[RP]Demeure de Galadriel. °~O~- Au 129 Domaine des Songes -~O~°

°~O~- Au 129 Domaine des Songes -~O~°

°~O~- Au 129 Domaine des Songes -~O~°

Galadriel s'était instalée depuis plusieurs jours déja.
Le peu de travaux avait était vite effectué.
Quand a la décoration, Galadriel s'en charge au fure et a mesure.

Elle se plaisait vraiment ici.
Un grand parc entouré par la forêt, une maison confortable et spacieuse, que rever de plus!

Elle a présent une dame de compagnie. Madelaine.
Galadriel la bouscule souvent, mais sait reconnaitre qu'elle lui est bien utile.
Arnaud aussi aime etre ici. Il passe ses journées dehors.
Jour aprés jour il découvre de nouveaux endroits, qu'il ne manque pas de montrer a Gal.

°~O~- Au 129 Domaine des Songes -~O~°

Aujourd'hui il faisait plutôt beau temps. Galadriel accoudée sur le bord de la fenêtre de sa chambre regarde un chat qui traverse sa propriété.
Elle aperçoit aussi sa dame de compagnie qui est en train de s'amuser avec Arnaud.

"Madelaine. Vas donc sceller Hollow! Je m'en vais me balader.
Quand a toi Arnaud tu reste ici!"

Galadriel se prépare. Vingt minutes plus tard, elle descend.
Madelaine est dans l'allée, elle tient avec beaucoup de mal, un Hollow plutôt agité.

"Hola, mon beau. Tu ne changeras donc jamais.
Tant mieux c'est comme ça que je t'aime.
C'est bon, Madelaine. Vas me chercher le panier de pommes que j'ai cueilli ce matin."

Galadriel prend les rênes pendant que Madelaine s'éloigne.
Elle caresse son cheval. Les oreilles en arrière Hollow s'emballe.

"Oui, mon grand on y va.
Madelaine presse toi enfin!"

Elle met un pied dans l'étrier et grimpe sur son dos.
Galadriel agacée voit enfin arriver Madelaine.

"Eh ben, demain la prochaine fois non?!"

Elle attrape le panier à la volée et donne un léger coup de talon.
Galadriel adore le "Clac clac, clac" que font les sabot d'Hollow sur les pavés.
Agrippant bien la anse de son panier de pommes, Galadriel apprécie sa petite promenade.

Sachant que Geoffroi venait de s'installer, il lui avait prit l'envie de lui faire une petite visite.
Traversant le quartier au petit trot, elle ne tarde pas a arriver devant la grille de la propriété de Geoffroi.

Partis de la ville de Rouen, mardi matin, je suis arrivé le soir sur la plage d’Eu, je me mis à suivre la côte, en me dissimulant derrière les dunes pour ne pas éveiller l’attention.
Jadis , j’avais caché un canot, je m’emparai des deux avirons.
Malgré tous mes effort je ne pus parvenir à le remettre à flot, car la mer s’était retirée à plus de cinq cents pas. Il me fallut attendre la marée.
A la tombée de la nuit, j’arrivai sur la cote de Guernesey , je mis mon canot dans une petite cric du cap de Bastien près de la forêt, du quartier Galadriel , je tape au logis 129
Galadriel m’ouvrit la porte, et oui je suis le petit Malouin je venais pour vous féliciter pour votre nomination de Baronne, un genoux par terre je lui baisa la main…

Coucou Galadriel les hommages du matin

On frappe à la porte.
Madelaine se presse pour l'ouvrir. C'est un homme. Elle ne l'a jamais vu.
A peine ouvre t'elle la bouche pour parler que celui-ci s'abaisse et lui fait un baise main.

Citation :

"oui je suis le petit Malouin je venais pour vous féliciter pour votre nomination de Baronne"

Madelaine le regarde d'un air ahuri.

"Euuh, messire Malouin vous faites une erreur là.
Je suis Madelaine. La dame de compagnie de mademoiselle la baronne.
Je suis désolée mais elle ne peut vous recevoir car elle n'est point là..."

Un bruit lointain de sabot l'a fait porter son regard vers l'entrée de la propriétée.
Galadriel revient de chez Geoffroi.

"Eh bien la voilà!"

Galadriel voit Madelaine et reconnait Malouin.
Arrivée prés d'eux, elle saute de son cheval, lui caresse l'encolure et tend les rênes à sa dame compagnie.

