[RP] Château Cornet

Teobald qui avait suivit le groupe en silence, tenez son fusil a la main, il est prêt a en découdre avec les pirates.

Entendant l'alerte donné il engageât quelques regard furtifs vers les coursives et vit les pirates qui avançaient lentement dans le noir. seul la lumière de la lune éclairait le château...

Ils arrivent par le Nord dit-il a voix basse.
il se tourna vers Charles Édouard pour avoir son avis sur les opérations a suivre...

Parbleu !! Charles-Edouard, je te laisse le terminer celui là, fais moi de la chair à paté de ce faquin et avancons. Maintenant on a plus le choix il faut exterminer cette vermine !

Charles-Edouard réagissait dans la seconde qui suivait. Il fit signe à son groupe de l'attendre et commenca à courir vers ce pirate à l'accent horrible, qui voulait tout juste ramasser son arme. Ceci sera un combat homme contre homme. Charles-Edouard avait sa dague de sortie depuis tout à l'heure et décida de la lancer quand il était à seulement un mètre du pirate qui semblait ne pas le voir.

Cliiiing

Un bruit metallique réveilla le pirate qui se redressa. Charles-Edouard, qui avait loupé le pirate, réfléchissa rapidement. Comment pourrait-il faire pour tuer cette bête? On voyait qu'il paniquait bien, que cela devrait être la première fois qu'il se trouva dans une situation pareille.
Puis, soudainement il vit une pierre par terre, pas très grande, mais qui devait peser autant que quelques grappins, juste au moment où le gros africain leva sa main afin de contre-attaquer. Charles se déplaca rapidement vers cette pierre, la ramassa et la balanca en direction du pirate.

Awwh...............

Il a réussi à l'avoir! Bon, il n'a eu qu'une ou deux de ses côtes, mais grâce aux douleurs de la bête il avait assez de temps de ramasser sa dague. sans faire un bruit il se rapprocha du pirate par derriere et levait sa main. Juste au moment où celle ci était sensée trancher la nuque du pirate, celui-ci se retourna vers Charles-Edouard et se prit la dague en plain dans le front. Il était mort sur le coup. Quand Charles retira son arme du crâne l'on voyait un peu de sang gicler. ses vêtements étaient rouge rubis, tout comme ses mains. il se les essuya en revenant auprès de ses compagnons.

Ils arrivent par le Nord

Ok, allons les affronter! il s'avanca dans la direction d'où les pirates arrivaient.

Henri arrivait avec ses hommes ils avaient grimpés à la suite et se mirent en position.

Que le canon ne tire pas certes mais les coups de feus auraient attirés pareillement l'attention. Il se tourne vers ses hommes

"Soldats de Normandie il y va de l'avenir, à la baillonette" Les hommes mettent la baillonette en place

"On ne relève pas Normandie, que chacun fasse son devoir,En avant"

En trous rang de dix hommes Coucy à leur tête les hommes s'élance, certe il n'a pas d'ordre mais tirer les mettraient en péril. La surprise est totale en face ils ne pensaient point avoir a faire à des hommes aussi discipliné. Sans un mot sans un cri les hommes de Normandie arrivent au contact.

Les baillonettes font un trou béant chez l'adversaire et Coucy les avaient entrainer à combattre de manière compacte par rang, le second protégeant le premier, le troisieème venant remplacer le deuxième au moment où celui-ci passait en première ligne et où le premier ayant donné le premier impact se reformait à l'arrière.

Henri n'était pas e reste et il frappait avec sa forte épée de cavalerie comme un démon. Bientôt l'endroit où ils avaeint chargé fut dégagé et ils s'engagèrent deux par deux descendants les marches des remparts, les voila dans la cour où ils se déploient.

La porte au fonds n'est pas fermée et ils en prennent le contrôle. Là ils s'embusquent, attendant des ordres et le reste de la troupe, ils ont en vue le premier baraquement qui semble pour l'instant désert.

HRP


Rappel des consignes :

- Ne jouez pas dans votre RP d'autres joueurs, ne les faites parler qu'avec leur accord autant que possible.

- L'expédition est indépendante et pas lancée ni par le Roi, la Normandie ou la Reine d'Angleterre, donc pas de bataillon de Normandie ou autres fantaisies évidement.

- Respectez vos objectifs pour que chacun puisse jouer.

- Essayer autant que possible d'écrire sans trop de fautes.

A la suite de la prise de la tour, nous nous réunirons dans la cour de la forteresse et je nommerai un autre commandant pour cette fois le débarquement sur l'île et le village de Saint Pierre.
A vous de montrer que vous pouvez faire un bon RP

Evidement les meilleurs rpistes seront récompensés une fois l'île prise aux pirates si vous voyez ce que je veux dire
/HRP

Charles-Edouard entendait un coup de fusil, plus près de son groupe que ceux qu'il entendait depuis un instant déjà. Il n'avait pas le temps de se retourner vers le groupe de pirates en approche quand il sentit soudain une douleur monstrueuse dans sa cuisse gauche.

