[RP] Demeure de Teobald et de Christinella

C hristinella s'approche de la demeure et n'en crois pas ses yeux.
"cette demeure est ......... splendide un joyau".

Elle entre et reste ébahie, elle voit le tableau. Elle le regarde une larme à l'oeil.

"Oh mon amour , que tout ceux ci est fort beau, vous me gatez trop".

Christinella grimpe les marches à toute allure.

Elle a hate de découvrir leur chambre.

Elle entre. Un superbe bouquet est disposé sur sa table nuit. Téo est un amour.

Elle regarde la pièce et sait comment elle arrangera leur petit nid d'amour.

"petit, non" sourit elle.

Des draps de dentelles, de beaux rideaux, des tapisseries au mur.
Enfin selon leurs moyens.

Elle s'assoit sur leur lit douillet et se met à rever..........

"Amour, vous vous êtes endormie ?" Teo l'appelle..............

Amour, vous vous êtes endormie ?

Pas de réponse...
elle a due se perdre pensât-il...

Il montât les escalier et entra dans la chambre, Christinella était allongée sur le lit les yeux ouvert fixant le plafond avec un léger sourire incontrôlable...

Il s'appuya contre le montant de la porte et l'observa en souriant... Elle avait l'air si heureuse.

Christinella fixe le plafond...........

Elle tourne la tête et voit Téo.

Elle lui sourit.

"Amour, venez me rejoindre"

Teo s'allonge près d'elle, elle se blottit dans ses bras, elle lui murmure

"Je vous aime de tout me coeur"
Elle pense toutes ses dames sont si belles, si cultivées si charmeuses.
je l'aime tant.

Christinella s'était endormie dans ses bras il déposât un baisée sur son front et la couvrit...
Le voyage l'avait surement bien fatiguée...

Il descendit dans la maison et alla a la cave... celle-contenait encore beaucoup de chose qu'il n'avait pu sortir.
Entre deux étagère il découvrit une veille porte toute rongée par le temps... Il ouvrit et y trouvât une malle.

Il ouvrât celle-ci et découvrît de nombreux objets, certainement une malle piraté dans la Manche. Parmi toutes les surprises quelle révélée, il s'arrêtât net sur un objet enveloppé dans un tissu. il le pris et sortit de la cave.

il se mît sur les escaliers et dépoussiéra le tissu. Celui-ci ne ressemblais a rien d'extraordinaire mais la forme de cet objet l'attirait plus que tout...

Ne me dit pas que s'en est une...

Teobald défît le tissu et il devînt muet et immobile... il n'en croyait pas ses yeux...

Oh fan des purges ! Incroyable, magnifique...

Une Vihuela !



Il essaya de jouer, car il avait appris avec un Troubadour Cévenol... mais elle était désaccordée bien entendu...

Il accordât et gratta quelque notes... le son était magnifique...

Il jouât quelque chansons qu'il avait apprit étant enfant...

Puis ses pensés se troublèrent et les souvenirs d'enfance resurgissaient... Instinctivement il se mit a chanter un chant traditionnel Occitan...

Citation :

Se Canto, que canto ?
Canto pas per yèou,
Canto per ma mio
Qu’es al leng de yèou.


Dejoust ma fenestro,
Y a un aouselou,
Touto la neit canto,
Canto pas per yèou.

Se Canto, que canto ?
Canto pas per yèou,
Canto per ma mio
Qu’es al leng de yèou.

Teobald etait emerveillé par le son de la vihuela, comme hypnotisé par l'instrument il ne cessait de jouer assis sur les marches du peron.

Puis il entonât le chant que lui avait appris le troubadourd "Bouli"...

Citation :

Cévennes terres des hommes Forts
Cévennes je t'aimerais jusqu'à la mort...

Sur les monts aux pentes grisâtres
Les Castellas dressent leurs tours
Où le vif et gai petit pâtre
Grimpe en chantant au matin jour
Les tilleuls de tes monts pentus
Nous procurent ombre et fraîcheur
Grâce à eux nous est inconnue
La canicule et ses ardeurs.

Oh mes Cévennes oh doux pays
Plein de soleil verte oasis
Oh ma région charmant séjour
Ta riante image me plaira toujours.

Le gardon et son cours rapide
Baigne tes pieds avec amour
Et son onde claire et limpide
Murmure aux échos d'alentours
Les châteaux semblant des couronnes
Sur ton front dressés par les cieux
Et les haies les prés t'environnent
D'un manteau vert et gracieux.

Oh mes Cévennes oh doux pays
Plein de soleil verte oasis
Oh ma région charmant séjour
Ta riante image me plaira toujours.

Il n'entendait plus rien, seul la musique le transportait dans cette belle journée ensoleillée...

Christinella se reveille, et constate que teobald s'est levé.

Encore dan son sommeil, il lui semble avoir entendu un bruit, mais quand son aimé est près
d'elle est dort comme un bébé.

Elle se lève et part à la recherche de teo.

Elle frisonne de froid et n'est pas très rassurée par le bruit du vent qui souffle de plus en plus
fort.

Elle court afin de retrouver son amour au plus vite.

Christinella s'arrete toute essoufflée et entend un bruit dans la cuisine.

Elle entre et voit teo.

"Mon amour, je vous cherchais, tout ce bruit m'inquiète, ce vent grrrrrrrrrrrr"

Elle court se blottir dans ses bras.

"Vous avez préparé un bouillon pour nous réchauffer, vous etes un amour"

Elle met deux assiettes, deux cuillères.

Teobald apporte le bouillon tout fumant.

Toujours pas de visite de son aimé.

Dana et Mont se sont mariés, ils sont heureux.

Elle a décidé de leur offrir un présent.

Elle venait de finir de broder une nappe avec douze serviettes, cela devrai leur
plaire.

Teobald rentra a la maison, la pluie qui tombé aujourd'hui sur Guernesey, l'avait bien trempé.

Il vit Christinella au salon, elle confectionner un paquet.

Bonjour mon aimée ! il lui sourit , cela fasait longtemps qu'il n'avait pas passez du temps ensemble...

"oui mon amour, je suis heureuse de vous voir"

Elle se jette dans ses bras et le couvre de baisers.

Elle se met à danser de joie.

Je finis le présent aux jeunes mariés.

"Pourrons nous aller nous promener ?"

"Au bord de l'eau comme au premier soir, à votre bras je suis tellement fière et heureuse.

Je ne regrette pas de vous avoir suivi, mon amour."

Elle prend sa cape.

"Je suis prete". Nous dinerons après notre promenade si vous le voulez bien".

Elle le regarde en souriant et pense qu'il est beau en uniforme.