"Occupe toi de lui! Ennervé comme il est je te conseil de le laisser gambader sur la parcelle." Galadriel se tourne vers Malouin, tandis que Madelaine s'éloigne avec Hollow.
"Bien le bonjour Malouin.
Je reviens juste. On peut dire que vous avez de la chance."

Galadriel se place devant sa porte.

Une silhouette recouverte d’une épaisse capuche arriva à cheval, au même moment que je fis un baise main à Madeleine.

Oh ! pardon Madame. Je vous ai pris pour la baronne, je lui murmure dans l’oreille, vous avez des mains beaucoup plus douce que votre maîtresse.

Madeleine souriait en lui faisant une révérence

Dans le ciel, la lune brillait de son éclat d’hiver. Quelques nuages, poussés par le vent froid la cachaient de temps en temps. Au moment où l’ombre de Galadriel enjamba pour descendre de son Hollow, l’astre de la nuit réfléchit quelques rayons dans le métal brillant d’une dague.
L’ombre pénétra subrepticement vers moi, je lui baise la main.

bonsoir Madame la Baronne. Quelle charmante demeure, tu as fait du chemin depuis notre dernière bataille.

Je rentre avec la baronne dans une petite salle abritait une maigre armoire composée de livres et de parchemins. Une bibliothèque plus conséquente, de plus de mille manuscrits, codex et livres, se trouvait au rez-de-chaussée. Un grand crucifix en chêne, suspendu au mur, s’élevait en toute simplicité au-dessus d’un fauteuil à accoudoirs.

Galadriel m’invita à m’assoire.

Un courant d’air glacé venait de rafraîchir le lieu, d’un pas mesuré, Galadriel referma les volets, je lui demandais puis-je rallumer votre cheminée., je m’approcha de la cheminée, prit quelques fines branches et les jeta sur les brandons. Une belle flamme colorée s’éleva. Galadriel resta ainsi quelques secondes à se réchauffer, fasciné par le spectacle des flammeroles, quand elle fut soudain pris de vertige.

Une vilaine blessure Galadriel , cette blessure elle date de notre dernière bataille avec les pirates ?

Citation :

"Une vilaine blessure Galadriel , cette blessure elle date de notre dernière bataille avec les pirates ?"

"Euhh... Non, non ca va.
C'est juste un petit coup de chaud. Merci ne t'inquiete donc pas."

Elle lui sourit puis se lève, doucement et plisse sa robe.

"Malouin, je suis désolée mais j'ai vraiment à faire tout de suite.
Tu sais que ce n'est pas mon genre de mettre les gens dehors, mais il ce trouve que j'attend un membre de ma famille pour ce soir.
Il faut que je me prépare. Sais tu comme les femmes sont cher Malouin?
Elles veulent etre présentable et dans toutes les situations.

Galadriel sourit et pose son regard vers la porte des quartiers de Madelaine.
D'une voix forte elle l'appelle.

"Madelaiiiine!!!"

Celle-ci arrive en courant.

"Oui baronne?"
"Raccompagnez donc messire Malouin, je vous prie!"

Galadriel incline légèremet la tete.

"Au plaisir Malouin. Merci de votre visite."

Galadriel monte les escaliers pour se diriger à sa chambre tandis que Madelaine racconpagne Malouin.

Galadriel préparée, était partit chercher sa soeur.
Aprés avoir passé un petit moment à l'auberge, Fée Arnaud et elle rentrèrent a la maison.
Madelaine avait fait un bon repas. La soirée ce passait bien. Enfin fut l'heure d'aller se coucher.
Galadriel conduit Fée à sa chambre, la bise puis lui souhaite une bonne nuit.
Elle arrive à présent dans la siene. Elle met sa robe de chambre et glisse dans son lit.
Comme d'habitude elle met du temps a s'endormir. Trop de chose la tracasse. La mort de son père, l'arrivée soudaine de sa soeur, le travail etc...
Elle est sur le point de s'endormir quand le vent se met à se lever plus fort qu'auparavant, un grand bruit se fait entendre.
Inquiète elle se lève, se dirige vers sa fenetre et l'ouvre en meme temps que ses volets.
Dans la forêt des arbres tombe. Heureusement ce n'est pas sur sa propriétée.
Le vent est vraiment puissant. Plusieurs portes claquent dans la maison.
Des hennissements lui transperce le coeur.

"Seigneur Hollow!!!"

