes sur les traces de mes ancêtres. J'avoue préférer l'ordre aux Ordres et je confesse qu'une de ma maxime préférée est par ailleurs "Ordo Ab Chao"...

Il faudrait toutefois que vous m'appreniez ce nouveau Crédo.

Nombre de messages : 12 Armes : Date d'inscription : 18/01/2009

Corwin, meurtri par le combat et les efforts fournis, rejoint ses camarades dans la cour.
Au passage il récupéra son fusil posé contre le mur du bâtiment, là où Sydoine l'avait posé.

Au garde-à-vous il écouta la prière de Ramsay quant il vit sortir Geoffroy et se diriger vers le groupe.

Capitaine Henry de Coucy je présume ?

Vos hommes nous ont été très utiles durant cette expédition. Mais je tiens à ce que vous sachiez que je ne me serais pas déplacé pour si peu vous dire.
Ce que je tiens le plus à vous annoncer c'est que vous avez agi inconsciemment. Vous impliquez l'armée Royale dans une affaire qui ne concerne en aucun cas sa majesté Jehan de Vergy. Ainsi, je vous prierais, dès que vos hommes seront rassemblés de leur ordonner de retourner dans leurs casernes respectives. Je pense qu'ils ne nous seront plus d'une grande utilité maintenant que la principale défense des pirates est tombée.
S'ils sont volontaires, ils pourront continuer l'expédition avec nous mais sans porter l'uniforme.

Surpris par ces mots, Corwin ne put s'empêcher de prendre la parole.

Avec votre permission Capitaine...

Sachez monsieur qu'avec ou sans uniforme, ma loyauté ira avant tout à mon officier. S'il m'y autorise, je continuerai à combattre au coté de vos forces, sinon grand bien vous fasse et bonne chance pour la suite.

Ramsay avait écouté les paroles de corwin et s'approcha de lui.

Soldat, cette expédition n'est pas de l'initiative du Roi de France ni de la Reine d'Angleterre mais du Saint Père qui m'a confié son commandement.

Ainsi, personne n'est obligé d'y participer et je ne mène pas pour ma part cette dernière en tant que Grand Maître de l'Ordre Royal de Saint Louis mais en tant que Lord Commandeur afin que la confusion ne soit faite.

Vous êtes loyal envers votre Roi et votre supérieur, ce dont je vous félicite. Toutefois les hommes et les femmes ici réunis viennent tous d'horizons différents et le sieur Geoffroi rappelait à juste titre qu'il ne faut pas l'oublier. Ici c'est moi qui commande et il ne saurait y avoir ici que discipline et obéissance.

Nous ne revêtons pas ici nos uniformes habituels mais un uniforme particulier qui fait que chacun a le pouvoir de mériter ses futurs galons au feu et non pas lors d'un exercice de caserne.

C'est la raison pour laquelle je fus le premier à poser le pied sur l'île pour montrer l'exemple et à prendre le maximum de risque. Tel était mon devoir en tant que commandant de cette expédition.

Il y a derrière moi encore quelques uniformes de notre armée de libération, que celles et ceux qui le souhaitent le revêtissent et porte fièrement les couleurs qui libèreront Guernesey du joug de l'oppresseur.

Plus tard, dans quelques années, vous pourrez dire "Moi aussi j'y étais !". Cette phrase à elle seule fera de vous un homme à part dans le monde que nous bâtirons ici.

Rompez soldat, vous avez bien travaillé. Prenez un peu de repos dans un coin de la cour et profitez en pour manger un peu, des victuailles seront distribuées dans les prochaines minutes.

Ramsay alla ensuite s'enquérir de la santé de Geoffroi qui semble t'il avait été lourdement bléssé...

Revenant vers la cour avec le père Korhiel et a eu deux soutenant Charles –Edouard ,ils l’allongèrent sur la paillasse que venait de quitté Geoffroy,
le comte Ramsay debout sur le muret fit son discours et la prière , puis Geoffroy courageux fit aussi un exposé de situation, on voyait qu’il souffrait, mais je suis assez contente , ma mixture avec fait l’effet escompté pour pouvoir se tenir debout c’est que la fièvre avait disparu, mais faudrait refaire le pansement et mettre une écharpe pour soutenir le bras, Charles –Edouard avait lui besoin de plus de soin, car le bandage sommaire a la cuisse était percé

Je me dirigeait vers le comte Ramsay ,

Monsieur ,avant de m’occupé de Charles –Edouard , puis je voir votre blessure au bras, car même si elle n’est pas important , il vaut mieux désinfecté….