Ahhhhhh!

Il sembla avoir très mal et la douleur le fit tomber à terre. Sans savoir si Coralie avait pu suivre le groupe, mais trop aveuglé par la douleur pour regarder, il se redressa et lui donna consignes.

Coralie, vous êtes infirmière si je ne me trompe pas! Ayez la gentillesse de m'enlever cette balle de ma cuisse, je vous en prie!

Ensuite, en s'adressant aux autres.

Vous, les autres, vous continuez dès que ces fils de chiens seront morts! Nous devons réussir notre mission, même si je ne peux continuer avec vous!
Teobald, c'est vous qui aurez le commandement du groupe dès à présent! Menez notre groupe aux points stratégiques nécessaires á notre victoire!

Puis il se recouchait par terre en attendant que Coralie lui enlève la balle de sa cuisse et face ce qui était à faire dans un cas pareil.

Geo s'était abrité avec Galadriel dans un recoin de la porte et avait déplié la carte des opérations. Il pointa un bâtiment non loin de la tour principale.

Galadriel... Tu vas aller prendre ce bâtiment pendant que je m'occupe de la tour, mais fais extrêmement attention à toi.

Il se leva et rangea la carte sous sa cape. il rangea sa rapière au fourreau. Galdriel était déjà partie vers le bâtiment que Geo lui avait indiqué. Il avisa la lourde porte qui fermait la tour et essaya de l'ouvrir. Impossible... Il cherchait en vain une idée quand il vit le canon. Une lourde pièce de métal montée sur des roues. Ce canon faisait un parfait bélier. Il attrapa le canon et commença à frapper contre la porte.

Boum...Boum...Boum...Crrrrackk !!!

Dommage mon gars !!!

Geo resta bouche bée devant le pirate qui l'attendait derrière la porte, le mousquet pointé sur lui.

BANG !

La balle partit se loger dans l'épaule de Geo, lui faisant ainsi lâcher son mousquet. Il se redresse, gardant la main plaquée sur sa blessure. Le pirate visait désormais sa tête.

*Non... ça n'est pas possible... Ça ne peut pas finir ainsi... Pas comme ça...*

Les pensées se bousculaient dans sa tête... Il fut alors empli de cette rage qu'arrivent à développer les hommes qui savent qu'ils sont perdus.
Il se rua sur le canon qu'il poussa sur le pirate. Ce dernier, le reçu dans le ventre, ce qui le propulsa contre de mur et le fit tomber à terre, lâchant son arme. Geo arriva et attrapa le mousquet du pirate par le canon. Il flanqua un grand coup de crosse dans le visage du pirate.

Et maintenant fumier ?! Qu'est-ce que tu va me faire ?!

Ses yeux étaient emplis d'une étincelle démoniaque. Sa blessure le faisait atrocement souffrir, mais cette souffrance était masqué par la haine. Il ne souhaitait plus voir son ennemi mourir le plus rapidement possible, mais le voir souffrir un maximum. Il leva le mousquet et le rabattit avec toute la violence qu'il pouvait sur le visage du pirate.

AAAAAAaaaaaaaaaaaarg !!!

Il continua ainsi à donner les coups sur le visage de son adversaire. Les cris de ce dernier s'arrêtèrent subitement au bout d'une vingtaine de coups. Le visage désormais méconnaissable s'était éteint de toute expression. Il était mort.
Geo grimpa ensuite les escaliers pour arriver au sommet de la tour.

Teobald vit Charles Édouard tomber a ses coter...

Messire !

Il lui pris ses bras et le mit a l'abri du feu derrières les rochers,

occupez vous de lui vite! dit-il à Coraline

Vous autres formons une ligne accroupis et fusillez sans fautes !

Teobald se mis a genoux, visa vers les pirates et tira. Il fit mouche au premier coup.

Nous devons avancer car si ils arrive sur nous trop vite Coralie n'aura point le temps de soigner Charles Édouard.

Venez, en avant mes gaillards ! et pour le Royaume de France !

Teobald rechargeât et tira sur les pirates une nouvelle fois

Teobald revint auprès de Charles Édouard. Il le regarda , mit la main sur son épaule et lui dit.

Messire votre confiance que vous m'octroyez me va droit au cœur et que je périsse si je n'arrive pas a nous apporter victoire.

Puis regardant les autres... C'est le moment, on avance jusqu'au bout des remparts Nord vite en avant et gare a vous car les pirates ne feront pas de quartiers !

Aiiiieeee

Le malheureux se l'était pris en pleine tronche, et Teobald profita de ce moment pour sortir son épée de son fourreau.

Couvrez moi camarades ! lança t-il a ses compagnons.

il se jeta lui aussi sur le forcené et frappa de toute ses force sur la dague qui avançait vers lui.