Galadriel ferme la fenetre, enfile un peignoire à la va-vite, sort de sa chambre et se précipite dans les escaliers qu'elle dévale le plus vite possible.
Arnaud en pleure est là, au milieu du hall.

"Madelaiiine!!!"
Madelaine arrive toute affolée."Ouiii, je suis là."

"Viens donc t'occuper d'Arnaud!
Je vais voir Hollow. Si Fée se lève tu reste avec elle et tu lui interdit de sortir."

Madelaine prend Arnaud dans ses bras et l'emmene dans le petit salon.
Galadriel met ses chausses, ouvre la porte d'entrée a la volée et court vers le box d'Hollow.
Dehors il pleut de cordes.
Hollow donne des coups de sabots contre les paroies de son box.
Galadriel confiante ouvre la porte, entre doucement et la referme derrière elle.
Hollow est comme fou. Il sent que ça va pas dehors.
Galadriel l'approche et le rassure en marmonnant quelques paroles.

"Liniştit te mea bun, Liniştit te."

Elle tend doucement sa main la pose, et la fait glisser du front jusqu'aux naseaux.
Elle se rapproche de plus en plus et lui caresse l'encolure. D'un geste controlé elle attrape un licol et arnache Hollow.
Galadriel essaye d'oublier le vacarme de dehors pour se concentrer sur son cheval. Elle sait qu'un seul faux pas pourrait lui couter cher.
Elle se positionne à sa gauche, se penche doucement en avant puis elle gratte le sol.
Hollow l'imite, elle se penche de plus en plus jusqu'a ce que sa poitrine touche le sol.
Il plit les genoux et les postèrieurs puis s'allonge.
Galadriel soulagée, reste avec lui. Le froid lui glace le sang elle a beau se coller a Hollow mais rien y fait elle attrape un tapis de selle et se couvre avec.
Elle s'apprete a passer la nuit avec son cheval.

Le reste de la nuit fut très agitée. Galadriel n'avait pas trouvée le sommeil mais elle était quand meme restée avec Hollow.
Elle se lève péniblement, ouvre la porte du boxe et regarde tout autour d'elle.
Certains arbres de la forêt voisine était couchés.
Dieu soit loué, rien sur sa batisse. Elle avait d'ailleurs bien résistée, juste quelques volets et arbustes envolés.
Galadriel traverse la cour, pousse la porte d'entrée et la franchit.
Encore toute humide de la veille elle se dirige vers sa chambre.

"Madelaine???
Préparez moi bain, s'il vous plait."

Madelaine suit Galadriel à l'étage et se presse pour satisfaire au plus vite la demande de sa maitresse.
Aprés un bon bain, Galadriel se prépare avec l'aide de sa dévouée Madelaine.

"Non Madelaine, pas de robe pour aujourd'hui.
Oui voilà ça. Merci."

Enfin prète, Galadriel descend dans le petit salon.
Fée et Arnaud sont devant le feu.
Arnaud court dans ses bras. Impossible de le repousser à cet instant.

"Eh bien mon petit. Pas tant d'embrassade, tout va bien."
Galadriel fait un signe discret à Madelaine pour qu'elle le prene rapidement, celle-ci s'éxecute.
Gal porte son regard sur Fée.

"Ma douce carmélite, j'épère que cette tempète ne t'a pas trop bouleversé.
Je te propose de venir avec moi en ville. Peut etre qu'il y a besoin de bras la bas.
Ca t'intéresse?"

Fée avait été reveillé par des bruits terribles , le vent hurlait , les arbres se secouaient de gauche à droite , elle se leva de son lit pour se rendre dans la chambre de Gala , mais il n'y avait personne ...
elle avancait vers le salon , elle traverssait l'ail du chateau et arriva enfin dans la rande salle de la maison ....

Gala ? Gala tu es la ma cherie ?
Elle croisait le regard inquiet de la servante ...

Bonsoir Madelaine mais que ce passe t'il ?
Avez vous l'habitude de ce genre de tempete ?
Et ou est ma soeur je ne l'ai pas trouvé dans sa chambre ! J'espère qu'elle n'est pas sortie mon dieu !

La servante lui répondait , qu'elle était avec son cheval , et qu'elle devait rester avec le petit garcon au chaud ...

Mais mon dieu c'est terrible !
Pourvu qu il ne lui arrive pas malheure ...
Fée prit le petit Arnaud dans ses bras , elle lui caressait la tête tout en priant pour sa soeur ...