Rassemblement, rassemblement, je suis les autres jusque dans la cour, écoute le discourt de mon époux et prie en silence.

Je reporte mon attention sur mes compagnons, Sydoine et Malouin s’en vont d’un coté, Coraline avait filé aussi vite que l’éclair, mais revenait avec Charles Edourd et père Korhiel.
Geoffroi pale et en sueur est au bon soin de Galadriel, il se relève et prend la parole.

De loin j’écoute toutes les discutions, j’aime être un peu en retrait et observer, nous sommes tous en vie, crasseux mais nos visages rayonnent.
Le tonneau ou Galadriel a puisé l’eau est une invitation, je me dirige vers lui, dénoue mon foulard et le trempe dans l’eau avant de me le passer sur le visage. Une explosion attire mon attention.

Passant près de mon tendre et de Coraline qui essaye en vain de le soigner, va-t-il se laisser faire ? Je souris lui dépose un baiser sur la joue avant de lui dire

Laissez vous soigné voyons, je monte à la tour voir se qu’il se passe

je grimpe les marches qui mène à la tour que Malouin a quitté et regarde le spectacle qui s’offre à mes yeux, les navires mènent un combat serré, le bateau pirate est en feu…

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La réponse de Ramsay fit rire l'évêque qui revint vers ce dernier et lui adressant un petit coup de coude:

Je vous taquinais sur la question des ordres et il est certes vrai que d'aucun seraient certainement attristés de constater qu'un si brillant homme d'arme délaisse cette voie pour la religion (du moment que vous continuez à effectuer une petite prière quotidienne).

Korhiel chuchota à l'oreille du Comte :

Voici le credo quelque peu modifié,

Je crois en Dieu

Il est le Tout Puissant, créateur de la Nature et de la Vie
Il est notre Seigneur qui nous donne la Paix par son Amour
Il est le Grand Esprit qui nous qualifie pour le Dialogue et le Débat

Je crois que le Tout Puissant a envoyé le Grand Esprit sur Pascal, son prophète pour le qualifier comme Vicaire de notre Seigneur sur terre et nous conduire sur le chemin de son paradis.

Je rejetterai le culte de l’objet et n’entretiendrai pas de pensées morbides
Je ne haïrai pas mon prochain ni lui ferai la guerre
Je n’entretiendrai pas la polémique ni ne sombrerai dans le monologue

Je crois que le Tout Puissant enverra le Grand Esprit pour me qualifier aussi pour servir notre Seigneur sur terre et me conduire sur le chemin de son paradis.

Posant une main sur l'épaule de Ramsay, et d'un sourire complice :

Je cesse de vous importuner et vous délaisse face à ces alléchantes victuailles qui semblent m'appeler. On a beau être un religieux, risquant sa vie pour le Seigneur, on en a pas moins une petite bedaine qui grogne sous l'effet de la moindre tension.

Des nuages sombres et lourds masquaient la lune, et l'air promettait de la pluie à venir. Je montais les marches jusqu'a la tour que j'avais quitté. On voyait que j'avais marché à grandes enjambées, car j'étais hors d'haleine et je respirais par mes lèvres entrouvertes. Iseult était la.
_Oh! Malouin vous ici, vous me paraissez bien hagard,, Seriez- vous porteur de mauvaises nouvelles? l'interrogea Iseult_
Il s'assit sur un banc dès que Iseult l'y invita. Non Madame que des bonnes nouvelles, nous avons un brick de 12 canons, et des vivres des fruits très bien contre le typhus, tenez Madame une orange pour vous, je pense que nous avons gagner une grande bataille, Et vous Madame avez vous des nouvelles?
__ Oui , mon chère époux a donné des ordres très stricts pour qu'aucun prisonnier pirates ne soit libéré. Ils seront interrogés dans la journée._
Avez vous des ordres pour moi ?

Teobald s'était essuyé le visage, son arcade était ouverte et celle ci saignée abondamment...
il déchirât une manche de chemise d'un pirate qui gisait non loin et s'en fit un bandeau...

puis il alla voir son amis Geoffroi qui avait l'air en piteux état.

Eh bien mon ami que vous est il arrivé ? rien de grave j'espère? puis il se tournât vers Galadriel et lui dit

Qu'a t-il ?

