[RP] Le navire emporte les hommes vers Guernesey

Galadriel voit Geoffroi qui s'avance vers elles. Il leur dit:

Citation :

"Mesdames... Sans vouloir vous offenser nous allons débarquer sous peu pour prendre d'assaut le château Cornet. Je vous prierais donc de suivre attentivement le plan d'attaque. Après, si vous ne souhaitez point faire partie de cette attaque, vous pouvez toujours décider de rester sur les bateaux, nous nous ferons une joie de vous rapporter quelques bijoux ou autres ornements."

Gal pense:"Quoi? Point faire partie de l'attaque? Rester sur le bateau? Bijoux? Ornements????
Ah ça jamais!"
Elle regarde Geoffroy de ses yeux perçant. Elle avais très bien écouté ce qu'il avait dit. Car contrairement aux hommes, les femmes peuvent faire deux choses a la fois.

"Messire il est hors de question que je reste sur le bateau, et je n'aurai que faire de vos bijoux et de tout le reste! Je suis la pour me battre!
En ce qui concerne les groupes je vous répond que pour ma part ce sera le deuxième!
J'espère qu'a l'avenir vous ne remettrez plus en cause mon attention."

Galadriel soutient son regard en lui souriant.

Cyrius , toujours assis sur son cordage, écoutait Geoffroi
Je l'aime bien ce Geoffroi, pensait-il

Puis il se leva et posa sa main sur le bras de Geo :
- " Ton plan est excellent ,
J'aimerai beaucoup suivre les "têtes brulées" (dit-il en regardant le groupe des trois jolies femmes )
mais je me demande si je ne serais pas plus utile en restant à l'arsenal, pour proteger ceux qui en aurait besoin, comme Coraline et les bléssés . Et que toi tu continues avec le reste du groupe.
- Qu'en penses-tu ?

Cyrius, toujours avec sa pipe, répondit à Geoffroi :

- Tres bien, alors je reste avec le premier groupe à sécuriser l'arsenal
Nous eviterons qui le fasse sauter, il pourra nous servir plus tard.
De toute façon j'ai quelques surprises en réserve , s'il viennent nous chatouiller...

Se tournant vers les trois jeunes femmes :
- Mesdames, par pitié , laissez en pour les autres , certain pourrais se vexer

Et il s'éloigna en rigolant...

Sieur Geoffroi, souhaitez-vous que je prenne part à l'opération afin que vos hommes aient un aumônier présent avec eux ? S'il est vrai que je n'excelle pas au combat, l'évêque de Rouen ne saurait rester les bras croisés alors notre troupe s'apprête à risquer sa vie.

Teobald était heureux de mener campagne avec cet équipage et la nomination de Geoffroy le réjouissait...
Il faudra sortir les armes a temps riait il

L'équipage aimé bien ce jeune homme à l'accent du midi, l'insouciance et l'envie de bien faire était ses qualités au combat.

Sieur Geoffroy mon ami dit moi dans quoi je peut me rendre utile dans l'abordage du Château.

Grâce à des coursiers et relais d'enfer le Cardinal pu envoyer un message au Lord Protecteur des "Channel Islands".

Citation :

Palais Archiépiscopal d'Isle de France, Paris;
Le quinzième jour du mois de janvier de l'an de grâce 1649.

Nous, Son Éminence Jean Lambert, Cardinal de la Sainte-Église Pascale, Bibliothécaire Pontifical, Nonce Pascalite auprès de la Cour de Marie-Thérèse Ière, Reyne d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande,
A vous, Ramsay, Comte de Montgomery, Grand-Maître de l'Ordre Royal de Saint-Louis, Lord Protecteur de Guernesey.

Bonjour !
Je prends la plume ce jour, préoccupé par la grandeur de la Sainte-Église Pascale et votre mission. Je me permets ainsi, bien que conscient de votre entière compétence en la matière que vous avez la possibilité de trouver, quelque part sur l'Isle de Guernesey après sa libération, un Gouverneur anglais, caché dans un manoir ou retranché dans une forteresse. Je vous prie de bien vouloir retenir vos hommes, qui françois pourraient avoir envie de le rudoyer et de lui faire l'honneur de son rang. De même, ne croisez pas le fer avec des soldats anglais. S'ils attaquent, défendez-vous puis désengagez.
Il en va de la sécurité de votre mission et de Notre Église.
Quoi qu'il en soit, je vous souhaite bon courage dans votre mission et je prierais pour votre pleine réussite et la libération des Iles Pascalo-Normandes. Recevez également ce jeton béni en la Cathédrale de Reims par mes soins lors du Conclave qui porta Sa Sainteté Aédodat III à notre tête à tous. Qu'il vous accompagne.



Que le Très-Haut vous ait en Sa sainte garde.


Cordialement.

SE Jean Lambert.

Je me porte également volontaire allons combattre ces pirates s’il n’est pas trop tard pour moi . dommage j’étais pas au courant un Malouin connaît bien le combat puisque dans ma vie je suis un corsaire à la solde du Roi

Cyrius, penché sur la rembarde de la passerelle, contemplait l'horizon, en fumant sa pipe.
On pouvait apercevoir, discrète la frégate, tous feux eteint, qui suivait la belle "Esperance", comme une ombre protectrice.
Cyrius ,fis un geste dicret vers le "Lion Normand", Le capitaine, lui aussi sur sa passerelle, lui répondit.

Cyrius etait pensif de tous ses événements qui l'avaient reconduit, comme par un sourire du destin pres de chez lui, pres des côtes de Normandie.

D'un coup il regarda, Ramsay, resté à l'ecart des autres, qui lisait une missive ; il semblait mécontent.

Cyrius s'approcha :

"Et oui ! Ce n'est pas si simple
Ils veulent garder ces iles pour eux, malgré tout le travail et les efforts que vous avez accompli jusqu'a maintenant."

Cyrius se permit de mettre sa main sur le bras du Comte.
"Ne vous inquietez pas, il ne l'aurons pas si facilement
De plus vous savez déjà , comme je vous l'ai déjà dit , que vous pouvez demander officiellement ce poste, il vous revient de droit
Ce n'est ce pantin ,pleûtre de surcroit, n'ayant rien fait jusqu'ici, qui peux rivaliser avec vous."
"Tous ensemble nous y arriverons ..."