La tempete s'était un peu calmé , le petit matin arrivait enfin , Arnaud et Fée s'étaient endormis au coin du feu , le petit garcon germissait Fée se reveilla d'un bond ...

Ohhh ma cherie !!!! sa soeur était la devant elle , le visage tiré , mais toujours aussi propore sur elle et aussi élégante ...

Fée s'approchait de sa soeur .. Oh Gala je suis si heureuse de te voir j'ai eu si peur , je n'imaginais même pas qu'il t'arrive un jour malheur je ne m'en remettrais jamais ..
Elle la serait dans ses bras ...

Gala prit la parole :

"Ma douce carmélite, j'épère que cette tempète ne t'a pas trop bouleversé.
Je te propose de venir avec moi en ville. Peut etre qu'il y a besoin de bras la bas.
Ca t'intéresse?"

Oui bien sur ma cherie , je me vais de ce pas m'habiller je redescends dans quelques minutes , je dois avoir quelques affublements confortables .

Fée revenait habillé en noir , de Braies,d'une chemise et d'une ceinture qui lui serrait la taille , elle mit sa cape et son chapeaux , enfila rapidement ses bottes...

Voila ma cherie je suis prète , allons voir si notre aide peut être utile...

Citation :

"Voila ma cherie je suis prète , allons voir si notre aide peut être utile..."

"Bien alors, c'est partit.
Madelaine vous restez bien avec Arnaud, et il est hors de question qu'il sorte.
Me suis-je bien fais comprendre?!"

"Bien sur baronne. Ne vous en faites pas, il resterat là prés de moi."

Galadriel sort de la demeure, direction le boxe une nouvelle fois.
Avec l'aide de Fée, elle arnache Hollow et monte en selle.

"Eh bien, grimpe ma soeur.
Et surtout tu t'accroche."

Galadriel tend sa main à Fée qui la prend et grimpe a son tour.
Quelques coups de talons plus tard les voila partit au petit galop pour le centre ville.

La nuit été claire, la lune éclairait les ruelles de sa lumière qu'aucun nuage ne venait obstruer. On pouvait donc y voir comme en plein jour.
Le calme de la rue fut rompit par des claquements de sabots sur le sol.
Un calèche pénétra dans la rue. A son bord, Fée et Galadriel qui rentraient chez elles.
Geo se tenait à la place du cocher, les traits soucieux. Cela faisait plusieurs jours qu'il n'avait pu se détendre, il n'avait pas beaucoup dormi ces dernières nuit, correspondant avec le Roy Jehan de Vergy pour trouver un statut le plus arrangeant possible pour Guernesey. Il fit entrer la calèche dans l'allée de la demeure et l'arrêta devant la porte.
Il descendit pour ouvrir la porte à ses passagères.

Ces demoiselles sont arrivées.

Il attendit que Fée soit entrée puis retînt Galadriel par le bras.

Je voulais m'excuser de ne pas avoir été très présent ce soir mais je n'ai hélas pas vraiment le cœur aux festivités. J'essaie de trouver le meilleur statut possible pour Guernesey, ce qui est, je t'avoue, pas une mince affaire.

Il s'approcha d'elle et lui déposa un doux baiser sur les lèvres.

J'espère que je pourrais me rattraper aux prochaines festivités.

Il remonta à bord de la calèche et lui murmura un tendre : "Je t'aime" , avant de repartir vers sa demeure

La calèche arrive enfin au 129.
La porte s'ouvre.

Citation :

"Ces demoiselles sont arrivées."

Fée remercie Geoffroi de les avoir accompagnées.
Madelaine les traits tirés et devant la porte d'entrée.

"Je t'attends dans le salon Gala.
Merci encore prince Geoffroi." Elle lui fait un grand sourire et disparaît dans le hall de la maison.

Galadriel allait suivre Fée quand Geo lui attrape le bras.
Rassurée par ce geste elle se tourne vers lui.

Citation :

"Je voulais m'excuser de ne pas avoir été très présent ce soir mais je n'ai hélas pas vraiment le cœur aux festivités. J'essaie de trouver le meilleur statut possible pour Guernesey, ce qui est, je t'avoue, pas une mince affaire."

Galadriel se rend compte qu'elle avait était très égoïste.
Bien sur qu'il était préoccupé, pourquoi n'y avait elle pas pensée avant.
Elle est fière de lui, et est sur qu'il fait un bon prince et qu'il sera dévoué à son peuple.
Il est prince, il n'aura plus beaucoup de temps a accorder a Gal.
Ce sentiment lui serre le ventre.
Il s'approche d'elle et l'embrasse.
Galadriel répond a ce doux baiser. Elle aimerait que le temps s'arrête a ce moment.