Henri regarde le Connétable, sourit, pose sa main sur le bras de son soldat :

"Mon ami je vous remercie de vos paroles qui me touche, vous faites honneur à Normandie et je saurais m'en souvenir, enlevons nos uniformes, Monsieur le Connétable pourra les ranger quant à nous nous combattrons en chemise, cela nous fouettera le sang. Pour le reste la France est la fille ainée de l'église, aussi, ce que le Pape veux, le Roi puis"

Monsieur le connétable quant à rater le départ, je ne crois pas e, la matière qu'il y ai à porter critique, car puisque nous sommes ici intuitu personae il convient seulement que nous soyons à l'arrivée"

[HRP= je suis en déplacement, je n'ai plus d'internet chez moi et mon micro est en rade, vous me permettrez par ailleurs d'avoir un métier, car il me faut nourrir ma famille, alors je suis la autant qu'il m'est possible"]

Coraline s'était avancée vers Ramsay pour le soigner. A dire vrai le Comte de Montgomery était tellement dans ses pensées sur la prise et la gestion ensuite de l'île qu'il ne sentait guère cette blessure.
Sa douce Iseult le ramena à la réalité en lui posant un baiser sur la joue.
Il lui sourit puis se tourna vers Coraline.

Ma chère je suis tout à vous, faites de mon bras ce qui est nécessaire tant je suis ignorant des pratiques de la médecine. Je vous fais entière confiance.

Il découpa sa chemise à l'aide de sa dague et découvrit avec un peu de stupeur que la plaie était un peu plus profonde qu'il ne le pensait.

Le comte Ramsay se tourna ver Coraline,

Ma chère je suis tout à vous, faites de mon bras ce qui est nécessaire tant je suis ignorant des pratiques de la médecine. Je vous fais entière confiance.

Il découpa sa chemise à l'aide de sa dague et découvrit avec un peu de stupeur que la plaie était un peu plus profonde qu'il ne le pensait.

Un peu de temps avant, Coraline avait mis de l’eau chauffer dans une écuelle, surement d’un pirate, elle avait rassemblé quelques morceau de bois et y avait mis le feu, ouvrit son sachet d’herbes médicinales et en jeta un peu dans l’eau

Se tournant vers le comte Ramsay

Je vous explique ce que je fais serrez les dents, je vois si il y a de l’infection !

Elle exerça une pression sur la blessure, pas d’humeurs, donc je vais juste désinfecter et vous faire un nouveau pansement, elle jeta un morceau de coton dans l’eau, désinfecta la plaie et refit un pansement propre, pensez venir refaire un pansement d’ici 48 heures

Elle referma son sachet, prit de l’eau chaude, s’en fus vers Charles-Edouard

Charles s'était allongé depuis la prière. Sa plaie s'était reouverte quand il s'était déplacé et il perdait encore du sang. Charles-Edouard avait envie de dormir, d'oublier ces douleurs, de guérir!
Au moins ce n'était pas quelqu'un de son groupe, autre que lui même, qui fut touché! Tous les membres de son groupe étaient en bonne santé et cela était le principal...

Juste au moment où il compta fermer les yeux afins de faire une petite sièste, il vit arriver Coraline. Enfin! Il savait que ses blesserues seront gueries dans peu de temps... Il fesait entière confiance à Coraline, qui l'avait déjà recoudu.

Coraline, Dieu soit loué! Pourriez vous vérifier la blessure de ma cuisse? Je craint que quelquechose ne se soit mal passé avant, quand je suis venu ici!

Il lui souria et pour quelques secondes il oublia ses douleurs. Il compta laisser faire Coraline, après tout elle était expérimentée et elle semblait savoir ce qu'il fallait faire.

Après avoir soigné Ramsay…

Coraline revint vers Charles Edouard, sur le chemin elle ramassa deux planches de bois….

Comment allez-vous, monsieur ?

-Coraline, Dieu soit loué! Pourriez vous vérifier la blessure de ma cuisse? Je craint que quelque chose ne se soit mal passé avant, quand je suis venu ici!

-Elle s’agenouilla près de Charles, prit son stylet , découpa le pansement tacher de sang….
Humm,
les points de suture n’ont pas lâcher ,la plaie s’est rouverte entre le deuxième et troisième point , elle jeta le coton dans l’eau chaude , nettoya la plaie le plus qu’elle pu , reprit un coton bien imbiber le plaça sur la plaie ,et refit un pansement propre
Ensuite elle ajoutât dans l’eau de la Valériane qu’elle fit boire a Charles

Ceci va vous faire dormir , ne lutter pas contre le sommeil et si vous voulez vous pouvez aussi boire un peu de calvados,

elle lui passa la bouteille, pendant se temps elle lava les planches de bois les mit de chaque côté de la cuisse et refit un pansement bien serrer autour de tout

Voila, les planches vont soutenir la blessure

Fatiguer elle s’assit quelques instant auprès de Charles essuya du revers de manche son front ou la sueur perlait

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