Citation :

"J'espère que je pourrais me rattraper aux prochaines festivités."

"Je l'espère mon prince." Elle lui fait un clin d'oeil.

Il reprend sa place de cocher qui lui sied a merveille soit dit en passant puis murmure "Je t'aime" a Galadriel.
Le sourire aux lèvres elle lui répond et lui envoie un baiser.

"Moi aussi je t'aime, rentre bien."
Elle le regarde partir, une fois qu'elle ne le voit plus elle entre rejoindre sa soeur prés du feu.

Après avoir salué sa majesté le prince Geoffroi , Fée rentrait dans la demeure de sa soeur Gala ...

La maison était bien silencieuse ,ce qui lui fut le plus grand bien ...
Madelaine arrivait de sa douce voix elle lui dit ..

Bonsoir dame Fée ,avez vous passé une bonne soirée ? je voulais vous dire que vos bains sont prêts ...

Bonsoir Madelaine , je vous remercie , la soirée fut agréable mais je suis un peut fatiguée , je pense me retirer après ma toilette dans ma chambre .

Elle lui sourit, se servit d'un bon petit remontant et s'approchait de la fênetre ,admirait sa soeur souhaiter la bonne nuitée au prince Geoffroi ...

Qu'ils sont mignons tous les deux , ils forment un très joli couple , n'est ce pas Madelaine ...
Elle se tourna et vit que la servante n'était déjà plus là .... mais ca soeur fit son appartition dans le salon l'air dans les nuages ...

Oh ma soeur est amoureuse ... ce regard je pourrai le reconnaitre les yeux fermés ...
Galadriel affichait un grand sourire ...

Je suis très heureuse pour toi ma cherie ! Mais dit moi , avez vous des projets de vie communs ? Hmmm aurais je l'occasion d'être demoiselle d'honneur ?

Elles rigolaient un bon moment , juste les deux ,comme dans le temps de leur innocence jeunesse ....

[Le 29 Mars]

"Madelaine s'il vous plait.
Dites moi que nos robes sont prêtes!"

Il est tard. Galadriel ne trouvant pas le sommeil vient taper a la porte de sa dame de compagnie. Elle entre et voit Madelaine avec une aiguille entre ses doigts et une robe blanche sur les genoux. Une bougie prés d'elle éclaire son visage. Galadriel abasourdie remarque que les yeux de Mady sont fermés.

"Madelaine dites moi que vous n'êtes pas sérieuse la!
Allez réveillez vous enfin!"

Galadriel s'approche d'elle et la secoue.
Madelaine sursaute et regarde la baronne.

"Oh je suis désolée. Je me... Suis endormis."

"Belle déduction mais je le vois bien merci.
C'est ma robe ou celle de Fée?"

"Oui excusez moi.
Euuh... Celle là... C'est la votre. Celle de damoiselle Fée je l'ai terminée.
Mais ne vous inquiétez pas, elle sera prête pour demain."

Galadriel la regarde méfiante.
Elle s'éloigne de Madelaine puis s'arrête a l'embrasure de la porte.

"Madelaine, inutile de vous dire que je ne tiens absolument pas a aller a mon baptême en tenue d'Eve.
Alors s'il vous plait, je sais que ce n'est pas facile mais passez y la nuit si il le faut!
Sur ce merci et bon courage."

Galadriel sort et referme la porte derrière elle.
Elle passe par le salon, le hall d'entrée et monte tranquillement les escaliers.
Arrivée dans le couloir elle passe devant la chambre de Fée. Sa porte est entrouverte.
Galadriel entre et regarde sa sœur dormir, éclairée par un rayon de lune.
Elle referme la porte, et s'avance a pas feutrés.
Elle retire son peignoir qu'elle pose sur un porte-manteau puis se glisse dans le lit.
Galadriel regarde le dos de sa sœur. Elle passe son bras sur le ventre de Fée et la serre contre elle.
Ça lui rappelle leur enfance. Petite, elles ne se quittées jamais.
Maintenant que Fée l'avait retrouvée, Gal espérait que plus rien ne les sépareraient.
Aujourd'hui elle avait tous ce qu'elle aspirée. Sa sœur, un compagnon attentionné et aimant. Mais aussi son travail qui lui apportée une entière satisfaction.

Quelques minutes de *songes* et Galadriel s'endort enfin.

Nous étions au début de l’été, un paysans travaillait à la clôture autour d’une plantation sur le confins de la propriété. Je lui demandai s’il avait vu notre jeune maîtresse.
-Je l’ai vue ce matin, répondit-il. Elle m’a prié de lui couper cette arbre, puis elle a fait sauter son Hollow par-dessus la haie qui est là-bas, à l’endroit le plus bas, et elle a disparu au galop.-

Ha ! Damoiselle Galadriel toujours la même…Imagine mon état d’esprit quand j’appris ces nouvelles, l’idée me vint aussitôt comme les vieux souvenir de la prise de île , ha ! la petite pirate, le souvenir de ses lèvres étaient froides comme la glaces. Je l’imagine le sourcil levé la mèche derrière l’oreille tapotant ses ongles sur son bureau.
Ho ! la voilà sauta à cheval les chiens courant derrière elle, gaie comme un pinson, protégé du soleil de juillet par son chapeau noir à grands bords et un voile de gaze, et partit au trot avec un rire joyeux, se moquant de mes prudents conseils, attention ! ma belle…
bounce

(ps:) passe de bonnes vacances biz)

Après avoir traversé la ville de sa largeur, les deux cavaliers arrivèrent devant la maison de Galadriel.
Toujours sur sa monture celle-ci vint à lui parler.

Alors voila ma demeure.
Vous voici au 129 Domaine des songes messire Pierre!
Votre… Hum… Nouvelle résidence, allons nous dire.

Galadriel sourit mesquinement a Pierre.

Vous êtes exactement au quartier…

Galadriel sourit l’air légèrement hautain.

… « Galadriel »!
Je vous expliquerai plus tard les raisons de cette honneur.
A présent il y a une heure à tout et je pense qu’à ce moment l’heure pour vous est à l’habilitation si je puis me permettre.
Ce n’est pas facile de tout quitter pour l’inconnu. Croyez moi je sais ce que je dis.

Galadriel entame son avancé sur les pavés de l’allée qui mène au écurie. Arrivée vers le milieu de celle-ci, elle saute agilement de son cheval. C’est a ce moment là que des bruits de pas rapide attire son attention.
Le jeune Arnaud arrive en courant près d’elle. Il attrape les rênes de l’étalon. Galadriel ne les lâchant le regarde d’un air sévère.

Allé mais laisse moi le rentrer enfin!!!

Déjà tu te détend, je te rappel que nous avons un invité… Euh, bref messire Pierre est là, tu te dois de le saluer.
De plus tu sais très bien qu’Hollow ne te supporte pas… Galadriel murmure en souriant:Supporte pas grand monde… Comme sa maitresse.

Galadriel fait glisser sa main du chanfrein aux naseaux de son cheval. Elle sort de sa rêverie et arrache les rênes des mains d’Arnaud.

Ouais bah si c’est comme ça… Je vais dans le jardin.

Galadriel regarde Arnaud partir avec de grands yeux. Elle se tourne vers Pierre honteuse.

Je vous demande de bien vouloir l’excusez… Il est teigneux!
C’est un jeune garçon que j’ai recueillis entre Eu est Paris lors de mon voyage pour Guernesey. C’est un gueux de souche et ça se sent! Mais je dois avouer que parfois son culot me fait bien rire. Allons restez pas plantez ainsi! Suivez moi.

Galadriel poursuit son chemin. Son entrée dans l’écurie provoque des hennissements assourdissant. D’un signe de main elle montre le premier box.

C’est celui de Tyrannie. Rentrez la et refermez bien le box, les palefreniers s’occuperont du reste.

Galadriel se dirige vers le plus grand box, éloigné des autres. Elle désangle la selle et retire le filet. Elle passe un rapide coup de brosse et cure aussi vite les sabots d‘hollow puis elle sort du box et ferme les deux écrous qu‘a la porte.

Je ne peux laisser personne s’occuper de lui, il est ingérable quand ce n’est pas moi.

Galadriel s’approche de Pierre, attrape sa main et le tire doucement en dehors de l’écurie direction la maison.
Madelaine souriante les attend sur le palier de la porte.
Elle les débarrasse de leurs affublements.

Mademoiselle rebonjour. Messire de Siorac, bienvenue a Saint Pierre Port!

Madelaine s’incline. Galadriel fessant signe à Pierre de la suivre une nouvelle fois, se dirige dans un petit salon finement décoré, et s’installe sur un fauteuil devant la cheminée éteinte.

Bien installez vous!
A présent c’est ici que vous allez vivre. A moins bien sur que cela vous pose problème ou que bien évidemment vous venez a trouver une quelconque gourgandine.

Galadriel sourit à ses mots.

La vie ici est plutôt agréable. Enfin… Si tout ce passe bien elle devrait l’être pour vous.
Je nous demande que quelques rares choses.
Etre présent lors des repas, et aussi lors de mes sorties. Pas toutes bien sur, mais j’aurai besoin de vous.
Bien, nous allons attendre un peu avant de prendre notre diner.
Un verre peut être?

Galadriel n’attend pas la réponse de Pierre. Elle tend le bras vers un carafon contenant un liquide rougeâtre. Elle verse le liquide dans deux à pied et les dépose sur le chevet qui entre son fauteuil et celui de Pierre.

C’est moi qui ai produit ce vin. Vous allez m’en dire des nouvelles…
Oh!! Parlez moi de vos divins parents… Comment vont-ils?

Galadriel regarde Pierre, son sourire honnête illuminant son visage.

Un Étalon blanc approche de la propriété au trot. L'homme qui le monte est fier et droit. Une fine cape verte recouvre ses épaules, sa tenue semble avoir été choisie pour subir un long voyage, et le sabre qu'il porte au côté et l'arquebuse accrochée à la selle de sorte à pouvoir être sortie rapidement peuvent indiquer qu'il ne se fera peut être pas dans les meilleures conditions possibles.

Oh ! Tout doux Folzer !

Le Prince s'approche de la grille, fermée... Sans doute Galadriel est-elle au Palais de Justice.
Il s'apprête à repartir lorsqu'un enfant jaillit des broussailles situées derrière la grille. Perplexe, Geoffroi met un court instant avant de reconnaitre Arnaud.

Dis donc Arnaud, pourrais tu annoncer à Galadriel que je souhaiterais la voir ?

Elle peut pas ! L'est avec un M'sieu d'la ville à causer dans l'salon !

Et puis-je avoir l'honneur de connaître le nom de cet inconnu ?

Oh oui, J'ai écouté c'qui s'disait et Mad'leine elle l'a appelé Messire de Siorac

Geoffroi fronce les sourcils, Galadriel ne l'avait pas prévenu de l'arrivée de cet individu, de plus, d'après la particule, cet homme semble être noble, mais peut-être est-ce le Gamin qui à mal entendu ou est-ce Madeleine qui l'a appelé ainsi en raison de son apparence bourgeoise.

Tu dis qu'elle ne peut pas me voir, mais si je te donne des objets à lui faire passer, le feras tu ?

Oh oui M'sieur Geoffroi !

Geoffroi sort alors la clé du Palais princier et la remet au Gamin qui ne semble pas trop savoir ce que cette clé ouvre ni pourquoi il doit la donner à Galadriel.
Puis le Prince porte ses doigts à sa main gauche d'où il sort une chevalière en or qu'il tend à l'enfant.
Le Gamin s'apprête à partir pour porter les objets mais Geoffroi le rattrape au vol.

Cette Chevalière est le Sceau Princier, si l'un de ses deux objets venait à ne pas parvenir à Galadriel dans les plus brefs délais, tu peux être assuré qu'à mon retour tu passerais un très mauvais quart d'heure.

Le Gamin s'en va ensuite en courant le long de l'allée, Geoffroi enfourche Folzer puis prend la direction du port après avoir tout de même laissé une missive accrochée à un pan du portail hors d'atteinte d'Arnaud. Cette missive étant privé, il n'avait pas assez confiance en la curiosité d'Arnaud pour lui laisser

Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 12/08/2009

Bien, c'est ... joli. Et surtout très grand ...

Pierre fit faire un tour sur elle même à sa jument - "miracle, instinctivement en plus" - pour admirer l'endroit, et n'écouta que très vaguement d'une oreille ceux que Galadriel put ajouter.
Il lui rendit un de ses sourires, et fit suivre sa jument sur le chemin pavé.

Arrivé aux écuries, un jeune garçon, << un mioche quoi >> les rejoints en courant.

Allé mais laisse moi le rentrer enfin!!!

Déjà tu te détend, je te rappel que nous avons un invité… Euh, bref messire Pierre est là, tu te dois de le saluer.

Toujours sur son cheval, Pierre ne trouva rien de mieux à faire sur le moment que de le saluer de la main. Il marmonna en même temps un "coucou" inaudible.
Vexé, le mioche se sauva à grands pas. La demoiselle se tourna vers lui, le rouge aux joues semble t-il, un peu honteuse ... "l'est elle vraiment ?" ... Puisqu'il ne décela aucune tromperie, le jeune homme afficha un sourire allant jusqu'à montrer ses dents bien blanches malgré son rang.

C'n'est rien, je ...

"Bon ... elle s'en fiche.", Pierre descendit de sa monture avec plus de facilité que pour monter.
Il tira avec lui sa jument et entra enfin dans l'écurie. Là, il l'enferma dans son box, lui donna une courte caresse et lui lança un regard visant à se faire pardonner de ne point s'occuper d'elle. "J'y connais rien aux chevaux ma pauvre ..."
Il lui tourna le dos, et s'en alla rejoindre Galadriel à quelques pas de lui.

A sa grande surprise, elle le prit par la main, puis l'entraina dehors en direction de la maison. Il profita bien sûr, en homme qu'il est, de ce moment pour sentir la douceur et la chaleur de sa main.
Une fois arrivé, il fit la rencontre de Madeleine, sans aucun doute la servante ou la dame de compagnie, enfin ... quelque chose de ce bord là. Elle le débarrassa de son long mantel rouge (pour lequel il économisa quelques mois avant de pouvoir s'en offrir un aussi élégant), puis lui souhaita la bienvenue:

Messire de Siorac, bienvenue a Saint Pierre Port!

hu ! .... Bien ! merci ..., le blondinet lui offrit un de ses plus beaux sourires, n'osant préciser qu'il n'était qu'un "Siorac" et non point "de". Peu importe, ceci le flatta légèrement.

Pierre suivit, toujours silencieux la demoiselle.

Bien installez vous!

Le jeune homme obéit, ravi de pouvoir se reposer au moins quelques minutes.

A présent c’est ici que vous allez vivre. A moins bien sur que cela vous pose problème ou que bien évidemment vous venez a trouver une quelconque gourgandine.

Je ne suis pas vraiment ici pour me chercher quelconque gourgandine. Mes parents étant très clairs à ce sujet ... ma venue ici est dans le but de vous servir. Pierre dissimula habilement son désespoir en prononçant ses mots. Il faut dire que la ville, et quelques fois ses mauvaises fréquentations l'ont formé à l'art de tromper et de jouer.

La vie ici est plutôt agréable. Enfin… Si tout ce passe bien elle devrait l’être pour vous.
Je nous demande que quelques rares choses.
Etre présent lors des repas, et aussi lors de mes sorties. Pas toutes bien sur, mais j’aurai besoin de vous.
Bien, nous allons attendre un peu avant de prendre notre diner.
Un verre peut être?

Pierre passa la main sur sa barbe, et plongea son regard sur la cheminée, éteinte en cette saison, et sur le reste de la pièce décorée de manière raffinée.
Il prit le verre en la remerciant d'un nouveau sourire, s'efforçant de ne pas grimacer à l'allusion au dîner qu'il va falloir attendre.
Il but une bonne gorgée, puis garda son verre à la main en faisant tournoyer son contenu.

Mes parents, mmm ? Bien ... je ne sais pas d'où vous les connaissais, donc hum ... j'vais tacher de résumer leur situation- sourire - Et bien les affaires de mon père marchent pas mal, si bien même, qu'il s'est offert une auberge à l'Est d'Amiens, et avant mon départ, il comptait en acheter une autre ... curieux me direz vous, puisque j'imagine que lors de votre rencontre il n'était qu'un tisserand. Mais je crois que le métier qui a fait sa fortune le lasse.
Quant à ma mère, elle est en parfaite santé, de belles couleurs, le rouge aux joues que chacun lui connait, toujours aussi ravissante malgré la quarantaine qui approche. Toujours à faire tourner les regards des messires sur elle, et même des plus nobles et des plus jeunes, et ce, sans aucun artifices. Que dire de plus ? sinon ...

Il but une nouvelle gorgée, et plongea cette fois son regard vers la fenêtre.

Je peux me permettre ? ...- Pierre n'attendit pas non plus de réponse - En quoi puis-je vous être utile ici ? A sa question, il ajouta un sourire, histoire de ne pas se donner trop d'air pour ne point déplaire à la noble demoiselle.

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